1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 pe en croyant qu’un voyageur à longueur de chemin perd sa patrie : c’est souvent elle qu’il découvre le mieux quand il parco
2 1948, Suite neuchâteloise. V
2 nt ce fil rouge que je croyais tenir ? Où vont se perdre les sentiers de la mémoire, ces voies ouvertes à l’imagination ?   Il
3 en croyant qu’un voyageur, à longueur de chemin, perd ses ancêtres : c’est eux parfois qu’il s’en va visiter, quand il parc
3 1948, Suite neuchâteloise. VII
4 i la joie trouve un espace où se déployer sans se perdre , la méditation des ciels bas, la passion des orages complets, et la p