1
, et qui est cependant l’époux d’une jolie femme,
permettez
-moi de le dire… Le mari. Je ne vous le permets pas. Je ne le permets
2
permettez-moi de le dire… Le mari. Je ne vous le
permets
pas. Je ne le permets à personne ! Ma femme n’est pas jolie ! Elle n’
3
re… Le mari. Je ne vous le permets pas. Je ne le
permets
à personne ! Ma femme n’est pas jolie ! Elle n’est pas non plus laide
4
iage au sérieux, c’est aussi mon métier, on ne se
permet
plus de parler des conjoints comme de deux célibataires arbitrairemen
5
e de whiskey ? L’agent. Précisément… Veuillez me
permettre
… Ces six bouteilles sont un présent de notre maison. Il y a longtemps
6
les ont besoin d’admiration. Et à mon tour, je me
permettrai
de signaler une contradiction dans les termes, quand vous parlez d’un
7
croient obligés de citer, et quelques-uns déjà se
permettent
d’en parler. L’un d’entre eux, l’autre jour, me demandait son adresse
8
maintenant à votre réflexion méfiante. Si vous le
permettez
, je m’offrirai le ridicule de défendre mon propre point de vue. Il se
9
d’une double exigence : d’une part elles doivent
permettre
de passer, par une espèce de symbolisme abstrait — si j’ose dire — à
10
(ou universitaire érudite.) Nul doute n’est plus
permis
: Schlemihl est « schizoïde ». Chamisso, heureusement pour lui, n’en
11
ait en vérité beaucoup plus vaste que tout ce que
permettait
d’imaginer l’obtus physiologisme de ce siècle. La Liquor Vitae, selon
12
n’explique aucune particularité du conte, il est
permis
de penser que « l’état d’âme » de Chamisso a joué dans cette affaire
13
ieux que moi cette histoire que je lui contais. —
Permettez
, dit-il gentiment, que je vous réponde par une confession. Je ne sais
14
s d’amour possible. Il faut inventer un amour qui
permette
au moins de haïr tout ce qui passe, tout ce qui cède, toute l’impudeu
15
qu’au prix de cela justement qu’il n’était point
permis
d’imaginer. Celui dont les belles manières sont apprises souffre mal