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diverses et qui se retrouvaient dans les groupes
personnalistes
. Tous partaient d’une définition de l’homme, non pas comme individu,
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», expression créée par moi en 1936 dans la revue
personnaliste
L’Ordre nouveau . i. « Denis de Rougemont devant l’Histoire », Le
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nt jusqu’à la guerre — et, surtout, les thèses du
personnalisme
et du fédéralisme. De fait, nous n’étions ni individualistes, ni coll
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tions ni individualistes, ni collectivistes, mais
personnalistes
. En outre, nous répondions au grand défi des nationalismes, du nazism
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idée de « personne » et nous sommes devenus les «
personnalistes
». Il en est sorti deux revues : Esprit , qui dure encore, et L’Ord
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ses parents !… Quelle était la théorie de l’école
personnaliste
? Le manifeste de notre groupe tenait en trois lignes : « Nous ne som
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i individualistes, ni collectivistes. Nous sommes
personnalistes
. » Mounier a vite parlé de révolution personnaliste et communautaire.
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sonnalistes. » Mounier a vite parlé de révolution
personnaliste
et communautaire. Cette révolution devait se faire à partir du bas, e
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as de frontière délimitée. J’appartiens à l’école
personnaliste
et à diverses associations… Si un fou venait me dire : tout cela ne p
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. Je suis pour la région à cause de ma conception
personnaliste
de l’homme. Mais aussi à cause des conséquences de l’État-nation actu
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et l’obligation de servir l’État-nation. L’école
personnaliste
est constamment revenue sur cela. La patrie, c’est quelque chose qui
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re Marc, que j’avais bien connu dans le mouvement
personnaliste
: ils m’ont jeté bon gré mal gré dans l’action fédéraliste européenne
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cé dans les années 1930, sous le nom de mouvement
personnaliste
, et sous le motto de Révolution personnaliste et communautaire. Dès l
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ent personnaliste, et sous le motto de Révolution
personnaliste
et communautaire. Dès le début, il n’était pas question de séparer la
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sité des fondements sacrés Il a raison : ni le
personnalisme
, ni les régions, ni même le fédéralisme ne peuvent entraîner religieu
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ous voyez autour de nous, que se sont dressés les
personnalistes
des années 1930, et ensuite les fédéralistes européens, puis les régi
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ambiguës. Il laisse entendre quelque part que le
personnalisme
aboutirait à l’exclusion du sacré. Je ne vois pour ma part absolument
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é. Je ne vois pour ma part absolument aucun texte
personnaliste
qui puisse justifier une hypothèse de ce genre. La notion même de per
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« Pour moi, le fédéralisme, c’est la philosophie
personnaliste
plus les ordinateurs. » Il m’a répondu : « Ah, celle-là, je vous en v
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ant les États-Unis, aux années 1930, au mouvement
personnaliste
qui s’exprimait dans les revues Esprit et L’Ordre nouveau ? Oui,
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ns à peu près, dans le premier numéro de la revue
personnaliste
intitulée L’Ordre nouveau — titre volé plus tard par Hitler, mais p
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initiateur, avec Emmanuel Mounier, de la revue du
personnalisme
Esprit , puis fondateur du Centre européen de la culture, à Genève.
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plupart dans les équipes fondatrices du mouvement
personnaliste
réunies autour d’Esprit et de l’Ordre nouveau à partir de 1931. Sur c
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ni individualistes ni collectivistes, nous sommes
personnalistes
Ce fut le trait de lumière. J’en serai à tout jamais reconnaissant
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pes et les individus à l’intérieur du « mouvement
personnaliste
». Je voudrais seulement rappeler que telles étaient alors nos motiva
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s avons à peine commencé. ae. « Témoignage » Le
personnalisme
d’Emmanuel Mounier : hier et demain : pour un cinquantenaire, Paris,
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ai dit hier comment je me rappelais avoir vécu le
personnalisme
du début d’Esprit. On vient de nous dire comment il avait été perçu.
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l parlait sont exactes, John Hellman voit dans le
personnalisme
, dans celui d’Esprit notamment, un mouvement de « chrétiens gauchisan
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s aussi notoirement dépourvus de compréhension du
personnalisme
que les livres de Senarclens et de Paxton, seules sources, hélas, du
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lle d’un certain « perçu-nalisme », plutôt que du
personnalisme
que nous avons vécu. Hellman nous dit que, dans un tract intitulé Le
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ssentiels entre jeunes intellectuels communistes,
personnalistes
, et « révolutionnaires de droite », comme on le disait. Le sommaire q
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ue soient les mots d’ordre du PC et les positions
personnalistes
, il y avait peut-être moyen de lutter en commun sur quelques points c
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’écrire aujourd’hui que Paul Nizan a « perçu » le
personnalisme
comme préparant les voies du fascisme français. La vérité est qu’en p
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s le plus actif du terme. 6. « Témoignage », Le
personnalisme
d’Emmanuel Mounier : hier et demain : pour un cinquantenaire, Paris,
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bonheur de trouver en Montaigne un précurseur du
personnalisme
et de ses prolongements politiques, je le dois à ce livre de Staro. M
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nt (1986)aj Denis de Rougemont est un écrivain
personnaliste
et chrétien. Il n’est sans doute pas inutile de le rappeler, car l’im
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commune mesure »18, par le biais d’une révolution
personnaliste
. Les sociétés individualistes devaient, pour survivre, retrouver le s
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damner ; j’ai proposé les principes d’une société
personnaliste
à créer. Quant à mes « condamnations », elles portaient beaucoup moin
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ce qui ne nous avait jamais effleurés. Parmi les
personnalistes
anglais, allemands, espagnols, suisses, il y avait des agnostiques, d
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ieux. J’ai en effet le sentiment que pour vous le
personnalisme
et ensuite le fédéralisme s’inscrivent tout naturellement dans la tra
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lus claire chez moi que ça ne l’est chez d’autres
personnalistes
, peut-être par une certaine ambition littéraire que d’autres n’avaien
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ous disiez que chez vous plus que chez les autres
personnalistes
il y a une préoccupation… Une préoccupation de formulation et de comm
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-vous toujours en rapport avec certains écrivains
personnalistes
? Il se trouve qu’à mon âge — j’aurai 78 ans dans un mois — eh bien,
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Marc, je suis à peu près le dernier survivant des
personnalistes
de la première génération. Lourde responsabilité !… En ce moment surt
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x articles de l’auteur parus dans les deux revues
personnalistes
de l’époque, Esprit et L’Ordre nouveau . 18. Voir le chapitre IX
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que de la personne , « Problèmes de la révolution
personnaliste
». aj. « Interview avec Denis de Rougemont », Contemporary French Ci
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ulement bref, une troisième voie. Ce fut celle du
personnalisme
. Un jour, chez des amis, un jeune Russe que je venais de connaître, A
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i individualistes, ni collectivistes, nous sommes
personnalistes
. Un trait de lumière dans mon esprit : cette formule se trouvait rép
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aient milité avant la guerre dans nos groupements
personnalistes
, puis inspiré la Résistance, j’ai dit que j’étais prêt à donner à leu
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vant ce raisonnement, nous observions — nous, les
personnalistes
— que l’homme n’est responsable qu’au sein d’une communauté où sa voi