1 ribution de l’État. D’autre, part, les mouvements personnalistes des années 1930 mettaient déjà en question le productivisme sans frei

2 centrées. Votre fédéralisme dérive directement du personnalisme . Quels sont, à votre avis, les obstacles à la réalisation de l’Europe

3 manuel Mounier — l’un des fondateurs du mouvement personnaliste , qui naissait en réaction aussi bien contre le fascisme que contre le

4 tant à Esprit qu’à L’Ordre nouveau , d’appeler personnalisme . Dans le lexique unifié de ces groupes, la personne s’opposera à l’in

5 ley, et vingt autres, à la formation du mouvement personnaliste , qui s’opposait aux totalitarismes, mais aussi à nos démocraties capi

6 oque, toute une génération s’est exprimée dans le personnalisme  : à l’individualisme et au collectivisme, nous opposions la personne

7 2, avec Emmanuel Mounier ( Esprit ), le mouvement personnaliste . Parce qu’il est, depuis vingt ans, le pionnier d’une Europe fédérée.

8 re nouveau , c’est-à-dire les revues du mouvement personnaliste . Nous parlions déjà d’Europe. Nous avions déjà établi toute notre doc

9 traduction immédiate sur le plan politique de ce personnalisme en fédéralisme. C’est-à-dire une union librement consentie de petits

10 ions séparer. Sur cette base de fédéralisme et de personnalisme , nous en sommes venus, les uns à faire des études plus spécialement é

11 ccupations étaient-elles antérieures au mouvement personnaliste  ? Non. Elles sont absolument simultanées. C’est une partie de la noti

12 . Et à transposer une fois de plus notre doctrine personnaliste en termes politiques, ce qui donnait le fédéralisme. Alors que vous ê

13 ation protestante m’a permis de mieux formuler le personnalisme en ajoutant le terme de vocation qui a été fortement souligné par Lut

14 restier de l’auteur de Candide. Mêlé au mouvement personnaliste dès sa fondation, auteur d’une trentaine d’ouvrages traduits en seize