1
ouvelle. Dès l’instant où la menace du stalinisme
perd
son urgence dans le domaine culturel, un problème d’un autre ordre ap
2
en toute sobriété qu’il n’y a guère de raisons de
perdre
son temps dans une commission « culturelle » lors d’un congrès des je
3
ngerait rien à l’affaire, une fois le sens humain
perdu
). 3. Les protagonistes de la construction européenne par le seul jeu
4
congrès doit estimer qu’il n’y a pas une minute à
perdre
avant de s’y mettre. f. « Culture et politique européenne », Bullet
5
ous cessons d’avoir peur, le fédéralisme européen
perd
sa seule raison d’être. Parlons donc d’autre chose, renversons quelqu
6
s premiers à la croire inutile. Qu’avons-nous à y
perdre
, nous les fédéralistes ? Que pouvons-nous y gagner ? Tous ceux que de
7
e, dégénéraient en Amérique ; que les chiens même
perdaient
la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps dans notre atm
8
mbes diplomatiques » de l’Est et de l’Ouest, elle
perd
de vue le problème européen, qu’elle commençait tout juste à distingu
9
re fois je l’écris : il se peut que l’Europe soit
perdue
. S’il doit en être ainsi, la faute en retombera aux yeux de l’Histoir
10
ce, ayant refusé l’Europe au nom de ses colonies,
perd
ses colonies. L’Italie ayant refusé l’Europe par la faute des néo-fas
11
propre à les faire mûrir. Le refuser serait faire
perdre
à l’Europe le temps qui peut suffire à d’autres pour l’abattre et pou
12
e en l’acceptant mais pour mieux l’étouffer, vous
perdrez
la dernière occasion de décider vous-mêmes du destin de nos pays, et
13
être encourus. Les refuser, pourtant, serait tout
perdre
, à coup sûr et à bref délai. On compare volontiers notre Europe à Byz
14
uence, trop petits pour le siècle, et condamnés à
perdre
, après nos dernières positions dans le monde, notre indépendance poli
15
, économique et peut-être morale. Et certes, nous
perdrons
tout cela, tout ce qui fait le sens même de nos vies, si nous persist
16
s à perdre. » Pourtant, chacun peut voir que nous
perdons
du temps. Quelles sont donc les causes intérieures qui paralysent nos
17
à- dire de regagner en prestige moral ce que nous
perdons
en apports extérieurs. La table ronde n’a pas dressé les plans d’une
18
it dans toutes les langues : « La France vient de
perdre
ses dernières divisions actives. Elle ne peut donc plus adhérer à l’a
19
ar asphyxie à la fois physique et morale. Marchés
perdus
, positions atlantiques perdues, prestige perdu ; par suite, dynamisme
20
s perdus, positions atlantiques perdues, prestige
perdu
; par suite, dynamisme intellectuel et spirituel déprimé, repliement
21
ole, agressivité frustrée, et surtout angoisse de
perdre
son identité. Elle a donc pris les caractères cliniques d’un complexe
22
i tremblent, disent-ils, de voir leur patrie « se
perdre
dans la masse informe d’une Europe unie ». Le second argument est dû
23
à l’essentiel de cette souveraineté, elles l’ont
perdu
, et sans retour. À la question : pourquoi l’Europe unie ? Il nous fau
24
ropéenne (octobre-novembre 1954)s Rien n’est
perdu
, tout reste à faire Deux événements politiques ont absorbé l’atten
25
e principe supranational. En résumé : rien n’est
perdu
, mais rien n’est fait. Et tout ce qui vient de se passer prouve une f
26
dre utile aux hommes. Aussi dessina-t-il, à temps
perdu
, les plans d’une machine d’un type nouveau, qu’il baptisa turbine. Ai
27
re civilisation ont conquis le monde, l’Europe en
perd
naturellement le monopole, cependant qu’elle voit ses valeurs fondame
28
quence trop petits pour le siècle, et condamnés à
perdre
, après nos dernières positions dans le monde, notre indépendance poli
29
de nos vies. Le dilemme En vérité, l’Europe
perdra
tout cela, si elle persiste dans sa division en une vingtaine de peti
30
», « impérialisme américain ». Le temps que l’on
perd
ainsi pour le salut de l’Europe, d’autres le gagnent pour sa ruine.
