1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 ble avoir visés. Sa fin seule, lentement dégagée, permet donc de déterminer les éléments vraiment féconds de sa genèse. Tout c
2 nsidère comme tranchées une fois pour toutes, qui permettent seules de découvrir l’essence, le génie propre, ou pour mieux dire :
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
3 es (sur la nature de l’atome, par exemple) qui ne permettent pas de refaire le chemin à volonté par l’intellect et par l’action ph
4 n l’homme un noyau de liberté auquel il n’est pas permis de porter atteinte. Ce qui s’y passe, et ce qui en provient, ne peut
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
5 a Foi, c’est-à-dire du Rite à l’Amour. « Tout est permis , mais tout n’édifie pas. » « Rien n’est impur en soi », mais « tout e
6 ant le monde antique, crée l’idée de personne qui permet la synthèse de l’idée grecque d’individu et de l’idée romaine de cito
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
7 s chroniques de l’époque et les textes votés nous permettent de nous faire une image vivante de ces assises du christianisme grec 
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
8  ? Une certaine communion vague et puissante, qui permet à l’individu de dépasser son horizon restreint, de s’affranchir de se
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
9 heure ». Seule donc la négation réalisée du temps permet d’assumer le temps dans sa réalité. Sans la Résurrection, l’homme n’a
10 e vision réduite et limitée de l’Histoire qui lui permet de rendre un rythme à sa durée. L’apparition du Christ ne marque plus
11 Karl Marx n’ont jamais prévu rien de tel ; elles permettent simplement au dictateur d’accréditer son utopie. Si le sang de ses pr
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
12 es « causes » variées ? Un exemple précis va nous permettre de surprendre à l’état naissant le passage des options fondamentales
13 et de la mission chrétienne ont précédé et seules permis l’expédition qui devait aboutir à la conquête. Des rêves fous, nourri
14 ivers situant l’Inde où se trouve l’Amérique, lui permet de prévoir une terre là où, effectivement, il doit en trouver une ! D
15 omme la mesure du temps calculée sur les astres a permis la navigation transocéane54. L’expérience de l’espace et celle du tem
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
16 du monde manifesté ne suffiraient pas encore pour permettre la science. Les Grecs croyaient à l’ordonnance cosmique, mais ils n’e
17 religions et des magies, nées de la peur, qu’il a permis le développement de la Science, recherche « impitoyable » de la vérit
18 émique, consistant à nier l’Esprit même qui avait permis de valoriser chair et matière. Il se voulait moniste, mais né d’un Oc
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
19 invoque Prométhée, mais c’est la seule figure qui permette d’illustrer cette théorie tragique, reflétant le goût du temps plus q
20 ées, des instruments d’une civilisation naissante permettent à l’homme de mettre une sorte de distance entre la Nature et sa vie —
21 . Si la technique, demain — comme elle le peut —, permet à la société d’assurer à très bas prix ces conditions élémentaires, l
22 par des centaines d’ouvrages de vulgarisation qui permettent aux Occidentaux, pour la première fois dans l’Histoire, de prendre un
23 , puisque c’est la technique précisément qui nous permet ce retour en créant du loisir. Et quant à la mystique, elle suppose a
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
24 ’assurer le confort du genre humain. Mais rien ne permet de préjuger du résultat de ses entreprises, qui peut être aussi bien
25 la Renaissance, plus encore pour que l’imprimerie permette un grand marché du livre et du journal, et pour que l’instruction pub
26 rdre que suppose la recherche jamais finie, qui a permis , en même temps que l’idée du Progrès, certains progrès qui ne sont pa
27 met un point final au développement humain et ne permet plus de choix à la personne. Dans ce sens, le vrai risque d’Ulysse n’
11 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
28 talitaire et centralisateur. La seconde condition permettant au bon sens de corriger le défaut d’informations techniques est moins
12 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
29 ertu même des conceptions religieuses qui avaient permis l’usage normal de la technique. Mais l’Orient hindouiste et bouddhist
30 ogiquement sont seuls capables de guérir des maux permis ou tolérés par votre spiritualité, qui n’était en somme pas si bonne 
31 t nous donner le principe d’un équilibre qui nous permettrait peu à peu de nous tourner vers d’autres buts, sans verser dans l’hybr
32 ude utilitariste, l’efficience en un mot, qui ont permis au problème de se poser, sont précisément les qualités et attitudes q