1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 e peut que l’aspect pratique de cette mission ait perdu de son importance par suite des très profondes transformations interv
2 tion, notre compte sera vite réglé. Car : 1° nous perdrons notre raison d’être, et il n’est pas d’exemple dans l’Histoire qu’un
3 st pas d’exemple dans l’Histoire qu’un État qui a perdu sa raison d’être y survive plus de quelques années. L’exemple de l’Au
2 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
4 ominant cette plaine onduleuse dont les vagues se perdent dans une poussière violacée à l’horizon — chez les Tchèques déjà. Nou
3 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
5 nduire cet homme réel. La direction de conscience perd toute valeur et tout sens, donc cesse d’exister comme direction, dès
6 onc cesse d’exister comme direction, dès que l’on perd de vue les fins qu’elle doit servir. Tout se ramène donc à cette ques
4 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
7 uia ! » parce qu’un homme a osé, quand tout était perdu , croire encore au miracle et l’accomplir ! Le message de l’ermite du
8 allait nous redire. Et cependant nous n’avons pas perdu courage. La foi de Nicolas domine les temps. Elle vit encore au cœur
5 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
9 se du calvinisme à l’individualisme, dès que l’on perd la foi de la Réforme pour ne garder que ses vertus humaines et activi
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
10 des montagnes et du vignoble — le fédéralisme ne perdit jamais ses droits, même à l’intérieur du canton ! Certes, la guerre é
7 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
11 ctacle, le spectateur était un crétin. Je me suis perdu dans cette effrayante antithèse : l’homme opposé à la nature ; la nat
8 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
12 aise. Je voudrais insister sur ce point : si nous perdons le sens et le goût de la liberté quotidienne, celle qui se manifeste
9 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
13 ritiques auxquelles j’ai dû me livrer en débutant perdront leur légitimité. Si nous refusons de considérer le fait d’être Suisse
10 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
14 tre les chrétiens, quand tout espoir humain était perdu , tout horizon bouché, Athanase prononça ces mots : nubicula est, tran
11 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
15 distinguée » abusivement du peuple, d’avoir ainsi perdu sa sève active et livré les masses affamées au délire totalitaire. Il
16 e) au sein duquel la plus « active » des cultures perd ses prises et son efficace. En vérité, ce ne sont pas les clercs qui
17 Curieuse dramatisation ! À mesure que les hommes perdent leur personnalité, c’est la matière qui s’en voit revêtue. 26 avril 1
18 t de désir pour leurs biens qu’à la veille de les perdre . Déshérités aussi, qui ne retrouvent l’espoir qu’au seuil des catastr
19 est un bien que nous n’avons plus, c’est un amour perdu , allé ailleurs. Mais qu’il existe encore ailleurs, précisément, qu’il
20 e encore ailleurs, précisément, qu’il ne soit pas perdu pour tous, c’est ce qui rend sa perte insupportable à qui croyait le
21 s un bien, dans ce régime, un bien que nous avons perdu , et qu’il séquestre, s’il n’y avait que du mal en lui, nous n’aurions
12 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
22 naissante, quand tout, comme aujourd’hui semblait perdu , Athanase prononça cette parole : Nubicula est, transibit — c’est un
13 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
23 ens fédéraliste, et révocables aussitôt qu’ils le perdent . » Si vous les obtenez, la révolution nationale dont certains parlent
14 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
24 e théologique, c’est à peu près ce que nous avons perdu par une longue suite de « libérations » qui ne laissent enfin subsist
25 ité de rythme et de vision au sein d’un monde qui perdait ses mesures. Et quand le lieu du grand débat devient enfin l’Église e