1 ne prudence exemplaire, qui n’est exemplaire pour personne et qui fait que nous sommes restés à la traîne loin derrière les autr

2 le du sens même de notre vie ? Oui, je crois à la personne humaine et à sa liberté. Pour surmonter les aliénations actuelles, il

3 t simplement une catastrophe pour la Suisse. Mais personne ne la préconise, je crois. Il est clair, en revanche, qu’une Europe f

4 nce des contraires, l’impensable définition de la Personne de Jésus-Christ comme « vrai Dieu et vrai homme » à la fois selon les

5 les : spirituel et temporel, autorité et liberté, personne et communauté, tradition et innovation, droite et gauche, nord et mid

6 s et se trouvait en relation quotidienne avec 150 personnes . Nous ne voulons pas coiffer d’autres institutions mais, selon le pri

7 e parce que l’Europe n’était pas là. Il n’y avait personne pour leur répondre. Et vous pensez que, actuellement, l’alternative :

8 nous porte à la fois vers l’universel et vers la personne . De la conclusion d’une conférence qu’il donnait en 1931 sur l’idée d

9 -dire de la personnalité humaine. L’homme est une personne , ou il n’est rien du tout ; ni race, ni régime ne sauraient changer c

10 le particulier (régional, local, autonomiste) la personne n’existant, au sens fort, que dans la tension entre ces deux pôles. C

11 onal nommé France. Car Dandieu a montré mieux que personne comment le mouvement vers l’autonomie régionale était dans le droit f

12 alisme. Dans le lexique unifié de ces groupes, la personne s’opposera à l’individu comme l’actualité — indiquée chez Dandieu par

13 tat d’une division atomisante du corps social. La personne (comme « l’individu agressif ») engendre la communauté, s’élance vers

14 moi le principe de cohérence entre le couple, la personne et le fédéralisme. C’est votre équation de base ? Oui. Disons qu’il s

15 sur le couple humain — création mutuelle de deux personnes dans le respect de l’autre — que sur le fédéralisme : l’union dans la

16 ue dans les deux cas, c’est la communion des deux personnes , qui se révèlent l’une à l’autre, dans leur différence, se créent ens

17 vidualisme et au collectivisme, nous opposions la personne et la communauté. C’est pour exprimer la liaison nécessaire entre per

18 . C’est pour exprimer la liaison nécessaire entre personne et communauté que je lançai alors un mot qui allait faire fortune un

19 tie anonyme d’une seule capitale : c’est-à-dire à personne . Les démocraties capitalistes et les dictatures communistes et fascis

20 est l’agent dépersonnalisant du monde, la fin des personnes , l’uniformisation totalitaire. Dès que vous cédez quoi que ce soit su

21 taire. Dès que vous cédez quoi que ce soit sur la personne , tout est perdu : l’homme, le couple, la cité, la société, et vous av

22 e succès du « pamphlet » de Pauwels : beaucoup de personnes , surtout âgées, ne demandent qu’à se réfugier avec un soulagement pro

23 d jalonné par les signes, doit être décidé par la personne , et ne peut l’être que dans l’acte de foi, par quoi je n’entends pas

24 le souci des fins dernières de la cité, et de la personne dans la communauté. Que la technologie renoue de la sorte avec l’aven

25 n, l’unité culturelle de l’Europe est un fait que personne ne conteste — à part nos bons nationalistes. Enfin, il y a l’affaire

26 e de leur vrai nom ; la masse est fuite devant la personne responsable ; et tous, tant que nous sommes, représentons une figure

27 cette autonomie, à cette autostructuration de la personne , de l’œuvre, des régions ou nations… À la limite, osons le dire : l’h

28 i-même (héritage judéo-chrétien) ; — la notion de personne humaine, autonome et chargée d’une vocation unique mais fondatrice de

29 d’une manière infime — mais décisive, puisque sa personne même se définit dans cette marge de liberté — le programme hérité de

30 ’à la guerre. Quelle était votre définition de la personne  ? Ce que nous appelions personne, c’est l’homme à la fois libre et re

31 définition de la personne ? Ce que nous appelions personne , c’est l’homme à la fois libre et responsable. Ce n’était pas l’indiv

32 ns pour une troisième voie, qui était celle de la personne , des personnes se manifestant dans des communautés. Nous opposions au

33 oisième voie, qui était celle de la personne, des personnes se manifestant dans des communautés. Nous opposions au dilemme indivi

34 individus que l’État fait son ciment — le couple personne /communauté, en insistant très fort sur la différence entre l’individu

35 rès fort sur la différence entre l’individu et la personne . Sur cette base, nous faisions une traduction immédiate sur le plan p

36 était un des degrés de communauté dans lequel la personne peut s’enraciner mais qui ne doit pas être fermé. Qui doit toujours ê

37 ’était la création de régions, dans lesquelles la personne puisse s’insérer, trouver ses racines et participer librement. C’est-

