1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 l’Unesco. L’un des buts de cette série étant de «  permettre la comparaison entre les aspirations et les institutions diverses des
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 développait une économie très différente, et qui permettait des échanges fructueux. La route du Gothard était donc vitale pour le
3 t la force de l’esprit communautaire qui seul put permettre à ce système, aussi peu légaliste que possible, de fonctionner et de
4 iode paisible et bourgeoise qui va de 1848 à 1914 permit à la Suisse de se consacrer de plus en plus à sa mission européenne.
5 son d’être. ⁂ Cette esquisse géohistorique nous a permis de mettre en lumière quelques-uns des caractères fondamentaux du peup
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
6 ues de Bâle. Enfin les progrès de l’électrochimie permirent d’exploiter (grâce à l’une des rares richesses naturelles de la Suiss
7 ne (4 personnes) d’ouvriers ou d’employés va nous permettre des recoupements intéressants. Le chaos monétaire actuel empêche de c
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
8 ’un état de guerre séculaire, montre ce qu’il est permis d’attendre d’un régime de liberté contrôlée, fondé sur la franche rec
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
9 un million d’habitants, rappelons-le — n’a jamais permis à la Suisse romande d’être à la France ce que la Suisse alémanique fu
10 « adoptée » par aucun autre État isolé. Il n’est permis d’imaginer son extension qu’à l’ensemble du continent. Seule, une féd
11 rope trouve son salut dans une neutralité qui lui permette de se tenir à l’écart des conflits qui pourraient opposer des puissan