1 résistance des faits, elle a son ressort dans la personne même, en tant que cette personne s’oppose à toutes les abstractions s

2 ressort dans la personne même, en tant que cette personne s’oppose à toutes les abstractions systématiques, qu’elles soient imp

3 er 1933)d Ce n’est pas, Nizan, une querelle de personnes que je veux vous faire. Vous parlez au pluriel, en ce qui vous concer

4 nous étonnerons alors des craintes du bon père : personne en France ne peut croire sérieusement aux vertus « révolutionnaires »

5 des tyrannies étatistes, au nom des droits de la personne . La France possède une tradition révolutionnaire personnaliste. C’est

6 a démocratie l’a sabotée, ruinée et trahie. De la personne elle a fait l’individu, ouvrant ainsi les voies aux collectivismes qu

7 fait la nation-carcan. Et de l’universalité de la personne , elle a permis qu’on tire l’internationalisme, c’est-à-dire la négati

8 ustification, mais d’une accusation. Au nom de la personne , seul fondement de l’universel, nous dénoncerons les tyrannies racist

9 s. Au nom de la patrie, lieu d’enracinement de la personne , nous dénoncerons les mystiques nationalistes et leurs guerres. Ainsi

10 de l’économie, la primauté de l’inhumain sur les personnes  ? L’État, le standard, l’industrialisation, voilà bien les « vieilles

11 es nos constructions à un fait humain central, la personne — telle que nous la définirons tout à l’heure — ou mieux encore, le c

12 ne prennent leur vrai sens que dans le plan de la personne , où nous les reposons. Prenons par exemple le problème du « minimum d

13 térielle ne prend son sens que dans le plan de la personne qui est, nous allons le voir, le plan de la liberté créatrice ; que c

14 e peut être défini correctement qu’à partir de la personne  ; que seule la doctrine personnaliste, parce qu’elle le transcende et

15 le nécessairement simplifiée. Nous définissons la personne comme un acte et non pas comme un donné physique ou moral, matériel o

16 donné physique ou moral, matériel ou abstrait. La personne , c’est l’individu engagé dans un conflit créateur avec lui-même d’abo

17 développement. En second lieu, la doctrine de la personne nous oppose à tout soviétisme stalinien. Il est trop facile, en effet

18 d’autre part l’universalisme issu directement des personnes et qui pourrait se concrétiser dans un organe central, d’autorité pur

19 ine, le minimum de vie matérielle qui permet à la personne de courir sa chance. Nous ne pouvons songer à développer ici ces thèm

20 d’énergie » permanente de la révolution, c’est la personne humaine telle que nous l’avons définie. 5° Dans « l’Ordre nouveau »,

21 egrés le conflit et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine politique : la

22 auteurs13. La première porte sur la notion de la personne , évidemment centrale pour la construction de Dandieu : « Une personne

23 centrale pour la construction de Dandieu : « Une personne est un homme qui unifie les diverses parties de lui-même à l’intérieu

24 rial ? La doctrine de l’Ordre nouveau définit une personne qui n’a rien à voir avec cet individu. Une personne qui n’est pas plu

25 rsonne qui n’a rien à voir avec cet individu. Une personne qui n’est pas plus l’homme naturel de Rousseau, comme le suppose Fern

26 nquête et rencontre, engagement et actualité. Une personne qui peut être définie comme le prochain de l’Évangile. La seconde obj

27 andez ne croit pas à l’existence concrète14 de la personne telle que nous la définissons. Elle n’est pour lui qu’un mythe, dont

28 ’homme par excellence, la qualité créatrice de la personne . Je n’en vois pas de plus haute dans notre ordre, ni de plus digne de

29 hèse humaine n’aura de droit sur nous en tant que personnes , en tant que vocations. Surtout, jamais un succès politique ne pourra

30 ques qui revendiquent les droits supérieurs de la personne par rapport à l’ensemble ; mais encore il pourra et devra affirmer qu

31 évolution sans illusions. Droits supérieurs de la personne . Telles sont quelques-unes des formules que je proposais tout à l’heu

32 ations doctrinales : affirmation des droits de la personne humaine, toujours supérieurs à ceux de l’État, qui doit normalement l

33 nd toutes ses définitions à l’acte constituant la personne (l’individu engagé dans un conflit concret). Sur cette notion d’acte

34 iste, ou mieux communaliste. L’assimilation de la personne à un acte20, tel est donc le fait spirituel, le fait humain par excel

35 z éclairé. Je vous ai vue, je vous ai aimée : car personne ne vous aime, s’il ne commence par vous voir, et personne ne vous voi

36 ne vous aime, s’il ne commence par vous voir, et personne ne vous voit, si ce n’est celui qui vous aime. Ah je vous ai trop tar

37 ême de toute genèse spirituelle, dans l’axe de la personne en exercice, dans le drame de la forme, — et y participer. Nous le te

38 n regard, si ce n’est son impuissance à saisir la personne dans sa totalité concrète et créatrice, — informulable. Le moraliste

39 s tout contraires, dont la coïncidence définit la personne . Tensions qui d’autre part, bâtissent et soutiennent l’édifice du vis

40 issent aller parce qu’ils se figurent qu’il n’y a personne qui soit capable de les voir, sous leur musique) (p. 198). Ou ceci d

41 idèrent les faits psychiques indépendamment de la personne , comme des cas. Ainsi elles laissent perdre l’humain, elles sortent d

42 t de forces contradictoires) et une théorie de la personne , au sujet de laquelle on pourra trouver des éclaircissements dans ma

43 er des éclaircissements dans ma “Définition de la Personne ” parue dans Esprit , décembre 1934. »

44 tez donc et assez bêtement, car vous ne tromperez personne sur mon compte et ridiculiserez la cause que vous croyez défendre. D’

45 ée en réponse à une recension de Politique de la personne parue dans la livraison de mars 1935 de la même revue.

46 la vraie nation française c’est la communauté des personnes responsables, conscientes de la mission libératrice de la France. Nou

47 l’un et l’autre cas destructeur de la liberté des personnes , destructeur du sentiment patriotique, destructeur à gauche et à droi