1 Elles traduisent fort exactement nos attitudes de pensée les plus courantes. Négliger d’y répondre serait se condamner à baser

2 fulgurante volée, dont la vitesse est celle de la pensée , et c’est pourquoi ils nous sont invisibles ; des intelligences sans

3 une angélique précision, sans laisser place à la pensée d’une possible réparation. Il est au monde une seule chose pire que d

4 sujet. Bornons-nous à marquer trois directions de pensée  : nous les suivrons tout au travers du livre. Si le diable est Légion

5 fait. Le diable ? Oui, mais par nos mains et nos pensées . C’est ici le moment de nous rappeler notre slogan démocratique : Tou

6 us ou moins hitlérisés dans nos mœurs et dans nos pensées . Mais cela n’excuse pas Hitler. Loin de là ! Cela nous accuse. Si je

7 gênait. Nous l’écartions irrésistiblement de nos pensées … Car si ce « trop affreux » eût été vraiment vrai, il eût fallu agir

8 un playboy dynamique et optimiste vierge de toute pensée . Ou, si nous sommes par hasard des intellectuels libéraux, sous les t

9 Sa seule présence était le gage d’une aisance de pensée et de vie qu’ils venaient de perdre en Europe pour en avoir abusé san

10 ière de moi Satan ! Tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu mais celles des hommes. » Qu’est-il d

11 ’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu mais celles des hommes. » Qu’est-il donc arrivé ? Comment cet

12 onde entier : neuf fois sur dix ces maîtres de la pensée moderne vous avouent sans la moindre rougeur, légèrement étonnés de l

13 culture que les méfaits des hordes fascistes. La pensée de l’Occident et son vocabulaire sont nés des grands débats théologiq

14 es : les tables tournent, les cartes parlent, les pensées se transmettent en silence. Tous les signes du monde nous appellent.

15 n’est pas dans la rue seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses sources au plus intime des existen

16 u. Peut-être aussi que rien n’était possible. Ces pensées augmentent l’amertume. Elles nous suggèrent l’idée d’une possession…

17 onsabilités, la bêtise vaniteuse et la paresse de pensée , le respect de l’argent, le ton hâbleur, le bluff et le sentimentalis

18 ustice à double tranchant et l’austère rigueur de pensée , non pas cette hystérie sentimentale et cette panique de possédants t

19 sans défaut, sans relâche et sans repentir, d’une pensée qui soit digne encore d’être pensée, d’être reçue, dans le monde étab

20 pentir, d’une pensée qui soit digne encore d’être pensée , d’être reçue, dans le monde établi par une seule fugue de Bach ? 1er