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s. Quand nous aurons compris que nous pouvons les
perdre
, comme d’autres près de nous les ont perdues, nous commencerons à sav
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autre que l’esprit critique. On nous dit qu’il se
perd
et l’on en donne pour preuve le succès des publicités, propagandes et
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ndons tranquillement par les faits. Nous pouvons
perdre
toutes nos libertés ? Nous pouvons aussi les sauver en décidant de le
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ugemont, intitulée Les Libertés que nous pouvons
perdre
, que nous publierons très prochainement. »
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plus cruelle des religions, en même temps qu’elle
perd
ses vertus de science pratique. D’autre part, dès que la culture est
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du monde, c’est tout simplement que nous pouvons
perdre
demain notre liberté de penser. …Nulle part peut-être plus qu’en Ind
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s il s’avance dans ce domaine, plus il s’isole et
perd
le contact du public ; cependant que l’invention technique, dans le m
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ste vital pour l’homme européen ; et que nos vies
perdraient
leur sens, si vraiment nous cessions de croire qu’un lendemain plus v
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ans une dictature, par exemple, l’idée de progrès
perdra
nécessairement ce qui fait, à nos yeux, tout son prix : elle cesse d’
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le Parti a décidé de m’imposer toute faite. Si je
perdais
cette liberté fondamentale, alors vraiment ma vie n’aurait plus aucun
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dre utile aux hommes. Aussi dessina-t-il, à temps
perdu
, les plans d’une machine d’un type nouveau, qu’il baptisa turbine. Au
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ouvelle. Dès l’instant où la menace du stalinisme
perd
son urgence dans le domaine culturel, un problème d’un autre ordre ap
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uence, trop petits pour le siècle, et condamnés à
perdre
, après nos dernières positions dans le monde, notre indépendance poli
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, économique et peut-être morale. Et certes, nous
perdrons
tout cela, tout ce qui fait le sens même de nos vies, si nous persist
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s à perdre. » Pourtant, chacun peut voir que nous
perdons
du temps. Quelles sont donc les causes intérieures qui paralysent nos
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-à-dire de regagner en prestige moral ce que nous
perdons
en puissance politique, et de regagner par l’exploitation en commun d
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on en commun de nos propres richesses ce que nous
perdons
en apports extérieurs. La table ronde n’a pas dressé les plans d’une
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ole, agressivité frustrée, et surtout angoisse de
perdre
son identité. Elle a donc pris les caractères cliniques d’un complexe
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i tremblent, disent-ils, de voir leur patrie « se
perdre
dans la masse informe d’une Europe unie ». Le second argument est dû
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à l’essentiel de cette souveraineté, elles l’ont
perdu
, et sans retour. À la question : pourquoi l’Europe unie ? il nous fau
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ns collectivistes du corps social ? Si nous avons
perdu
le sens de la personne, de l’être-en-relations tel que l’ont défini d
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ent être courus. Les refuser pourtant serait tout
perdre
, à coup sûr et à bref délai. On compare volontiers notre Europe à Byz
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la chute de Diên Biên Phu : « La France vient de
perdre
en Indochine ses dernières divisions actives. Elle ne peut donc plus
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sunie doit rapidement périr par asphyxie. Marchés
perdus
, alliance atlantique perdue, prestige perdu ; par suite, dynamisme cr
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par asphyxie. Marchés perdus, alliance atlantique
perdue
, prestige perdu ; par suite, dynamisme créateur déprimé, repliement s
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chés perdus, alliance atlantique perdue, prestige
perdu
; par suite, dynamisme créateur déprimé, repliement sur une misère et
