1
ue l’on découvre Don Juan dans le mouvement de la
pensée
de Nietzsche, le Supplice de Tantale dans un récit de Jean-Paul. De m
2
u temps. Écoutez-moi, Sonnette : vos actions, vos
pensées
, votre idée de l’amour se réfèrent en vérité à une carte postale en c
3
leur lieu, j’établis en ce lieu la demeure de mes
pensées
. Ainsi, nous dit la Fable, fit Myscille, habitant d’Argos. N’ayant p
4
té en général que celle qu’impose la fin de toute
pensée
. Le critique. Restons, si vous le voulez, sur le plan du langage. N’
5
3e règle de sa méthode : « Conduire par ordre mes
pensées
en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à con
6
us interrompre davantage aux développements d’une
pensée
qui m’est curieusement étrangère. Vous parliez d’une vision totale ?…
7
Un soir, après quelques alcools et un échange de
pensées
au même titre avec une amie d’une beauté de plus en plus frappante, i
8
l homme ? Le suicide ? Rien n’est plus loin de sa
pensée
. Sa vision du monde serait exactement celle d’un philistin sympathiqu
9
au ou dans le cœur. La pudeur aussitôt affecte la
pensée
, les sentiments. On parle « d’étalage impudique » lorsqu’un auteur ex
10
ets l’un de l’autre. Alors le corps a honte de sa
pensée
, et celle-ci des désirs de son corps, comme d’un embrassement sans am
11
s facultés vers un objet unique et dans une seule
pensée
— l’identification, par la conquête chez l’un, par l’abandon chez l’a
12
tention sur un objet non corporel, œuvre d’art ou
pensée
d’un ordre difficile, peut échouer comme par un court-circuit dans le
13
ses bras, et la contemple. Et il la nomme dans sa
pensée
, comme s’il doutait… Adolescence ! Le charme du désir est celui du si
14
s heures, des jours, des mois. Combien de grandes
pensées
se nouèrent dans ce piège à méditations symboliques ! Combien de rega
15
onvolutions de cet emblème d’un cerveau, né d’une
pensée
unique et vraiment souveraine : la royauté dans son état naissant. Je
16
r lui avoir dédié, entre tant d’autres, une seule
pensée
d’amour pur et gratuit. L’auteur du nouveau Testament n’en demande pa
17
a fin du monde Parmi toutes les libertés que la
pensée
se donne lorsque, se dégageant de notre condition, elle imagine des i
18
use cousue de fil blanc de ma vitalité : la seule
pensée
que mon souffle puisse, dans quelques instants, s’arrêter, accélère m
19
, dans son ensemble, résiste instinctivement à la
pensée
de la Fin, refuse de toutes ses forces de la « réaliser », bien plus,
20
ité, mais seulement ce qui la condamne. Ainsi, la
pensée
de la Fin a les meilleures raisons du monde d’être pensée ; toutefois
21
e la Fin a les meilleures raisons du monde d’être
pensée
; toutefois l’effort entier de notre vie la neutralise. D’où vient al
22
grand nombre, à tous les lettrés sans esprit, la
pensée
de la catastrophe s’acclimate lentement parmi nous ? D’où, sinon de l
23
ive Église, au début de notre ère, vivait dans la
pensée
de la fin imminente. Mais parmi nous, qui avons cru pouvoir éliminer
24
penser sa fin, ni rien. Elle ne peut être en soi
pensée
, et l’homme en elle reste à peu près dénué de réalité, jusqu’au jour
25
e absolue de ses journées et de ses nuits, de ses
pensées
et de ses gestes, de son savoir, de ses refus, de ses aveuglements, d