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. Je retiens qu’entre les mêmes dates, l’école de
pensée
politique la plus radicalement hostile à toutes les formes totalitair
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quoi que ce soit. Il reste que certains tours de
pensée
ne sont véritablement réalisables qu’au sein d’un ensemble organique
3
n considère en effet le devenir dialectique de la
pensée
allemande depuis Goethe : c’est à l’Orient, d’instinct, que cette pen
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Goethe : c’est à l’Orient, d’instinct, que cette
pensée
va demander non point seulement sa revanche, mais sa mort et son deve
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n trait unique : il devient plus concret dans ses
pensées
. Il demeure lié au réel, dans ce qu’il imagine ; aussi, dans ce qu’il
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aïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes
pensées
. Mais quelle approche me saisit ? Parfois, au cœur des grandes fêtes,
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it la Morale du domaine des actions à celui de la
pensée
, de l’Apparence à l’Essence. D’un coup, tous les refoulés qui explose
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de mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar de la
pensée
, qui ne peut plus s’arrêter de penser). Se peut-il qu’on cherche le s
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Un être ? L’Objet ? — Est-ce que je dors dans mes
pensées
? La veilleuse fleurit soudain d’un éclat bleu douloureux, le train r
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parle ? Tout en donnant le change à celles de mes
pensées
qui exigent des apparences positives. Ainsi donc, j’ai cherché la Pie
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rmes et ces voies qui sont celles mêmes par où la
pensée
entre en contact avec tout le mobile et l’ineffable du monde. Cure de
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de l’autre. Dans le bonheur de cette matinée, la
pensée
s’abandonne à la séduction des ramures, et voici qu’elle apprend à di
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crivais hier.) Il s’agirait, au fond, d’amener la
pensée
à la plus insistante vénération du réel. Tel serait le fondement d’un
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intendance des domaines. Là, toute démarche de la
pensée
s’accorde à des pentes variées et réelles, aux collines thuringiennes
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ma Souabe : comme un état de l’âme patiente. Une
pensée
sensuelle et lente, et qui jouit parfois de son objet… 13 juin 192
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r le nerf Réalité avec un sourd gémissement de la
pensée
. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en moi ; n’ai pas bougé. Le pè
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s ici, c’était alors une soudaine virulence de ma
pensée
, un élan contenu de certitude et de tendre lucidité, — je sais pourqu
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r dans les campagnes amies en conversant avec les
pensées
et les êtres nés de la marche et du bonheur de respirer. Combien j’ai
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libérer de barrières sociales ou de pudeurs qu’en
pensée
nous tenions pour nulles. Si j’étais vraiment libre, j’aurais fait pl
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ste, contre le malthusianisme des virtuoses de la
pensée
sans douleur, contre une bourgeoisie que la jouissance du téléphone e
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par l’affirmation de l’identité nécessaire de la
pensée
et de l’action ; sinon par l’effort d’instaurer une économie générale
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personnalistes, si différents par leurs styles de
pensée
, leurs tabous et leurs allergies, parfois réciproques. Au surplus, je
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s intellectuels, même marxistes. Abdication de la
pensée
entre les mains du prolétaire qui, justement, avait besoin d’être con
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ui, justement, avait besoin d’être conduit par la
pensée
de quelques-uns 22 ! Mais ce sont les « rêveries » des « penseurs » q
25
s politiques, condamnation de l’individu, de la «
pensée
» bourgeoise (la pensée sans douleur !), des méthodes policières grâc
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on de l’individu, de la « pensée » bourgeoise (la
pensée
sans douleur !), des méthodes policières grâce auxquelles se maintien
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oi, une pureté terrible et humble. Loin de moi la
pensée
que par des arguments nous pourrons triompher d’autre chose que d’arg
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vague l’activité créatrice et « actuelle » de la
pensée
, inséparable d’un ordre humain total. 17. Prix Nobel de médecine, 19
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x étourdissement de la lumière maritime. Pour mes
pensées
, je les occupe en attendant à de petits exercices formels, sans nul r
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n met un grand sous-entendu solennel à toutes les
pensées
. Il donne de la force aux plus fortes, leur prêtant un cadre et un fo
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stiles, nous souffrons de ne pouvoir prolonger en
pensée
notre marche jusqu’au pays voisin. Cette liberté insulaire est une li
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au-delà de ce qu’il peut, et franchir au moins en
pensée
les bornes de ses possessions pour aller se mêler aux « autres », à l
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ais vus ! ou jamais aimés. Là-dessus, quantité de
pensées
et de conclusions qui m’ont paru évidentes et importantes. On se sent
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tuer en certains hommes jusqu’à l’activité de la
pensée
: mon état d’esprit, quand je suis dans une ville étrangère, où rien
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amnerait même un « intellectuel » à l’arrêt de la
pensée
créatrice, c’est-à-dire au chômage absolu. Mais quel est ce degré ? À
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d : « La lande doit favoriser le développement de
pensées
puissantes. Ici tout est sans voile, dans sa nudité devant Dieu. Ici
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ns ? On le croirait à voir l’amaigrissement de la
pensée
des clercs aux mains débiles qui ratiocinent dans les revues sur ce q
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je ne dis pas : être comprises, mais au moins, en
pensée
, confrontées sans un ridicule angoissant avec la réalité des choses e
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rnal ! Mais nous, nous chercherons le salut de la
pensée
ailleurs que dans la fuite devant ce qui la met en question. Program
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par un constant effort entre nos belles séries de
pensées
et la diversité désordonnée des êtres et des choses, où nous vivons ?
