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avec la société qu’ils attaquaient un système de
pensée
et certains préjugés qui devaient à leur tour les aveugler sur un aut
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de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta
pensée
. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second,
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l’être humain, le corps, l’âme et l’esprit. Si la
pensée
(qui est doute et certitude) fournit la preuve de l’esprit, et la sen
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personnes réelles, de créateurs de l’art et de la
pensée
, mais aussi d’acteurs de l’histoire dont les biographies nous sont as
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de l’amour et du jeu des sexes, et qui vont de la
pensée
spéculative religieuse ou métaphysique, à l’éthique de l’action socia
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avec « l’éternelle luxure » sans horizon, que la
pensée
des spirituels se trouve aux prises et peut entrer en polémique intim
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olaires. Trop longtemps négligées ou niées par la
pensée
occidentale, qui ne prenait au sérieux que l’esprit et le corps, les
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œurs de la masse inculte et dans les habitudes de
pensée
. Le travail de décantation, d’adaptation psychologique et de remise e
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celle que l’homme connaît dans l’invention d’une
pensée
… Dans ces nuits-là, le Moi ne retient rien en lui-même… le Soi-même e
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t peut-être un bon moyen d’illustrer à la fois la
pensée
et la vie de Kierkegaard et, d’une manière générale, ce que l’on pour
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ignons ce titre : L’Instant. Depuis longtemps, la
pensée
de Kierkegaard était comme fascinée par les deux concepts d’instant e
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e il découvre son Isolde. Pour l’un et l’autre la
pensée
est une passion, et l’expression totale de la passion ne peut être qu
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uel il serait vain de s’opposer. Si d’aventure la
pensée
s’attarde à l’obstacle, celui-ci tire son importance d’exciter la pas
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e le paradoxe est la catégorie fondamentale de la
pensée
de Kierkegaard. Or voici ce qu’il en dit dans l’un de ses ouvrages le
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as penser de mal du paradoxe, cette passion de la
pensée
, et les penseurs qui en manquent sont comme des amants sans passion,
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propre perte… C’est là le paradoxe suprême de la
pensée
, que de vouloir découvrir quelque chose qu’elle-même ne puisse penser
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puissance est justement l’amour. Cette forme de
pensée
est tristanienne. Elle est d’abord une forme d’existence. Elle s’illu
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ment dans la dialectique existentielle et dans la
pensée
proprement religieuse de Kierkegaard, apparaît désormais trop évident
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Aurore. « Presque chaque phrase de ce livre a été
pensée
et comme capturée dans les mille recoins de ce chaos de rochers près
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périr l’humanité ? Qu’à cela ne tienne ! « Cette
pensée
, elle aussi, est sans puissance sur nous. Le christianisme s’est-il d
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ce. Au surplus, dans la mesure où la conduite, la
pensée
et l’affectivité d’un même individu sont dissociées, Don Juan peut ré
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ar les débats d’idées, il semble répugner à toute
pensée
qui par le style d’abord ne l’ait séduit. Il me parle souvent des Var
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» de l’empire des mythes, n’a cessé d’occuper sa
pensée
. Et j’ignore si c’est mal ou bien : je constate simplement le phénomè
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où Kassner se montre disciple de Kierkegaard, sa
pensée
paraît réfractaire à toute description, car elle opère sur des mythes
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la sensation à peu près unique en ce temps d’une
pensée
autoritaire. Entendons que, pour lui, penser n’est pas se débattre da
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ent, c’est en tant que la réalité humaine, non sa
pensée
privée, est tourmentée.) Penser n’est pas non plus s’ingénier sur des
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n’est qu’indiscrétion, et qui livre la clé de la
pensée
de Kassner, comme aussi de son apparente obscurité. D’où provient cet
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llectuellement sans « réaliser ». Il faut que les
pensées
créées ne soient concevables qu’en elles-mêmes, et comme à l’état sau
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cation qui les réduise et qui les domestique. Une
pensée
neuve ne saurait être comprise à moins d’être recréée dans sa forme —
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archie de valeurs, non de la seule exactitude des
pensées
— nous connaissons le modèle immortel, le Livre de Job. Il serait cur
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éral, non pathétique, de l’adjectif. L’ellipse de
pensée
n’est nullement, chez Kassner, un procédé de rhétorique, une manière
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u s’il en fut, et qui échappe par définition à la
pensée
systématique et discursive : point de réponse rationnelle au cur deus
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l ajoute : « Ce qui fait ordinairement une grande
pensée
, c’est lorsqu’on dit une chose qui en fait voir un grand nombre d’aut
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hement que je suggérais entre le zen et sa propre
pensée
l’a frappé : Cela resta fixé dans ma mémoire, écrit-il, me tint aler
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eugle, est acte, mais cet acte est en outre notre
pensée
la plus profonde, l’ultime, et, le dirai-je, la pensée sans limites…
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e la plus profonde, l’ultime, et, le dirai-je, la
pensée
sans limites… Le zen suppose la dissolution, l’éclatement de tout le
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semble, en fin de compte, relier au zen sa propre
pensée
physiognomonique, c’est que l’un et l’autre se soucient davantage de
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ul à ne pas reconnaître, du moins le mouvement de
pensée
de ses Dialogues et Paraboles dans ces paroles d’un maître zen sur le
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ut particulièrement et s’abandonnait à de sombres
pensées
lorsqu’il lui arrivait de parler de quatre grands boutons de nacre, f
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d’un clown célèbre de son temps, Big Button. Les
pensées
que ces quatre boutons éveillaient dans l’esprit de l’oncle Hammond é
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ittérature, mais beaucoup pour moi… Ma vision, ma
pensée
, sont liées à la marche, au chemin. Inséparables !… » (A. Cl. Kensik
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ormant, dès les premiers conciles, ses modèles de
pensée
en tension : Incarnation, Personnes divines à la fois distinctes et r
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ai que « la notion de Moi n’a d’accès que dans la
pensée
des sots », comme le dit un texte tibétain, la notion de Toi ne vaut
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rnière forme de l’amour n’est atteinte que par la
pensée
, mais à travers le monde des sensations, lorsque au-delà des corps à
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si le soleil et les autres étoiles. La forme de
pensée
qui se révèle ici transcende la recherche moderne d’une formule du ch
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savoir, d’inventer le savoir et d’y soumettre la
pensée
, poussé jusqu’au dernier degré de l’abstraction et de l’audace logiqu
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pour équilibrer. Correspond à l’Intellect, à la
pensée
(Amour du juste et passion de la découverte). Tempérament : exclusif
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es quatre fonctions fondamentales de C. G. Jung :
pensée
, sensation, intuition, sentiment, bien que placées ici dans une succe
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é de vacuité, ce vertige accompagne en silence la
pensée
des hommes d’aujourd’hui et leur action. Le miracle est qu’il y ait d
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le que pose le vide : Pourquoi pas rien ? — si la
pensée
ne trouve pas de réponse, elle se rend au vide et s’annule. Ce qui pe
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e tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta
pensée
. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second,