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nous ne comprenons pas toujours l’objet. Peur de
perdre
le fil de la conscience de soi, peur de subir l’empreinte imprévisibl
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Problème de Dieu, à la base. J’aurai garde de m’y
perdre
au début d’une recherche qui n’a que ce but de me rendre mieux apte à
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écrire autre chose que moi, je vais m’oublier, me
perdre
dans une vie nouvelle : (Créer, c’est se surpasser). J’entends des ph
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erstitieux, de grands symboles païens, et l’on se
perd
dans un syncrétisme effarant, où Mithra, Jésus, les taureaux et Alban
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e lassitude. Vivre ainsi simplement. Sans pensée,
perdus
dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature… L’homme chante un
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façades sont jaunes et roses près de l’eau, puis
perdent
dans la nuit leurs lignes graves. Toutes ces formes devinées dans l’e
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onc de rêver. Mais cette rose oubliée me gênait :
perdre
une rose pour le plaisir ! (Et je ne pensais même pas, alors : une si
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s farceur, va. Quand je songe à tous ces gens qui
perdent
leur vie à la gagner9, et leur façon inexplicable de lier des valeurs
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l’Habitude, leur marraine aux dents jaunes. Ah !
perdre
, perdre ; et c’est toujours à qui perd gagne ! Sauter follement d’une
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ude, leur marraine aux dents jaunes. Ah ! perdre,
perdre
; et c’est toujours à qui perd gagne ! Sauter follement d’une destiné
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es. Ah ! perdre, perdre ; et c’est toujours à qui
perd
gagne ! Sauter follement d’une destinée dans l’autre, de douleurs en
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parcourues de longs cris en voyage. Je me sentis
perdre
pied délicieusement. Et de cette nuit peut-être, je ne saurai jamais
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le n’est plus que l’approche d’une grandeur où se
perdraient
nos amours terrestres dans d’imprévisibles transfigurations, — l’heur
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age même de mon amour. Je me sens voluptueusement
perdre
pied. Vertige de te revoir, vertige de te perdre vraiment, parce que
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perdre pied. Vertige de te revoir, vertige de te
perdre
vraiment, parce que c’est toi, parce que c’est bien toi de nouveau qu
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écadence quand je la regarde s’amuser. Je vois se
perdre
ce sens des correspondances secrètes et spontanées du plaisir qui seu
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n’avez pas de ressemblance, et c’est ce qui vous
perdra
. » La pauvre fille ne comprenant pas, il y eut un moment pénible, com
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Miroirs, ou Comment on
perd
Eurydice et soi-même » (décembre 1928)m « Remonte aux vrais regar
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tigue dans son regard : appuyé sur lui-même il se
perd
en méditations éléates. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se
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s l’eau des miroirs. Stéphane est en train de se
perdre
pour avoir voulu se constater. Va-t-il découvrir aussi qu’on ne compr
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Stéphane a oublié jusqu’au mot de prière. Orphée
perd
Eurydice par scepticisme, par esprit scientifique, par doute méthodiq
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es dieux. À chaque regard dans notre miroir, nous
perdons
une Eurydice. Les miroirs sont peut-être la mort. La mort absolue, ce
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tte femme l’écho de ce qui serait lui. Déjà il se
perd
dans ces yeux, mais comme on meurt dans une naissance. Stéphane naît
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femme qu’il aimait. m. « Miroirs, ou Comment on
perd
Eurydice et soi-même », Cahiers de l’Anglore, Genève, n° 1, décembre
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lui est arrivé quelque chose de terrible, où il a
perdu
son âme. Et puis il n’est revenu qu’un vieux corps radotant. — Qu’en
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o I Depuis le temps qu’on tire du canon à son
perdu
depuis le temps que sonnent les marées à flots perdus sous la coupole
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du depuis le temps que sonnent les marées à flots
perdus
sous la coupole errante des prières à dieux perdus. II Je ne sais
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erdus sous la coupole errante des prières à dieux
perdus
. II Je ne sais pas où tu m’entends mais ces hauts murs d’ombre et
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brassent les lueurs des messages et des sanglots
perdus
qui rôdent à la recherche d’un corps faible. Je ne sais pas où tu m
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e sais comment tu pleurais. Au carrefour des cris
perdus
j’écoute encore une voix nue qui vient de dire ton nom même avec l’ac
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e mangeables beaucoup de nouilles. Mais si le sel
perd
sa saveur, serait-ce avec des pamphlets qu’on la lui rend ? Je le tro