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it suffire. À l’exception, peut-être, de celui de
personnalisme
qu’il a grandement contribué à illustrer. Dans notre génération, je c
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s que recèle la confusion entre individualisme et
personnalisme
. Confusion néfaste, dont il faut reconnaître qu’elle a résisté à tous
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plus significatifs qui tend à dévaluer les idées
personnalistes
de Karol Wojtyla, publié par les Archives de philosophie, nous appren
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r si elle n’est pas triple : en effet, autant les
personnalistes
sont convaincus qu’il importe de distinguer individu et personne, aut
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r sur cette perspective, primordiale aux yeux des
personnalistes
, Claude Morali paraît en avoir au moins la prémonition lorsqu’il parl
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ce de cette liaison onto-lectique. Non pas que le
personnalisme
soit déductible d’une théologie, quelle qu’elle soit. Les non-conform
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nnées 1930 étaient au contraire convaincus que le
personnalisme
pouvait réunir chrétiens et non-chrétiens, croyants et incroyants, sa
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ns entravés, par leur engagement dans la mouvance
personnaliste
. Pour reprendre une formule forgée, semble-t-il, par Emmanuel Mounter