1 1954, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Visite à M. Denis de Rougemont, directeur du Centre européen de la culture (septembre 1954)
1 ont, qui fonda avec Emmanuel Mounier le mouvement personnaliste et la revue Esprit  ; Denis de Rougemont est également président du
2 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La poussée régionaliste en Europe occidentale (avril 1971)
2 ) prolonge la doctrine proudhonienne du mouvement personnaliste des années 1930, Esprit d’Emmanuel Mounier et Georges Isard, et l’Ord
3 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
3 , comme le fédéralisme — et que nous baptisons le personnalisme . Nous créons, avec Mounier et Izard, Esprit , avec Dandieu, Robert A
4 C’est qu’en un sens il s’agissait d’appliquer le personnalisme au domaine de l’érotique. Entre deux individus, il ne peut y avoir qu
5 litique, où elle se fera connaître sous le nom de personnalisme . Elle suppose une organisation de l’État où l’un et les divers seront
4 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Robert Aron : le témoin d’une génération passionnée (9 mars 1974)
6 es. Nous fondions les premières revues et groupes personnalistes . Il venait du surréalisme, dont il avait conservé une sorte d’aura av
7 é deux ou trois des ouvrages de base du mouvement personnaliste dans sa tendance la plus radicale, qui était le groupe de l’Ordre nou
5 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
8 ppé les conséquences politiques et culturelles du personnalisme . Quant à L’Amour et l’Occident , paru en 1939, il est né de la renco
9 protéger. Ce qui rejoint exactement nos doctrines personnalistes des années 1930. N’est-ce pas parce que vous êtes suisse que vous ête
10 aise, ou peut-être même la seule, de nos théories personnalistes et fédéralistes. Et j’ai écrit pendant les premiers mois de la guerre
11 communauté Quels ont été les rapports entre le personnalisme et l’existentialisme ? L’existentialisme sartrien nous a beaucoup emp
12 u. La notion d’engagement, par exemple, dérive du personnalisme , bien que le mot, dans l’existentialisme, ait fini par signifier embr
13 ais ne l’a jamais répété à Paris, semble-t-il. Du personnalisme , des personnalistes, que reste-t-il aujourd’hui ? Ils ont donné à la
14 épété à Paris, semble-t-il. Du personnalisme, des personnalistes , que reste-t-il aujourd’hui ? Ils ont donné à la Résistance son idéol
15 it pas », selon l’Épître aux Hébreux. L’avenir du personnalisme  ? Eh bien, j’ose dire qu’il se confond désormais avec l’avenir de la
16 sse du nouveau septennat, c’est un terme dont les personnalistes se sont toujours méfiés, car il suppose que c’est encore au centre qu
17 d’une Europe des régions fédérées, le philosophe personnaliste ou le critique impitoyable de la société du plutonium. »