1 1982, Articles divers (1982-1985). De la personne à l’Europe des régions (25 mars 1982)
1 diverses et qui se retrouvaient dans les groupes personnalistes . Tous partaient d’une définition de l’homme, non pas comme individu,
2 1982, Articles divers (1982-1985). Denis de Rougemont devant l’Histoire (17 juillet 1982)
2 », expression créée par moi en 1936 dans la revue personnaliste L’Ordre nouveau . i. « Denis de Rougemont devant l’Histoire », Le
3 1982, Articles divers (1982-1985). Un écrivain au service de la cité (24 octobre 1982)
3 nt jusqu’à la guerre — et, surtout, les thèses du personnalisme et du fédéralisme. De fait, nous n’étions ni individualistes, ni coll
4 tions ni individualistes, ni collectivistes, mais personnalistes . En outre, nous répondions au grand défi des nationalismes, du nazism
4 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
5 idée de « personne » et nous sommes devenus les «  personnalistes  ». Il en est sorti deux revues : Esprit , qui dure encore, et L’Ord
6 ses parents !… Quelle était la théorie de l’école personnaliste  ? Le manifeste de notre groupe tenait en trois lignes : « Nous ne som
7 i individualistes, ni collectivistes. Nous sommes personnalistes . » Mounier a vite parlé de révolution personnaliste et communautaire.
8 sonnalistes. » Mounier a vite parlé de révolution personnaliste et communautaire. Cette révolution devait se faire à partir du bas, e
9 as de frontière délimitée. J’appartiens à l’école personnaliste et à diverses associations… Si un fou venait me dire : tout cela ne p
10 . Je suis pour la région à cause de ma conception personnaliste de l’homme. Mais aussi à cause des conséquences de l’État-nation actu
11 et l’obligation de servir l’État-nation. L’école personnaliste est constamment revenue sur cela. La patrie, c’est quelque chose qui
5 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
12 re Marc, que j’avais bien connu dans le mouvement personnaliste  : ils m’ont jeté bon gré mal gré dans l’action fédéraliste européenne
13 cé dans les années 1930, sous le nom de mouvement personnaliste , et sous le motto de Révolution personnaliste et communautaire. Dès l
14 ent personnaliste, et sous le motto de Révolution personnaliste et communautaire. Dès le début, il n’était pas question de séparer la
6 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : réponse à Raimondo Strassoldo (1984)
15 sité des fondements sacrés Il a raison : ni le personnalisme , ni les régions, ni même le fédéralisme ne peuvent entraîner religieu
16 ous voyez autour de nous, que se sont dressés les personnalistes des années 1930, et ensuite les fédéralistes européens, puis les régi
17 ambiguës. Il laisse entendre quelque part que le personnalisme aboutirait à l’exclusion du sacré. Je ne vois pour ma part absolument
18 é. Je ne vois pour ma part absolument aucun texte personnaliste qui puisse justifier une hypothèse de ce genre. La notion même de per
19 « Pour moi, le fédéralisme, c’est la philosophie personnaliste plus les ordinateurs. » Il m’a répondu : « Ah, celle-là, je vous en v
7 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
20 ant les États-Unis, aux années 1930, au mouvement personnaliste qui s’exprimait dans les revues Esprit et L’Ordre nouveau  ? Oui,
8 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
21 ns à peu près, dans le premier numéro de la revue personnaliste intitulée L’Ordre nouveau — titre volé plus tard par Hitler, mais p
9 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
22 initiateur, avec Emmanuel Mounier, de la revue du personnalisme Esprit , puis fondateur du Centre européen de la culture, à Genève.