27
e — d’après elle, pour faire autre chose. Ils ont
perdu
la bonne conscience naïve de l’artiste acceptant les lieux communs du
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qui a été ainsi (par le rejet de la CED) gagné ou
perdu
, et comment nous situer maintenant. Examiner si nous avons eu tort ou
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a prêtresse et magicienne Isolde : « Élu par moi,
perdu
par moi ! » Vocation de souffrance et de fidélité jusqu’à la mort div
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ur cette vie », dit Novalis parlant de sa fiancée
perdue
. Sur la tombe de Tristan et d’Iseut, deux plantes en une nuit s’élève
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mais la Liberté se voilait — laissant ensuite se
perdre
dans les bureaux de l’État l’élan premier vers la communauté, les rév
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e Europe américanisée gagnerait en stabilité mais
perdrait
le sens profond de son Aventure. Chacun le sent et le redoute obscuré
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ue une analogie dont les savants, sans doute, ont
perdu
la conscience, mais que les théologiens ne peuvent manquer d’observer
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ontinuent des gestes sacrés dont le secret semble
perdu
, ou comme certaines de nos propres coutumes, à notre insu, remontent
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e pas les valeurs spirituelles, ni ce que l’homme
perd
en les tuant en lui. Historiquement, le paradoxe éclate si l’on compa
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orce anxieusement de se montrer libre. Mais c’est
perdu
d’avance : la liberté que l’on feint n’est qu’une minable comédie, il
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eu plus loin. Une fois détachés de Moscou, les PC
perdraient
rapidement le prestige qu’ils tiraient de leur étroite dépendance env
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B. Vous voyez donc qu’il n’y a plus une minute à
perdre
. Sur l’esclavage et la souveraineté nationale Une conférence in
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tège « objectivement » l’esclavagisme ne fera pas
perdre
une voix à son parti en France. En effet, l’URSS « représente histori
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sure : elle a gagné. Nos gouvernants calculent et
perdent
à tout coup. Que l’énergie magyare passe dans notre sang ! J’ai vu se
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gt arbres, c’est toujours un bien qui ne sera pas
perdu
. » Les cèdres du Caucase, envoyés par la Grande Catherine, péricliten
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si grande maladresse qu’on le regarde comme ayant
perdu
la partie. » Voilà donc nos deux grands neutralisés, tous deux perdan
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voir reçu des coups très rudes, et alors l’Europe
perd
la face en même temps que ses appuis à l’Ouest, mais gagne en force r
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rait payer le prix d’une sécurité garantie : elle
perdrait
en partie sa liberté de manœuvre dans la politique planétaire au mome
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un moindre mal que toute guerre, « gagnée » ou «
perdue
». On voit donc mal les contre-indications de l’idée de neutralité. M
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ura remarqué que j’éprouve une secrète attirance.
Perdu
dans la foule anonyme, je suivais les « interventions » très sévèreme
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sait rien, pas fous.) Mais les agences n’ont rien
perdu
. Le masochisme occidental. — Je ne soupçonne pas la presse occiden
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it aussi bien s’offrir une politique, sans rien y
perdre
. Mais le masochisme incline régulièrement ses choix. Un grand journal
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es au-dessous de nous, arbres, maisons, collines,
perdent
le seul relief où pouvait s’attacher l’amour. Notre émotion devant le
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s’animent un instant et s’annulent dans ce recoin
perdu
de l’univers. Tout s’est tu dans notre cabine. Si l’avion continuait
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re Europe, dira-t-on, dans cette immense affaire,
perd
beaucoup de son importance. Oui, mais la découverte du Cosmos n’en se
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uel sens auront encore nos écrits et nos livres ?
Perdront
-ils toute espèce d’intérêt, tout pouvoir d’émotion et toute utilité ?
