1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 Ce séjour, par ailleurs plein d’agrément, ne m’a permis de faire jusqu’ici qu’une seule expérience précise et utile relativem
2 e possible une réforme matérielle, qui à son tour permettrait d’autres progrès. Un seul homme ici pourrait influencer leur mentalit
3 me, quel qu’il soit, le « minimum vital » qui lui permette d’obéir à sa vocation. Toute la difficulté repose évidemment sur le f
4 er des signes extérieurs aisément vérifiables qui permettraient de répartir les hommes grosso modo, selon leurs vocations. Et le mini
5 voie en eux sa fin, mais parce que seuls ils lui permettent de se réaliser, de se construire, de maîtriser l’anarchie intérieure
6 yait ma tête. Ensuite, j’ai calculé que cela nous permettait de passer l’été ici, sans inquiétude. Ou encore, de le passer ailleur
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
7 raduction d’un considérable ouvrage allemand nous permettra de passer trois mois ou quatre sans trop de soucis matériels. La vie
8 t concrètement, il l’est. Bien que la statistique permette de supposer qu’il est assez rigoureusement déterminé. L’État marxiste
9 ’être. D’où suit que l’État nouveau se croit tout permis .) 30 octobre 1934 Trop penser nuit. — Trop d’idées dans ces pa
10 , mère du Progrès, que dans la mesure où cela lui permet de ne pas aller à l’église. Pour le reste, il demeure la proie du cha
11 euple déprimé un cadre politique nouveau, qui lui permette de se refaire des racines, de travailler et de se reproduire. Il faut