1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 gence et leur ingéniosité ont vaincu la nature et permis à leur civilisation de se développer. Suit une théorie des climats,
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
2 s moyens de recouvrer la Terre sainte65. … Il est permis de penser que Dubois tenait assez peu au but lointain qu’il assignait
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
3 nien ; je suis Cephéen ; je suis Paulicien. Il ne permit pas des dénominations de ce genre qui eussent pu blesser le Christ, l
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
4 e il faut rendre la justice aux estrangers, et ne permettre point qu’ils soient offensez en aucune sorte par les originaires du p
5 e ce Conseil, en créant des occasions favorables, permettra à tous les hommes du monde entier de tourner leurs yeux vers cette lu
6 de M. l’abbé de Saint-Pierre, mais puisqu’il est permis de faire des romans, pourquoi trouverons-nous sa fiction mauvaise, qu
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
7 de M. l’abbé de Saint-Pierre, mais puisqu’il est permis de faire des romans, pourquoi trouverons-nous sa fiction mauvaise, qu
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
8 ut ce que l’on sait des autres mondes et ce qu’en permet d’imaginer l’astronomie, la marquise lui fait observer que les Chinoi
9 beaucoup éloigné. Peut-être qu’il ne lui est pas permis de se répandre dans une grande étendue de terre à la fois, et que que
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
10 érêt et la gloire de son pays natal ; mais il est permis à un philosophe d’étendre ses vues, et de considérer l’Europe entière
11 ut de leur existence et quels sont les moyens qui permettront d’atteindre sûrement et immanquablement ce but. En 1796, Wieland lui
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
12 orce ou de toute influence européenne, et qui lui permette de dicter les termes des relations entre l’Ancien et le Nouveau Monde
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
13 ; mais ni l’une ni l’autre, comme on le verra, ne permettrait d’atteindre seule le but recherché Quant à l’utilité d’une paix unive
14 tatives a eu l’issue que l’on sait, l’avenir seul permettra de porter un jugement sur l’autre. Mais si des circonstances tout à f
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
15 s siens. Pour la première fois des gouvernants se permettent de soumettre à l’assemblée de leurs États des questions provenant de
16 de l’État commercial fermé : il ne doit pas être permis plus longtemps à une vaine curiosité et à la recherche de distraction
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
17 que l’inaction forcée de Sainte-Hélène ait seule permis au despote déposé de se former une vue cohérente des motifs qui anima
18 s lumières universellement répandues, devenait-il permis de rêver, pour la grande famille européenne, l’application du Congrès
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
19 et par l’état de ses lumières. Le grand parlement permettra l’entière liberté de conscience, et l’exercice libre de toutes les re
20 La race audacieuse de Japhet n’a cessé, s’il est permis de s’exprimer ainsi, de graviter vers ce qu’on appelle la liberté, c’
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
21 rimes sont des crimes, c’est qu’il n’est pas plus permis à un gouvernement qu’à un individu d’être assassin, c’est que l’Europ
22 emple d’une nation « internationale » par essence permet au contraire d’imaginer ce que serait un État fédéral européen : La
23 ssi important qu’elle-même est étendue, mais elle permettrait aussi la réunion d’une telle masse de forces défensives que chaque Ét
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
24 é », et par son refus de tout système dialectique permettant de survoler les faits et dotant l’évolution d’on ne sait quelle énerg
25 , c’est un être moral. On n’admet plus qu’il soit permis de persécuter les gens pour leur faire changer de religion ; les pers
26  », nous aussi nous avons des heures où nous nous permettons un patriotisme plein de courage, un bond et un retour à de vieilles a
27 sique, cette création essentiellement européenne, permet de suivre le processus de décomposition qui conduit de l’européanisme
28 t aussi servi la culture, en ce sens qu’elles ont permis de surmonter bien des obstacles qui, jusqu’alors, avaient empêché les
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
29 ence ne serait-elle pas la crise bienfaisante qui permettrait à l’Europe d’être véritablement l’Europe ? L’évidente décadence des n
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
30 s sciences. Elle ne souffre aucun voile ; elle ne permet pas la tranquillité d’opinions faites une fois pour toutes. Sa critiq
31 d’hypothèses conçues et d’expériences faites qui permet d’aller de l’avant, dans une lutte continue pour atteindre la réalité
32 eût agi avec la même astuce et la même audace qui permirent à Ulysse de se sauver avec ses compagnons de la caverne de Polyphème.
33 Grecs, le plus souvent, eurent la force d’âme qui permet de ne pas se mentir ; ils en furent récompensés et surent atteindre e
34 és à expier des crimes, ce qui rendait la cruauté permise et même indispensable. … Malgré la brève ivresse causée lors de la Re
35 à se servir du présent comme d’un modèle parfait permettant de juger le passé, et à considérer toute l’histoire comme un processu
36 est le livre sacré qui, au cours des millénaires, permit à toutes les possibilités contradictoires de s’épanouir avec sa bénéd
37 l’échec authentique ; et la croix chrétienne, qui permet de vaincre la conscience tragique ou de l’éviter dès le début, donne
38 Et cependant il existe certaines données qui nous permettent de pressentir de quel côté à peu près nous devrions chercher pour dis
39 ses rapports avec ce qui est en dehors du Moi, a permis à l’homme, noyé dans la collectivité et le jeu de ses contingences, d
40 ndividu consiste justement en ce qu’il n’est plus permis à l’homme de justifier ses actes par ce qui n’est que nature, histoir
41 ce temporelle jusque dans leur substance, afin de permettre à l’homme de sortir de l’aliénation dans laquelle la brutalité d’un m
42 le n’a songé à les découvrir. Ce sont eux qui ont permis à l’humanité de prendre conscience de son unité. L’idée d’universalit
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
43 e les peuples européens. Seule une Union fédérale permettra la participation du peuple allemand à la vie européenne sans qu’il so
44 pour les autres peuples. Seule une Union fédérale permettra de résoudre les problèmes des tracés de frontières dans les zones de
45 mpétence administrative. Seule une Union fédérale permettra la sauvegarde des institutions démocratiques de manière à empêcher qu
46 n péril l’ordre général. Seule une Union fédérale permettra la reconstruction économique du continent et la suppression des monop
47 es autarcies nationales. Seule une Union fédérale permettra la solution logique et naturelle des problèmes de l’accès à la mer de