1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
1 action, ou qui se voudraient tels. De cette école personnaliste , apparue publiquement en 1932, vont s’inspirer certains des responsab
2 lendemain de la catastrophe hitléro-fasciste, le personnalisme a cessé d’exister en tant que mouvement organisé. Il s’est perdu, mai
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
3 Sur l’automne 1932 ou la naissance du personnalisme Déclics irréguliers de la machine à poinçonner les fiches d’entrée
4 ni individualistes ni collectivistes, nous sommes personnalistes  ! »   À 15 ans, militant socialiste-révolutionnaire à Moscou, il avai
5 lui que j’ai connu — ou reconnu — le nom même du personnalisme et les rudiments d’une doctrine que ma récente découverte de la théol
6 assure avec moi la liaison entre les deux groupes personnalistes , si différents par leurs styles de pensée, leurs tabous et leurs alle
7 isément comparables : l’une matérialiste, l’autre personnaliste  ; la première en voie de réalisation en URSS, la seconde encore mal d
8 e tout cela. Entre le communisme et la révolution personnaliste , l’opposition doctrinale peut se définir simplement. Les uns croient,
9 osition des nations collectivistes et des patries personnalistes . Mais où sont les motifs de notre choix ? J’en indiquerai trois : 1°
10 c’est l’opium de la révolution. 3° La conception personnaliste est seule capable d’édifier un monde culturel, économique et social q
11 future Résistance à l’hitlérisme, tracées par les personnalistes et par eux seuls. Certes, les communistes les rejoindront plus tard d
12 guerres : le surréalisme dans les années 1920, le personnalisme dans les années 1930. Le premier a formé la sensibilité de plusieurs
13 dentité profonde d’un homme, appelant une réponse personnaliste précisément, et non collectiviste ni étatiste — ces autres formes du
14 ous jugions plaisant et utile d’étayer nos thèses personnalistes , les néothomistes plus (ou moins ?) Blondel et Scheler, jouaient à E
15 amour, Sylveire) de cinq pages ; et trois groupes personnalistes , L’Ordre nouveau (Dandieu, Aron et Chevalley), Esprit (Mounier et
16 Il s’agit d’un « Programme présenté au mouvement personnaliste par L’Ordre nouveau  ». Ses articles se retrouveront, parfois presqu
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
17 la personnalité ; le cercle social, du mouvement personnaliste . J’irai. Je me fais une règle d’accepter toutes ces invitations. Depu
18 disciplinés et « raisonnables ». 2. Réflexion du personnaliste . — Le peuple tel qu’on le voit paraît tout ignorant de ses intérêts v
19 vont toutes dans le sens de ce que proposent les personnalistes  : autonomie de la région naturelle, communalisme, syndicats locaux, r
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
20 ne soirée chez lui avec quelques amis des groupes personnalistes . On me fait parler avec un personnage aux trop longues jambes et trop
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
21 s faire, me dit-il, une causerie sur le mouvement personnaliste , ce soir, à la réunion politique des SA. — Que pensez-vous de ce liv
22 estruction matérielle. Au contraire : nous autres personnalistes , nous avons un trop grand besoin des différences et des oppositions n
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
23 e que ce fût s’excluaient par là même d’un groupe personnaliste .) Nous ne pensions pas que Drieu s’engageait lorsqu’il se livrait à l
24 uveaux de relations civiques. Hors des mouvements personnalistes et de leurs écrits, les vrais dangers ne furent pas vus. On ne concev
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
25 es amis belges avec Paul Van Zeeland, et parlé du personnalisme , de la fédération européenne, enfin de l’art nouveau de la propagande