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rme polémique de la générosité. Hélas, fallait-il
perdre
une page à dire qu’ils ne méritent pas de vous dégoûter de la Révolut
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cruteurs » et les « ramasseurs de disciples ». Ne
perdons
pas notre temps à polémiquer sur des épithètes passe-partout. Je voud
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été le premier pas vers le salut. Mais les uns se
perdirent
en eux-mêmes, les autres dans on ne sait quelles brigues innommables.
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héorique que prend forcément cet exposé, et qu’il
perdrait
si nous avions la place nécessaire pour développer. Nous nous excuson
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les philosophes. Tous les autres débats du xixe
perdent
leur aiguillon si on les y compare. Affleurant maintenant au niveau d
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nnaît pas. L’Évangile le révèle à lui-même, comme
perdu
, et par cette révélation, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans
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’homme n’est humain que dans un paradoxe ; il est
perdu
lorsqu’il se croit sauvé, il est sauvé lorsqu’il se sait perdu. Je di
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il se croit sauvé, il est sauvé lorsqu’il se sait
perdu
. Je dis que seul ce paradoxe le fait humain : car si l’homme peut se
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doxe le fait humain : car si l’homme peut se voir
perdu
, c’est qu’il croit, c’est qu’il est dans la foi ; mais être dans la f
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vité dont, à coup sûr, le bienfait ne sera jamais
perdu
, pour ceux d’abord qui en prennent l’initiative. Mais ici je poserais
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Il faudrait recréer un lien patriotique sans rien
perdre
du dynamisme « national ». Il faudrait un régime qui sauvegarde la te
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geoise appuyée sur la religion. Et le Jeune Homme
perdu
d’inquiétude, qui ne découvre sa joie que dans le risque extrême de l
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ifeste à la vue, — ou bien dans le néant comme se
perdent
les astres morts. Donc, tout ce que nous voyons a vu ; et tout, d’abo
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r sous la forme, plutôt que de la voir, et qui se
perd
dans un bavardage infini, dans ce vide ou cette « profondeur » ou plu
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tu étais cadavre”. Au matin j’avais le regard si
perdu
et la contenance si morte, que ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut
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ondances chez Baudelaire et chez Rimbaud, pour se
perdre
dans l’esthétisme décadent des symbolistes. Je suis bien loin de croi
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n, c’est-à-dire jusqu’au monde des Idées. C’était
perdre
de vue la réalité spécifique du monde de l’Incarnation, où la philoso
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té de la Parole. C’était sortir du drame, pour se
perdre
dans une fièvre nostalgique. Schleiermacher est l’expression géniale
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la personne, comme des cas. Ainsi elles laissent
perdre
l’humain, elles sortent du concret, — du drame. 25. M. Spaier, dans
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et pourtant pures de toute espèce de hargne. (On
perdait
un peu l’habitude de cette fière politesse, dans ce temps où les part