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ment publiée mais assumée d’une personne et de sa
pensée
en corps à corps avec l’époque. « Présence au monde et à soi-même con
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-il répondre, sinon de son œuvre elle-même, de sa
pensée
et de son style ? C’est par son œuvre et non par quelque « prise de p
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e et parisienne. Mais les suites politiques de la
pensée
de Calvin n’ont pas à être imaginées : pour s’en tenir à celles qui o
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mouvement intime, de la formule génératrice d’une
pensée
. D’entrée de jeu, le surréalisme est une révolution, et c’est bien ce
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que Breton n’était pas engagé, mais parce que sa
pensée
ne fut jamais en puissance d’action politique et demeure purement sub
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erreur dans la logique du système dominant de sa
pensée
. 6. Cf. Situations II, p. 214 à 229 et passim. Il s’agit du seul te
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ons pratiques dans l’ordre politique. Pour qu’une
pensée
s’engage dans le réel, il ne faut pas ni ne saurait suffire qu’elle s
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ans l’utilisation accidentelle et partisane d’une
pensée
que réside son engagement, c’est au contraire dans sa démarche intime
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ibérer et accepter les risques de sa liberté. Une
pensée
qui par sa nature est « libérale » au sens d’irresponsable, ne devien
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ante. Du seul fait de leur style d’écriture et de
pensée
certains sont comme « interdits d’engagement » et leur bonne volonté
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otifs circonstanciels indépendants du style de sa
pensée
ou de son art, court le risque de l’hypocrisie, voire du mensonge des
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t la dissolution de toute commune mesure entre la
pensée
et l’action, la culture et le pouvoir politique, l’économie et le mil