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onomie ; c’est elle qui vise à les influencer, et
permet
de les critiquer. La primauté de la culture appartient donc à la défi
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ussi « Tous pour un ». Dans ce sens, il nous sera
permis
de dire que la politique fédéraliste n’est rien d’autre que la politi
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ue la science n’est pas folle, c’est qu’elle nous
permet
aujourd’hui d’aller beaucoup plus vite qu’il y a cent ans. Voilà qui
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e tête, un parti, une police, et pas d’opposition
permise
dans aucun ordre. Mais en Europe ! Deux douzaines de nations avec leu
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erté “tout court”. Autoriser une religion sans en
permettre
l’exercice, c’est, en fait, refuser cette liberté qu’on se flatte de
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oupes en pleine période de formation. Elle nous a
permis
de mieux voir l’intérêt capital qu’il y aurait à dresser systématique
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t un inventaire aussi des lacunes, des obstacles,
permettant
de délimiter des zones critiques où concentrer l’effort. Puis, des ét
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ureau d’études de Genève, depuis quelques mois, a
permis
de serrer de plus près la question. Il a conduit aux conclusions prat
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e pour le Collège d’Europe, à Bruges, collège qui
permettrait
de former les « grands commis européens », dont les futures instituti
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ards, quand on refuse de trouver les millions qui
permettraient
de développer la recherche scientifique pour la paix et la vie, c’est
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s tenterons, sobrement, de trouver les moyens qui
permettent
le libre exercice de nos vocations tourmentées ; des moyens de vivre,
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Risquons à ce propos une hypothèse critique, qui
permettrait
de situer les grands poèmes du siècle. Si l’élément sentimental domin
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rés comme des empêcheurs de danser en rond, je me
permettrai
de répondre en leur nom que, justement, le but n’est pas de tourner e