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croient à l’Histoire. Ils veulent que l’esprit se
perde
dans l’époque collectiviste, afin de se retrouver plus tard, après qu
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alistes. En réalité, ils rêvent. Leurs esprits se
perdent
dans un songe dialectique radicalement inactuel. Ils pensent par péri
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elles reviennent elles aussi dévitalisées, ayant
perdu
toute efficacité particulière et toute rapidité. Il en est de même da
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e ne sera pas dénoncée, reconnue et combattue, on
perdra
son temps à dénoncer et à combattre les instruments de la guerre mena
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tion est tellement générale que ces dénonciations
perdent
toute efficacité. Elles sont d’ailleurs filtrées et maquillées par la
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. On se battit pour ce système et on l’obtint. On
perdit
de vue les hommes, dans leur diversité. L’État devint une réalité ind
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ou destin de l’homme ? (mai 1934)h Qu’un homme
perde
le sens de son destin particulier, il se met fatalement à croire aux
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ieront jamais qu’à une révolution triomphante. On
perd
son temps à essayer de les convaincre par des arguments : ils ne croi
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atique. Avec ceux-là non plus, nous n’avons pas à
perdre
notre temps. Mais à ceux qui sont prêts à travailler à nos côtés, et
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e qu’il n’est pas de ces « intellectuels » qui se
perdent
à rechercher les Principes d’un ordre nouveau. « Voyez net. Pensez si
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oblèmes qui se posent concrètement, au lieu de se
perdre
à rechercher d’abord si ces problèmes sont de droite ou de gauche. Ce
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trop ces choses. Surtout dans la « jeunesse » qui
perd
son temps à chômer alors qu’il y avait tant à faire dans le domaine d
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u un gouvernement, ou une personne, en viennent à
perdre
leur autorité ? Autrement dit, comment se fait-il qu’une autorité ces
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droit de s’en désintéresser. Ou, s’il le fait, il
perd
le droit de se plaindre quand les affaires, à son avis, vont mal. Ain
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oilà fixés. Voilà qui légitime tout le reste ! On
perdrait
son temps, après cela, à expliquer à M. Friedmann que nous sommes bea