38 lié à Paris, en 1934, intitulé : Politique de la personne et qui réunissait des textes écrits au début des années 1930, il y a

39 simultanées. C’est une partie de la notion de la personne . Si vous voulez, c’est simplement une application de mes doctrines de

40 simplement une application de mes doctrines de la personne au domaine de l’amour et du mariage. Je représentais le mariage comme

41 eprésentais le mariage comme le régime même de la personne , la manifestation parfaite de la personne sur le plan de la vie amour

42 e de la personne, la manifestation parfaite de la personne sur le plan de la vie amoureuse, pas seulement sexuelle, mais aussi s

43 anente et quotidienne. Et chacun des deux devient personne dans la mesure où il agit librement, en pleine responsabilité vis-à-v

44 le sais très bien. » Mais il ne l’a jamais dit à personne d’autre… Mais il est bien évident que cette définition de l’homme et

45 st le grand démarrage de l’Europe. Il y avait 800 personnes , 16 présidents du conseil, 300 députés. J’ai écrit le message final :

46 rs conciles et notamment dans la définition de la personne du Christ où l’on constate ces deux réalités antinomiques : Dieu et h

47 tenir à quelque chose, justement à ce sens de la personne définie par une vocation unique. Chaque homme a sa vocation propre, c

48 uissance des États ou voulons-nous la liberté des personnes  ? Suivant le choix que chacun doit faire librement, tout le reste cha

49 nous choisissons la liberté, l’épanouissement des personnes , alors nous choisissons un certain état d’équilibre. Par ailleurs, no

50 ionnelle, et le long terme de l’intégration de la personne . Nul ne peut dire dans quelle mesure exacte les enseignants de nos pa

51 et mornes, citoyens de nulle part et prochains de personne . Car c’est dans la rue, sur la place que se formait l’opinion publiqu

52 chaque individu, s’identifie progressivement à la personne constituée — je ne dis pas à ce qui la constitue, qui est l’appel de

53 locales, de nos générations, et finalement de nos personnes . Tout le reste est rhétorique ministérielle, clichés journalistiques,

54 e l’opposition (contre l’establishment), et de la personne enfin (contre l’arbitraire individualiste, mais aussi contre la tyran

55 ut, et tenaient l’originalité, l’opposition et la personne pour autant d’erreurs, de blasphèmes, ou d’illusions phénoménales (vo

56 couru le risque de promouvoir l’originalité de la personne , d’inciter à l’initiative. Mais il résulte aussi de ce grand paradoxe

57 ctivement, c’est aussi se réaliser (manifester sa personne ) dans et par la communauté, c’est donc s’autodéterminer dans la mesur

58 et les totalitaires de tous les temps, soit de la personne , pour les autres. Ainsi mis en demeure de choisir nos options de base

59 tensions constitutives d’une cité faite pour les personnes , non pour la rentabilité à moyen terme d’investissements spéculatifs.

60 ’an 2000 ! — Options relatives aux libertés de la personne . L’identité et l’autonomie de la personne sont en butte à des menaces

61 s de la personne. L’identité et l’autonomie de la personne sont en butte à des menaces de tous ordres : pharmacopée, conditionne

62 inir, pour le revendiquer, ce droit suprême de la personne qui est le droit à l’inadaptation. S’il est vrai que la participation

63 et mornes, citoyens de nulle part et prochains de personne . Car c’est dans la rue, sur la Place que se formait l’opinion publiqu

64 es par un cordon douanier qui ne sert à rien ni à personne , mais qui symbolise la « souveraineté » (d’ailleurs de plus en plus f

65 s, impliquerait de toute évidence un statut de la personne et du citoyen absolument contraire au statut des sujets d’un État-nat

66 elle — et c’est aussi condition de la liberté des personnes dans la communauté politique. Fédéralisme et Œcuménisme La plur

67 roches, mais plus encore dans l’appropriation des personnes à la Vérité unique, dont nul n’est maître. Cette diversité, à la limi

68 mais seulement ce qu’il faudrait laisser passer : personnes , marchandises, œuvres d’art. « Cicatrices de l’Histoire » — comme dis

69 ents fois par jour les mêmes questions convenues ( personne n’y croit). ⁂ Un problème d’une portée politique décisive se trouve p

70 es par un cordon douanier qui ne sert à rien ni à personne , mais qui symbolise la « souveraineté » (d’ailleurs de plus en plus f

71 es finalités communes telles que le respect de la personne et de sa liberté plutôt que de la puissance collective d’un État, la

72 repartie transcendante, qui est son Nom divin, sa personne éternelle. Tout homme est double : individu sur Terre, donc transitoi

73 vénement majeur, la scène capitale du drame de la personne ainsi constituée se produit à l’aube de la troisième nuit qui suit la

74 andonner, mais tient à l’être même, au fait de la personne . Nulle technique et nulle science de l’homme ne peut nous être ici d’