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ui Léon Hebreu et Ficin ; on parle de luy, de ses
pensées
et de ses actions, et si n’y entend rien. Ie ne recognoy pas chez Ari
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ait su être utile avec grandeur, dans toutes ses
pensées
. Mais utile à soi-même, avant tout, ou par un paradoxe assez étrange,
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uteur d’homme. Et nous voyons un monde neuf où la
pensée
avait perdu, depuis un siècle, la coutume de chercher ses résistances
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iliser un peu plus, de raffiner cet examen que la
pensée
« libre » fait d’elle-même, cette connaissance de l’homme qui ne « co
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ème, là où il l’a porté, et dans ses termes. ⁂ La
pensée
doit conduire l’action ; mais sans agir, elle n’est pas vraie pensée.
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e l’action ; mais sans agir, elle n’est pas vraie
pensée
. L’individu ne saurait s’accomplir qu’en relation avec l’espèce, mais
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plan, c’est définir notre problème actuel. Notre
pensée
nous donne des modèles d’ordre que la société toute défaite qui est l
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encore doit choisir ses sujets et le cadre de ses
pensées
dans un certain ordre « élevé » où certaines harmonies sont possibles
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eux. Mais aussi rien n’est plus excitant pour la
pensée
, rien ne saurait mieux la provoquer à l’invention de prises nouvelles
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ls pensaient en marchant, et c’est pourquoi leurs
pensées
guident et soutiennent notre marche. Et c’est Kierkegaard qui a écrit
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que de reconnaître qu’on pense mal, on attaque la
pensée
en général. Plutôt que d’avouer que trop d’idées sont sans substance,
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u contraire, plus je le lis, que son mépris de la
pensée
n’est pour lui qu’une naïve et désarmante excuse à penser mal, à pata
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qu’il n’y a plus de vérité, on prive en effet la
pensée
de son aiguillon créateur… 1er novembre 1934 « Je vis encore, j
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e. Sum, ergo cogito… » (Nietzsche, Le Gai Savoir,
Pensée
pour la nouvelle année.) 3 novembre 1934 Minuit. J’ai terminé l
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question, d’autre part, c’est la légitimité d’une
pensée
isolée, d’un monologue intellectuel, du journal intime par exemple. A
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journal intime, une prétendue « relation » de ses
pensées
et sentiments. C’est d’abord que cet auteur, s’il a l’intention d’écr
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marché. Ils s’expriment mal, ils trahissent leur
pensée
, leurs désirs, ils n’osent pas dire, ils n’ont pas de formules pour a
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favorable à l’apparition de délires subits de la
pensée
ou des sentiments. Aigreur et nervosité qui révèlent surtout un refou
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l’orateur, dont il connaissait peut-être déjà la
pensée
et qu’il vient de voir de près une heure durant. Il a pu corriger ses
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ns surprises et sans illusions. Ce n’est plus une
pensée
lointaine qui anime un rêve, dans une chambre nocturne. C’est un homm
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ose peut se passer en vérité. Alors seulement, ma
pensée
trouve son point d’attache, découvre sa mesure, sa force ou sa faible
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mineures et curieuses ou certains ornements de la
pensée
que le critique, blasé par des lectures trop rapides, et plus sensibl
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s trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à la
pensée
fondamentale, n’aura pas manqué de signaler comme caractéristiques de
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événement central doivent se rapporter toutes nos
pensées
, toutes nos actions, tous nos systèmes… Une politique, une éthique, u
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ule dignité est d’avoir foi dans le pouvoir d’une
pensée
droite, on se demande par quelle dialectique de rancune, ils en vienn
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de ce genre que j’ai pu distinguer, jusqu’ici, la
pensée
véritable des hommes avec qui je vais vivre. Comme tous les refoulés,
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ption du monde fondée sur la force du fait, où sa
pensée
ne trouve plus de repères. Il est d’ailleurs injuste, ou inexact, de
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encombrent la vie publique et qui empoisonnent la
pensée
. J’ai à lutter, aussi, contre tous les entraînements de gauche ou de
