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r à la cité démocratique. Il y a deux manières de
perdre
la liberté : la première est de ne pas l’exercer en actes ; la second
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alement, cette anarchie sceptique qui, lorsque se
perdra
la révérence à l’égard des dieux et des lois, livrera la cité « atomi
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dire : je suis ; mais aussi à ce coin de sentier
perdu
dans la forêt d’avril, petit monde complexe et fortuit, terre et pier
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— par le moyen d’une grande fédération. Ceux qui
perdront
la face aux yeux de l’histoire, ce seront ceux qui auront dit que l’E
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». Mais une fois le monde fait par elle, elle l’a
perdu
. Le monde s’est révolté contre elle au nom même des valeurs de libert
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es quinze années pendant lesquelles nos États ont
perdu
leurs empires, que l’Europe s’est mise à s’unir. Les dates de la déc
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uante ans : la nécessité de leur union. Elles ont
perdu
le monde et retrouvé l’Europe. Mais voici le deuxième grand fait, non
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, le tiers-monde, en cette affaire, a bien plus à
perdre
que nous. Ses meilleurs esprits le découvrent. Mais aussitôt, ils nou