1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 terminologie chrétienne dans sa source — et cela permet une confrontation exacte, terme à terme, avec les positions chrétienn
2 ce d’indifférence vaguement inquiète, où tout est permis , où il n’y a pas de sanctions, mais pas non plus d’ordres donnés. Ain
3 rts. Et bien entendu, tous les moyens leur seront permis pour prendre le pouvoir, puisque ce but est le plus haut que les homm
4 pieux ont disparu. Si Dieu n’est pas, tout m’est permis , dit l’existentialiste. Si Dieu n’est pas, l’État est tout, dit le to
5 mme chez les totalitaires, il n’y a plus de doute permis quant aux réalités immanentes. Aussitôt celles-ci s’absolutisent, et
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
6 la suspension imposée à l’expression de ce refus permet un acte de compréhension plus profond et concret. C’est pourquoi les
7 rètes vers les quatre autres confessions6. Est-il permis d’espérer d’autre part qu’en insistant pour que la messe soit dite en
8 ce communautaire de notre temps, et pourrait nous permettre de rétablir (entre chrétiens d’abord) un langage commun, ce n’est pas
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
9 nes, la nation juive ? Une similitude facile nous permet de l’imaginer : l’histoire n’a pas la plus petite raison de supposer
10 une « mesure », voilà ce dont l’exemple juif nous permettra mieux que tout autre de juger. Que devient en effet la culture, dans
11 on le sépare de l’autel, sans qu’il lui soit plus permis de faire aucune des fonctions sacerdotales. » [Note de l’éditeur] L’é
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
12 , qui est l’affaire de certains spécialistes, qui permet de fuir pendant quelques moments les soucis trop réels de la vie quot
13 ous considérons comme sérieux, donc utile, ce qui permet d’aller plus vite, par exemple, peu importe pour quel motif et vers q
14 ntes d’un point de la doctrine trinitaire. Est-il permis d’imaginer que les déviations ou les excès représentés par telle ou t
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
15 umis à quelque science officielle de l’eugénisme, permettant à l’État de limiter à l’extrême la marge de choix individuel. Peut-êt
16 ’apport de Freud réside dans le fait qu’il nous a permis de discuter de l’inconscient et de la sexualité. Les troubadours ont
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
17 mmunisme et les postulats qu’il suppose. Qu’on me permette ici d’être un peu schématique pour plus de clarté. Il me paraît que l
18 st la « foi », substance des choses espérées, qui permet seule de supporter les maux que l’on endure au nom du but dernier. (L
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
19 es applications de l’énergie nucléaire et solaire permettront , vers la fin de ce siècle, de réduire le travail des ouvriers à quelq
20 effet la technique et son progrès constant qui a permis à notre continent, simple « cap de l’Asie » comme on sait, de dominer
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
21 e qui me paraît d’une excellente méthode.) Est-il permis d’en appeler aussi au précédent des sept Églises d’Asie, possédant ch
22 arti. L’examen objectif des forces en présence ne permet d’envisager pour l’Europe et le monde de demain qu’une période de cha
23 , rien ne subsiste en dehors de l’œcuménisme, qui permette de mettre en relations des groupes nationaux non étatiques. Ce fait s
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
24 ce de tranquillisant de type archaïque (médiéval) permettant de prendre en patience nos maux inévitables, mais aucun apaisant n’es
25 ner maintenant d’une manière aussi précise que le permet l’art de la conjecture historique et sociologique, art dont on sait q
26 e intellectuelle non moins remarquable, qui lui a permis de s’adapter, en dépit de sa discipline doctrinale, à des milieux cul
27 Il a toujours favorisé les solutions fédératives, permettant une évolution conciliatrice, au contraire de l’Église romaine qui a p