31
pagande culturelle, vous n’avez vraiment rien à y
perdre
. Et nous serons enchantés de nous en convaincre. La détente et l’u
32
ce prétexte, indiscutable en soi. Au lieu de nous
perdre
en hypothèses invérifiables sur les motifs tactiques ou stratégiques
33
daptation aux réalités telles qu’elles sont, sans
perdre
pour autant son pouvoir d’entraînement au-delà de ces réalités. La de
34
omphent pour la dernière fois, sous un ciel pâle,
perdus
parmi des horizons sans bornes, les cinq ordres de Vitruve, les colon
35
fois de plus, à travers les murs des palais ayant
perdu
leur épaisseur, la plaine à perte de vue qui continue toujours, l’inf
36
l’Orient et l’Occident, sur la Russie et l’Europe
perdaient
de plus en plus toute acuité. On voyait les différences, mais on ne l
37
e ? Oui sans doute, mais à condition de ne jamais
perdre
de vue le fait que ces tendances contraires coexistent en Europe depu
38
même temps à rendre libre.) L’individu se sent
perdu
dans le monde moderne Le grand obstacle à l’exercice des responsab
39
complexe pour notre jugement. L’individu se sent
perdu
dans la société actuelle. Il n’arrive plus à s’y retrouver. Il ne voi
40
y a plus. L’unité de base elle-même sera bientôt
perdue
si nous n’édifions pas l’union. La crise de l’unité rend donc impérat
41
ées, la Grande-Bretagne, la Hollande et la France
perdent
leurs plus riches colonies d’Asie et d’Afrique du Nord. Le monde arab
42
de l’URSS dans sa partie est. Elle est menacée de
perdre
son indépendance. 3. L’idée d’union européenne fait son chemin
43
, ou de viser à un style nettement spécialisé, ne
perdent
jamais de vue que, ce faisant, ils participent à un ensemble, ils don
44
que nous exposons — et pratiquons. Allons-nous
perdre
nos meilleurs atouts ? S’il est vrai que les victoires anglaises o
45
pas moins certain que la bataille de la CED a été
perdue
dans les manuels d’histoire nationalistes. Répétons-le : les principa
46
re inefficace, non politique, et à l’extrême : de
perdre
au nom de nos raisons de vivre la vie même. Constitutionnelle. Se pr
47
assez puissants, d’autre part et à l’extrême, de
perdre
au nom de la vie nos raisons de vivre. Culturelle-éducative. Tenter
48
en » qu’il est un peuple, et au surplus qu’il est
perdu
s’il ne le comprend pas tout de suite ? La seule attitude efficace, e
49
uent plus aucun rôle reconnaissable. « Je me sens
perdu
! », diront en chœur les électeurs progressistes et les électeurs mod
50
cheur que de sa spécialisation exclusive, et sans
perdre
de vue la nécessité d’intégrer chaque discipline particulière dans un
51
6. Pearl Buck. On avouera que la qualité n’a rien
perdu
à cette augmentation spectaculaire de la quantité. De ces quelques fa
52
la préparation des élèves. Mais elle ne doit pas
perdre
de vue, pour autant, la nécessité fondamentale de maintenir un équili
53
munes Ces variations ou oppositions nationales
perdent
d’ailleurs beaucoup de leur relief, dès que l’on considère le tableau
54
vec quelque détail dans les Notes, et bien qu’ils
perdent
beaucoup de leur saveur à être résumés, je crois bon de ne pas les om
55
bâcle de juin. Anglais et Polonais de Londres ont
perdu
sa trace. Retinger demande un avion pour aller à la recherche de son
56
nt que possible — mais parce qu’il entreprit sans
perdre
un jour les centaines de démarches nécessaires pour la faire aboutir
57
oujours au bon moment et à la bonne adresse, sans
perdre
un jour et sans un seul discours, Retinger, on peut le dire, a forcé
58
’entre vous connaissent ce Centre. Je ne vais pas
perdre
un temps précieux à décrire ses activités. Qu’il me suffise de vous d
59
t qu’il s’agit en conséquence d’entreprendre sans
perdre
une minute. Je passerai donc sans transition à un bref commentaire su
60
ela fait littéralement un travail insensé. Il est
perdu
pour la culture qui est, en fin de compte — je crois que c’est la déf
61
enne nous dire : — Il est trop tard, la sagesse a
perdu
la partie pour avoir négligé les conditions modestes et concrètes de
62
ommun, des fins dernières de l’entreprise, qui se
perdent
dans les nuées de l’inconcevable. Mais dire que tout langage commun s
63
nconcevable. Mais dire que tout langage commun se
perd
, entre les branches sans cesse multipliées du savoir, c’est dire que
64
opératifs de sa cohérence culturelle, sans cesse
perdue
de vue ou remise en question. Et quand les hommes nourris de culture
65
orps pour essentiellement illusoires n’allait pas
perdre
à leur étude le meilleur de son temps de méditation. Si les Européen
66
à son prix réel et trouver celui-ci exorbitant :
perdre
de vue l’ensemble humain est une perte absolue, essentielle, que tous
67
sionnelles, etc. Pendant ce temps, l’Europe avait
perdu
ses positions mondiales de puissance politique et militaire, mais sa
68
se confondre avec les unités nationales ou bien à
perdre
leur signification comme unités fonctionnelles. Si on les prend trop
69
le terme même d’« indépendance » est en train de
perdre
son sens ancien, stato-national, majestueux et volontiers ombrageux.
70
complètement de contenu. Le mot “indépendance” a
perdu
son sens simpliste d’autrefois. C’est maintenant une question d’échan
71
ontre ces passions-là, nul argument ne vaut et je
perdrais
mon temps à en écrire ici. Mais des objections apparemment plus réali
72
, l’énorme nation sans structures où il se voient
perdus
, n’est pas leur affaire, ne peut que les briser, et les oblige à s’év
73
bien, riposta Lyautey, il n’y a pas une minute à
perdre
! » L’autogestion, ou le pouvoir sur soi-même Ce que j’ai tenté
74
, de l’angoisse qui en résulte chez les individus
perdus
dans les foules solitaires, dans le sentiment de leur impuissance dev
75
. Trop grandes, l’homme s’y sent irrémédiablement
perdu
. Et il a raison. Si l’on veut refaire une communauté humaine (et non
76
nationales, on ne voit pas comment le tiers-monde
perdrait
sa croyance aveugle dans la validité de la formule stato-nationale, n