1 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
1 nt pas à rencontrer une jeune femme qui leur fait perdre toute mesure. Le monde est plein de malins, de gens qui ont l’air d’a
2 n parla pas »), et servi par un garçon triste qui perd le vol-au-vent, inexplicablement. Tâchez de ne pas rire ; si vous réu
2 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
3 échappant en quelque manière aux lois de ce monde perdu . Sa sanctification ne doit pas le conduire à je ne sais quelle « spir
3 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
4 antisme tour à tour alangui ou excité nous a fait perdre le secret. Notre langage moderne relève à peine de deux maladies grav
4 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
5 n maigre intellectualisme dogmatique nous faisait perdre l’émouvant souci. À cet égard, on peut bien dire que M. Monod revient
6 ues, de poèmes, d’anecdotes, d’aphorismes. On s’y perd bien souvent, on y apprend beaucoup. On craint aussi qu’à la faveur d
5 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
7 llet 1937)o L’art de conter pour le plaisir se perd . Et peut-être, avec lui, l’art tout court. Dans la littérature du xxe
8 gination dont nous pensions que le secret s’était perdu avec l’enfance. Comme on sent que l’auteur s’amuse de sa maîtrise : L
6 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
9 serait une hérésie chrétienne ? … Dont nous avons perdu la clef, et qui a pourtant inspiré toute notre littérature, reprend D
7 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
10 L’une peut exister sans l’autre. L’une peut être perdue sans que l’autre soit ruinée du même coup. Tchingis-Khan eut l’hégémo