1 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
1 ables, où « tout risquerait de sombrer ». Et l’on perd peu à peu de vue cette vérité fondamentale : que les institutions ne
2 st l’influence de la morale bourgeoise qui a fait perdre sa vigueur au christianisme, et non l’inverse, comme le soutiennent d
2 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
3 libertés françaises. Et pour sauver la France, on perdra les meilleures raisons de la défendre. Disons plus : on perdra ses me
4 illeures raisons de la défendre. Disons plus : on perdra ses meilleures forces. L’union qui se fait par la force n’est pas l’u
3 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
5 on de la Liberté ! Ce serait le signe que nous en perdons le goût et l’usage naturel, spontané. Un petit industriel. — Avant
6 res. D’ici là, ces hommes ne bougeront pas. Je me perds dans des labyrinthes de barrages jusqu’aux abords de la Festhalle — t
7 et que rien ne peut en être détaché sous peine de perdre toute espèce de sens ! Croit-on que l’ordre social qu’on admire en Al
8 ngagée avec les États totalitaires est une guerre perdue , quelle que soit son issue, pour les nations démocratiques. D’une gue
9 utant que l’État totalitaire, l’État démocratique perdrait ses meilleures forces morales ; sa « mystique » de la liberté. Il n’y