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ables, où « tout risquerait de sombrer ». Et l’on
perd
peu à peu de vue cette vérité fondamentale : que les institutions ne
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st l’influence de la morale bourgeoise qui a fait
perdre
sa vigueur au christianisme, et non l’inverse, comme le soutiennent d
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libertés françaises. Et pour sauver la France, on
perdra
les meilleures raisons de la défendre. Disons plus : on perdra ses me
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illeures raisons de la défendre. Disons plus : on
perdra
ses meilleures forces. L’union qui se fait par la force n’est pas l’u
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on de la Liberté ! Ce serait le signe que nous en
perdons
le goût et l’usage naturel, spontané. Un petit industriel. — Avant
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res. D’ici là, ces hommes ne bougeront pas. Je me
perds
dans des labyrinthes de barrages jusqu’aux abords de la Festhalle — t
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et que rien ne peut en être détaché sous peine de
perdre
toute espèce de sens ! Croit-on que l’ordre social qu’on admire en Al
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ngagée avec les États totalitaires est une guerre
perdue
, quelle que soit son issue, pour les nations démocratiques. D’une gue
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utant que l’État totalitaire, l’État démocratique
perdrait
ses meilleures forces morales ; sa « mystique » de la liberté. Il n’y