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hantises sentimentales, pour rester maître de ma
pensée
et de mes actes au milieu de l’excitation générale et stérile qui car
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travaille quelque temps comme valet de ferme. La
pensée
de servir son peuple déchu ne cesse de tourmenter son cœur, tandis qu
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our, s’il reste conséquent dans l’évolution de sa
pensée
. » En définitive, mon erreur serait d’avoir anticipé sur cette évolut
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stique démocratique ». Rien n’est plus loin de ma
pensée
. Toute espèce de « mystique » libertaire est condamnée d’avance, dans
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s Esprit une rubrique que Mounier intitule « La
Pensée
engagée ». Il n’est pas inutile de rappeler aujourd’hui que notre eng
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t à court terme, plutôt que d’un engagement de la
pensée
dans la création l’une par l’autre de la personne et des structures d
75
eur style traduisait fidèlement les nuances d’une
pensée
détachée, irresponsable par définition. Il n’y a pas que du mal à en
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totalitaire. Nous avons constaté que rien, ni la
pensée
, ni l’acte individuel, n’est en réalité gratuit. Que tout se paye. Qu
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n ce vice qu’est la distinction libérale entre la
pensée
et l’action. Au lieu de préciser, par exemple, le sens de ce mot d’en
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dont tout le monde abuse aujourd’hui. Pour qu’une
pensée
s’engage dans le réel, il ne faut pas et il ne suffit pas qu’elle se
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ans l’utilisation accidentelle et partisane d’une
pensée
que réside son engagement. C’est au contraire dans sa démarche intime
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bler paradoxal de soutenir que l’engagement d’une
pensée
suppose sa libération. En vérité, c’est le libéralisme qui a répandu
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gnes ridiculisent toute espèce d’engagement. Une
pensée
qui, par sa nature et son mouvement originel, est libérale, irrespons
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ue antifascisme, mais de s’attaquer à la forme de
pensée
d’où vont nécessairement sortir le fascisme et le stalinisme. Et c’es
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sortir le fascisme et le stalinisme. Et c’est la
pensée
libérale. Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en ran
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cidé tout récemment de renoncer à l’usage de leur
pensée
devant la menace hitlérienne (voir le manifeste de Ce Soir) ont expri
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es événements. Ils mènent le jeu, jusque dans mes
pensées
. Désorganisent la méditation. Et me contraignent à n’écrire que des f
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s’opposer), ont déchu au-dessous du niveau où la
pensée
est encore agissante. S’il y a divorce entre culture et masses, ce se
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ion permanente, préventive… Militarisation de nos
pensées
, de nos images. Hier, dans l’autobus, une petite bourgeoise assise de
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D’autre part, je suis sûr qu’il en approuvera la
pensée
. Mi-juillet 1940 Je vois se composer de plus en plus nettement
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secret des peuples de l’Europe : se rassurer à la
pensée
que la catastrophe est générale, qu’il n’y a plus de pays épargnés, e
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ux côtés, et vous sortez angoissé et honteux à la
pensée
d’avoir jamais écrit, de vous être jamais livré à ces extravagances n
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de nos écoles d’Europe, cherchant une méthode de
pensée
plutôt que des fondements spirituels, compensant par la brusquerie de
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sur l’émotion, la logique sur l’astuce vitale, la
pensée
discursive sur l’intuition, et la culture du sentiment sur celle des
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ructures de la physique. La pluie fait éclore ces
pensées
, parce qu’elle est la seule chose de nature dans tout ce qui m’enviro
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ans défaut, sans relâche, et sans repentir, d’une
pensée
qui soit digne encore d’être pensée, d’être reçue, dans le monde étab
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pentir, d’une pensée qui soit digne encore d’être
pensée
, d’être reçue, dans le monde établi par une seule fugue de Bach ?
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la transmission (involontaire bien entendu) de la
pensée
de l’adversaire, souvent, qui permet de gagner. Cela ne l’empêche pas