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gie assez complète. À tout le moins vont-ils nous
permettre
de repérer le diable sous ses déguisements quotidiens, dans la vie co
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e n’est rien en soi. Elle n’est que le régime qui
permet
aux croyants, comme aux incroyants, de se manifester sans être massac
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té, cette insondable ruse des cœurs purs qui leur
permet
de passer au travers des cercles vicieux de la raison et de l’égoïsme
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fface la croyance dans un au-delà qui, autrefois,
permettait
de prendre ses maux en patience. D’une part, l’individu moderne est i
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qui est grave, c’est que l’invention des étages a
permis
la grande ville. La grande ville a permis la formation des masses. Av
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tages a permis la grande ville. La grande ville a
permis
la formation des masses. Avec les masses sont nés les grands problème
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à me persuader que ce qui me sollicitait m’était
permis
, que ce permis m’était nécessaire. Parfois le Malin retournait les pr
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que ce qui me sollicitait m’était permis, que ce
permis
m’était nécessaire. Parfois le Malin retournait les propositions, com
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mment ce qui t’est nécessaire ne te serait-il pas
permis
? Consens à appeler nécessaire ce dont tu ne peux te passer. Une gran
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mment ce qui t’est nécessaire ne te serait-il pas
permis
? Qu’est-ce que le bien, sinon ta plus grande soif ? Une grande force
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. » La chanson dit plus simplement que « tout est
permis
quand on s’aime ». La première conséquence de cette grande permission
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reste à voir si cet amour, dont on prétend qu’il
permet
tout, est véritablement de l’amour, ou s’il n’est pas plutôt quelque
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foi plus forte que la vie. Il faudrait un critère
permettant
de qualifier d’égoïsme, de haine ou de maladie psychique tout amour d
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vous êtes seuls au monde, désormais tout vous est
permis
… » Mais encore, ce mouvement de l’orgueil fantastique, comment le dis
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moraux, à tout ce qui qualifie l’individu et lui
permet
de se posséder en tant que personne responsable. L’indifférence crois
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e à la nature ? L’expérience millénaire du couple
permet
d’imaginer ce qui va se passer à l’échelle de la société. La femme qu
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rquoi j’ai parlé ! » Qu’ai-je donc cru, qui m’ait
permis
d’articuler ce peu que j’ai pu dire de nos maux ? Et quelle est la vi
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», qui s’appelle le fédéralisme, est la seule qui
permette
aux mots de liberté, d’ordre, d’humanité et de démocratie de signifie
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quand la peur, la souffrance et la honte ne nous
permettent
plus d’articuler même une plainte intelligible, — c’est elle à présen
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craintes et nos vanités faibles, et qu’elle nous
permet
d’être libres comme ceux qui n’ont plus rien à perdre. Je pense à cet