1 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). Note liminaire
1 es l’aider à se familiariser avec une attitude de pensée politique dont il faut bien reconnaître qu’elle rencontre encore la r
2 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
2 e là. Et l’on ne peut pas faire autrement. Car la pensée , en général, n’est peut-être que le feed-back d’une surprise ou d’une
3 t tente de formuler à l’aide des catégories de la pensée grecque une révélation venue de la Judée. Le problème majeur des conc
4 ologie chrétienne, mais il a posé le modèle de la pensée spécifiquement européenne, la grande idée de l’antagonisme créateur,
5 l’unité globale et des autonomies locales — cette pensée en tension qui est vraiment l’idée formatrice de l’Europe parce qu’el
6 Quand on nie Dieu, comme la plupart des écoles de pensée modernes, existentialistes, freudo-marxistes, ou structuralistes ; qu
7 ments d’humeur, de colère ou de peur, mais de ses pensées , de ses désirs, de sa vision, comme de la connaissance spirituelle, c
8 à sauver la biosphère ; dès lors, « la liberté de pensée et d’expression est une condition biologique de notre survie ». James
3 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
9 cordées aux pouvoirs de l’homme, aux prises de sa pensée et de sa main vers la répartition aussi large que possible des pouvoi