10 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage I] (1985)
23 Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage I] (1985)ae Nous avions entre vingt
24 plupart dans les équipes fondatrices du mouvement personnaliste réunies autour d’Esprit et de l’Ordre nouveau à partir de 1931. Sur c
25 ni individualistes ni collectivistes, nous sommes personnalistes Ce fut le trait de lumière. J’en serai à tout jamais reconnaissant
26 pes et les individus à l’intérieur du « mouvement personnaliste  ». Je voudrais seulement rappeler que telles étaient alors nos motiva
27 s avons à peine commencé. ae. « Témoignage » Le personnalisme d’Emmanuel Mounier : hier et demain : pour un cinquantenaire, Paris,
11 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage II] (1985)
28 Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage II] (1985)6 Je vous ai dit hier com
29 ai dit hier comment je me rappelais avoir vécu le personnalisme du début d’Esprit. On vient de nous dire comment il avait été perçu.
30 l parlait sont exactes, John Hellman voit dans le personnalisme , dans celui d’Esprit notamment, un mouvement de « chrétiens gauchisan
31 s aussi notoirement dépourvus de compréhension du personnalisme que les livres de Senarclens et de Paxton, seules sources, hélas, du
32 lle d’un certain « perçu-nalisme », plutôt que du personnalisme que nous avons vécu. Hellman nous dit que, dans un tract intitulé Le
33 ssentiels entre jeunes intellectuels communistes, personnalistes , et « révolutionnaires de droite », comme on le disait. Le sommaire q
34 ue soient les mots d’ordre du PC et les positions personnalistes , il y avait peut-être moyen de lutter en commun sur quelques points c
35 ’écrire aujourd’hui que Paul Nizan a « perçu » le personnalisme comme préparant les voies du fascisme français. La vérité est qu’en p
36 s le plus actif du terme. 6. « Témoignage », Le personnalisme d’Emmanuel Mounier : hier et demain : pour un cinquantenaire, Paris,
12 1985, Articles divers (1982-1985). Éloge de Jean Starobinski (1985)
37 bonheur de trouver en Montaigne un précurseur du personnalisme et de ses prolongements politiques, je le dois à ce livre de Staro. M
13 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
38 nt (1986)aj Denis de Rougemont est un écrivain personnaliste et chrétien. Il n’est sans doute pas inutile de le rappeler, car l’im
39 commune mesure »18, par le biais d’une révolution personnaliste . Les sociétés individualistes devaient, pour survivre, retrouver le s
40 damner ; j’ai proposé les principes d’une société personnaliste à créer. Quant à mes « condamnations », elles portaient beaucoup moin
41 ce qui ne nous avait jamais effleurés. Parmi les personnalistes anglais, allemands, espagnols, suisses, il y avait des agnostiques, d
42 ieux. J’ai en effet le sentiment que pour vous le personnalisme et ensuite le fédéralisme s’inscrivent tout naturellement dans la tra
43 lus claire chez moi que ça ne l’est chez d’autres personnalistes , peut-être par une certaine ambition littéraire que d’autres n’avaien
44 ous disiez que chez vous plus que chez les autres personnalistes il y a une préoccupation… Une préoccupation de formulation et de comm
45 -vous toujours en rapport avec certains écrivains personnalistes  ? Il se trouve qu’à mon âge — j’aurai 78 ans dans un mois — eh bien,
46 Marc, je suis à peu près le dernier survivant des personnalistes de la première génération. Lourde responsabilité !… En ce moment surt
47 x articles de l’auteur parus dans les deux revues personnalistes de l’époque, Esprit et L’Ordre nouveau . 18. Voir le chapitre IX
48 que de la personne , « Problèmes de la révolution personnaliste  ». aj. « Interview avec Denis de Rougemont », Contemporary French Ci
14 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
49 ulement bref, une troisième voie. Ce fut celle du personnalisme . Un jour, chez des amis, un jeune Russe que je venais de connaître, A
50 i individualistes, ni collectivistes, nous sommes personnalistes . Un trait de lumière dans mon esprit : cette formule se trouvait rép
51 aient milité avant la guerre dans nos groupements personnalistes , puis inspiré la Résistance, j’ai dit que j’étais prêt à donner à leu
52 vant ce raisonnement, nous observions — nous, les personnalistes — que l’homme n’est responsable qu’au sein d’une communauté où sa voi