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de mieux mesurer l’acceptation progressive d’une
pensée
qui, d’autre part, dès l’origine, s’est voulue en puissance d’action.
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evant cette impuissance pratique à inscrire leurs
pensées
dans des actes, beaucoup d’intellectuels s’inscrivent dans un parti e
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pour la plupart d’entre eux, une démission de la
pensée
, un alibi. Pour qu’une pensée soit efficace et douée d’une vertu agis
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une démission de la pensée, un alibi. Pour qu’une
pensée
soit efficace et douée d’une vertu agissante, il ne suffit pas que le
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ur sens aigu des implications politiques de toute
pensée
, même gratuite d’apparence. Demandons-nous ce que nous avons à faire
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prit critique autant que de son sens inventif. La
pensée
du monde, c’est l’Europe. Et s’il s’agit vraiment de penser, que pens
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ulgaire, mais correspond assez bien aux formes de
pensée
introduites par la science relativiste. À mon sens, le mouvement inti
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elativiste. À mon sens, le mouvement intime de la
pensée
fédéraliste ne saurait être mieux comparé qu’à un rythme, à une respi
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e perpétuelle de la diastole et de la systole. La
pensée
fédéraliste ne projette pas devant elle une utopie européenne qu’il s
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sister sur ce double mouvement qui caractérise la
pensée
fédéraliste, sur cette interaction, cette dialectique, cette bipolari
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arce qu’il nous guette tous, à l’intérieur de nos
pensées
, au moindre fléchissement de notre vitalité, de notre courage, du sen
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bats, nous parvenons à développer des réflexes de
pensée
fédéraliste, si nous devenons nous-mêmes intégralement fédéralistes —
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revendique les libertés : le but, l’essence de la
pensée
fédéraliste étant précisément de trouver les moyens d’articuler, d’ar
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ope et de leur commun attachement à la liberté de
pensée
, l’union européenne, dans le cadre de laquelle nous voulons travaille
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ondamentaux de l’homme, notamment à la liberté de
pensée
et d’expression ; Considérant que les efforts pour nous unir doivent
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s droits de l’homme, garantissant les libertés de
pensée
, de réunion et d’expression, ainsi que le libre exercice d’une opposi