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on non plus, entre le spirituel chrétien et notre
personnalisme
. Le spirituel de L’Ordre nouveau veut être humain et rien qu’humain.
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se fondera sur cette affirmation antiégalitaire,
personnaliste
, et par là même solidariste : il faut que chacun soit à sa place. Est
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concevoir d’être libres. Tel est le sens de notre
personnalisme
. Nous n’insisterons jamais assez sur ces constatations fondamentales.
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action qui accueille d’ordinaire nos déclarations
personnalistes
. « Hé ! quoi, nous dit-on, en face de tous ces monstres menaçants et
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issance de la personne ? C’est le « prolétariat »
personnaliste
. On s’occupera d’eux en temps voulu : il y a là un problème de rééduc
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n antibourgeoise, anticapitaliste, antiétatiste —
personnaliste
! Ce qu’ils disent sonne faux ; c’est poli, c’est raisonnable, c’est
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e, un développement de la révolution dans le sens
personnaliste
. C’est le hiatus entre la tactique de combat avant la prise de pouvoi
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ndable jusqu’au bout que par des révolutionnaires
personnalistes
. Le « groupe compact », restreint en nombre, exigeant et intransigean
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c’est L’Ordre nouveau. Nos fondements spirituels,
personnalistes
, nous permettront, nous obligeront même à corriger les déviations que
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Quatre indications pour une culture
personnaliste
(février 1935)l 1. — La culture ne doit pas tendre à former des pe
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une tension par en bas22. La mesure d’une société
personnaliste
est au contraire infiniment vivante : car la personne est un principe
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lence la mesure d’une société ouverte. La société
personnaliste
a pour fin l’extension maximum du phénomène de la personne. On peut c
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et de la politique qui l’exploite. Mais un monde
personnaliste
est un monde où la « masse » s’organise, se fragmente en communautés
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se fragmente en communautés organiques. Un monde
personnaliste
est un monde sans masses. C’est dans un monde communautaire seulement
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La Révolution appartient à la première communauté
personnaliste
qui saura s’imposer et gouverner conformément à la mesure au nom de l
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p. 172. l. « Quatre indications pour une culture
personnaliste
», L’Ordre nouveau, Paris, n° 18, février 1935, p. 13-16.
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e se dessine dans les faits l’appel à la doctrine
personnaliste
que la jeunesse française se doit de donner en exemple à l’Europe.
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avec l’appui de Moscou : en regard de la mission
personnaliste
de la France, ces deux tentatives ne seront jamais que des trahisons
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en tous cas, sans commune mesure. 5. Pour nous,
personnalistes
, c’est tout le contraire : la vraie politique ne saurait être qu’une
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nformisme vraiment stalinien. L’auteur englobe le
personnalisme
dans ce qu’il nomme, avec horreur, l’anti-Progrès. C’est sans doute q
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Manifeste au service du
personnalisme
par Emmanuel Mounier (octobre 1936)w Ce texte marquera un moment i
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marquera un moment important dans l’évolution du
personnalisme
: le moment du regroupement doctrinal, après quelques années de reche
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ord aussi solides. w. « Manifeste au service du
personnalisme
par Emmanuel Mounier (Ed. Montaigne) », L’Ordre nouveau, Paris, n° 34
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ité. Mais il y va du succès même de la révolution
personnaliste
. Désespérer de faire comprendre aux Français la vraie nature des régi
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l suprême sera orienté vers la création du régime
personnaliste
. Il devra donc essentiellement veiller à ce que les institutions prin
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nt à l’encontre des principes révolutionnaires du
personnalisme
, tout de même qu’un citoyen américain peut demander à la Cour suprême
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e totale méconnaissance des buts de la Révolution
personnaliste
. L’autorité réelle étant pour nous l’émanation de la personne, se tra
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édération dont le principe commun est justement «
personnaliste
», c’est-à-dire à une fédération dont la vie même suppose la libre et
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ée à l’ensemble de notre attitude révolutionnaire
personnaliste
. Quiconque a compris ce que nous entendons par « personne humaine » d