1 que. » C’est le contraire qui m’est arrivé : j’ai perdu mon « métier quelconque », et c’est cela justement qui m’a permis de

2 es. Or, en même temps que mon gagne-pain, j’avais perdu la possibilité de vivre à Paris. J’eus l’idée de demander autour de m

3 tonie, ignorance des ensembles, objets numérotés, perdus , récupérés à la volée, c’est tout ce que l’homme dans le rang peut co

4 croyable variété de formes ultramodernes, puis se perd peu à peu dans la campagne, par des courbes douces et nettes. Nul dis

5 ition et d’une volonté créatrice qui n’ont jamais perdu la mesure de l’humain. Point de coupure ici, point de Révolution, poi

6 ting. Sur le coup de minuit, le 31 décembre, nous perdrons le meilleur maire de New York. Tammany reviendra au pouvoir. Et Roose

7 u populaire un demi-block après Lexington Avenue, perd toute tenue dès qu’elle a traversé les piliers du métro aérien qui lo

8 Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)j Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle ? Et

9 es discours… … Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Malherbe Différence entre les Accusations et

10 Journal des deux mondes , se lance alors à corps perdu dans une accusation qui ne laisse pas de susciter l’étonnement de l’a

11 tout ce discours retombe à plat, et notre avocat perd la face. 2. Mais où est l’homme sain d’esprit qui peut admettre que

12 Malherbe d’avoir consolé Duperrier — celui qui a perdu son procès. La seule question sérieuse qui se posait, notre avocat s’

13 j. « Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu  », Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 12, décembre 1947, p.

14 i la joie trouve un espace où se déployer sans se perdre , la méditation des ciels bas, la passion des orages complets, et la p