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erd son sel à être répétée, étouffent d’une seule
pensée
les explosions cosmiques, etc. Libre à vous de prendre pour but la co
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s qu’on attendait d’un général. Et il illustre sa
pensée
. « Supposez, dit-il, deux savants, l’un en Allemagne et l’autre à Was
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’un vertige. Ils ne voient rien. Cette absence de
pensée
est plus dangereuse que n’importe quelle pensée fausse. Mais comment
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e pensée est plus dangereuse que n’importe quelle
pensée
fausse. Mais comment pourraient-ils penser ? Simplement, pratiquement
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le rêve d’un gouvernement planétaire, c’est la «
pensée
globale » comme disent les Anglo-Saxons. Et cette arme, c’est la bomb
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i notre siècle arrive à digérer et intégrer cette
pensée
-là, il aura fait une révolution bien plus grande que la Renaissance.