1 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
1 sans cesse renaissants. Il a l’impression d’avoir perdu la clef de ce qui lui apparaît, dans ses heures de lucidité, comme un
2 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
2 , nous autres pauvres intellectuels, il nous faut perdre l’illusion d’exercer aucune puissance. À moins de nous faire journali
3 t faussement précis, et nous aurions vite fait de perdre de vue la vocation particulière du chrétien. Je me contenterai donc d
3 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
4 ses origines.) Et, en second, lieu, si la culture perd contact avec l’Église, avec sa doctrine et son culte, l’Église perd s
5 l’Église, avec sa doctrine et son culte, l’Église perd ses moyens les plus efficaces d’agir sur le siècle, de transformer se
4 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
6 n de cette période qu’à la question : « Si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? », les catholiques modernes
7 ctoire, il faut bien le dire. Les nations qui ont perdu la guerre ont tout perdu ; mais celles qui l’ont gagnée n’ont rien ga
8 ire. Les nations qui ont perdu la guerre ont tout perdu  ; mais celles qui l’ont gagnée n’ont rien gagné ; elles ont seulement