1
gie, laquelle se résout en structures, presque en
pensée
. La science exacte débouche en pleine métaphysique. La personne. — L
2
ntenu chrétien à un mot latin interprété selon la
pensée
grecque. De là vient, par une extension normale — puisque le Fils est
3
titutive de notre histoire et le ressort de notre
pensée
: l’antinomie de l’Un et du Divers, l’unité dans la diversité et la c
4
ge subit une dégradation analogue. Les nuances de
pensée
tendent à disparaître avec les mots qui les traduisaient… Le niveau é
5
s plus efficaces et plus puissants, car c’est aux
pensées
qu’ils commandent, aux sentiments, aux sources mêmes de l’invention e
6
tous les efforts d’union, parce qu’il paralyse la
pensée
politique, non seulement des nationalistes et des jacobins en colère,
7
éduquer, constatons qu’elle traduit une forme de
pensée
, une structure de relations bipolaires, dont le « modèle » nous est c
8
velé et toujours menacé qui dénote la santé de la
pensée
européenne, sa justesse, sa mesure conquise sur le chaos de la masse
9
qui définit l’apport original et spécifique de la
pensée
occidentale ; or cette définition vaut également et intégralement pou
10
30. Solitaire et solidaire Notre modèle de
pensée
fédéraliste ainsi posé à la clé de l’histoire européenne, il reste à
11
e, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la
pensée
des sociétés et de dicter aux hommes ces “images de comportement”, do
12
oins de leur région, mais de tout un mouvement de
pensée
politique, déjà beaucoup plus large et solidement fondé que je n’osai
13
ifficile des révolutions, celle des catégories de
pensée
dans lesquelles ont vécu tous nos ancêtres depuis des siècles, et que
14
itique, de Bodin et Hobbes à Hegel. Catégories de
pensées
non seulement invétérées jusqu’à se confondre avec une sorte d’instin
15
s la morale de leurs maîtres. 50. Mutations de
pensée
et de vocabulaire Prendre conscience du phénomène régional, opposé
16
al, à savoir la France ; quiconque change dans sa
pensée
le terme territorial de l’équation, et met à la place un terme plus p