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, probablement, chez celui qui, s’étant risqué, a
perdu
ou ne croit plus à l’enjeu pour lequel il luttait en fanatique : pess
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ssions sont nées à l’instant précis où l’on a cru
perdu
ce que l’on découvre aimer. Mesures d’une décadence Que dit-on
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guerres mondiales n’a pas seulement compromis ou
perdu
nos positions de puissance politique ; il déprime et combat sournoise
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je suis descendu derrière la fillette, et je l’ai
perdue
dans la foule… — Comment accordes-tu cela, dit Agathe, avec le fait q
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abat au mariage. Notre temps, qui a probablement
perdu
la notion de passion amoureuse, parce que celle-ci est plus religieus
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Finalement, le hasard les réunit dans une maison
perdue
au fond des bois où Jivago se cache, traqué par la nouvelle police d’
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is qui est Lara ? En la perdant, dit Jivago, « il
perdrait
sa raison de vivre et peut-être même la vie ». Exagération romantique
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ar l’horreur. Tout est faux, insondablement faux,
perd
son sens et tourne au cauchemar, par la coïncidence absurde de deux «
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suffisait bien, et que le dialogue eût été temps
perdu
avec des officieux qui ne pouvaient pas nous écouter et n’insultaient
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ue sa vie personnelle n’a pas de sens, la liberté
perd
un de ses points d’appui, et la dictature s’avance aussitôt pour l’oc
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communauté naturelle, — comme ayant choisi de la
perdre
— peut vraiment aimer le prochain. Seul, il peut discerner, appeler,
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doit s’évanouir. Que reste-t-il ? Comme d’autres
perdent
pour sauver leur vie les raisons de vivre, Tristan perd à cause de l’
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our sauver leur vie les raisons de vivre, Tristan
perd
à cause de l’amour les raisons humaines d’aimer. Dans la pureté de le
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fin d’empêcher que M. Walter Ulbricht continue à
perdre
chaque jour un millier de sujets qui ne l’aiment pas ? » Nous demando
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de l’homme qu’ils symbolisent. C’est alors qu’il
perdra
la face devant l’Histoire. az. « Pour Berlin », Preuves, Paris, n°
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arti, et à plus d’une reprise par lui-même… Qui a
perdu
, qui a gagné dans cette affaire ? Question oiseuse ainsi posée en ter
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entiel, un accroissement de l’entropie qui ferait
perdre
à l’Europe ses seuls atouts. Le monde entier en pâtirait et se sentir
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igeants politiques et industriels, mais elle nous
perdrait
tous tant que nous sommes dans l’espace d’une génération. Une Europe
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sme ! Subversion de nos vieilles coutumes ! Temps
perdu
! Ça ne se fera jamais ! » Je me souviens d’un débat devant le micro,
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ropéenne au plan politique. Elle ne pourrait qu’y
perdre
son prestige international, et cette réserve originale qui fait qu’on
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contre son essence fédéraliste ; mais nous aurons
perdu
le droit auquel beaucoup d’entre nous tiennent le plus : le droit de
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le que les puissances garantirent en 1815, elle a
perdu
ses bases contractuelles. Déclarer, par exemple, que la Suisse se dev
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n s’associant au Marché commun, par exemple, elle
perdrait
de nombreux avantages, bancaires notamment, et son agriculture serait
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s pour nous seuls serait le plus sûr moyen de les
perdre
. Il n’est pas vrai, d’ailleurs, que l’union de l’Europe menace d’effa
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n État-capitale ferait peur aux autres. La Suisse
perdrait
dans cette affaire son indépendance et ses caractéristiques nationale
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oposent comme pays-capitale ! Leurs hôteliers n’y
perdraient
rien. Les fonctionnaires européens s’ennuieraient vite dans la patrie
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ine manière le bien commun de toute l’Europe, que
perdons
-nous ? Les seuls droits dont nous refusions obstinément de faire usag
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ble à ses yeux, semble m’absoudre, il pourra sans
perdre
la face continuer à me rencontrer. Je relate cet incident pour montre
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pilotis, si vaste que vingt fauteuils cannés s’y
perdent
, et quelques chevalets de peinture. Luxe inouï de la solitude et du s
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myopes s’accommodent des villes, mais se sentent
perdus
et vaguement étourdis devant un paysage comme celui-ci. À vérifier, b
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une sorte de charte fédérative, dont hélas ! j’ai
perdu
les brouillons, rédigés au café Landolt par Maurice Druon. Ces Rencon
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oquer les états généraux, n’est-ce pas risquer de
perdre
à la fois le bénéfice du nombre (l’UEF groupe déjà vingt-huit mouveme
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fédéraliste ? Faut-il survivre, mais au risque de
perdre
ses raisons de vivre (et pas seulement l’appui des socialistes) ? Ou
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s d’anciens ministres et d’économistes menacés de
perdre
l’audience des jeunes mouvements de militants, et du même coup leur m
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ou « créer une citoyenneté commune sans que soit
perdue
pour autant la nationalité d’origine ». La controverse entre fédérali
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ujourd’hui ce protocole d’un échec — une bataille
perdue
, non la guerre — c’est parce qu’à la faveur d’une analyse impitoyable
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terre, sous terre et dans les airs, et de ne pas
perdre
une occasion de faire voir à quel point elles sont absurdes. Elles so