1
mondiale, qu’il était simplement Adolf Hitler, et
personne
d’autre. Mais voilà : L’aventure a pris fin dans la catastrophe prév
2
Méphisto dans notre affaire ? Inutile de chercher
personne
. On ne trouvera jamais qu’un système et des sociétés anonymes. Chacun
3
est présent, actif et souverain, non pas dans une
personne
mais bien dans ses effets, dans le grand mythe collectif de la puissa
4
t la puissance ou est-ce que c’est la liberté des
personnes
par exemple ? Ça, c’est la question politique fondamentale. Est-ce qu
5
nce collective ou est-ce que c’est la liberté des
personnes
? Ou l’égalité ? N’importe quoid. Enfin, les grandes options qu’on pe
6
e. Je l’ai déjà exprimée dans la Politique de la
personne
paru en 1934, où j’esquissais le cas d’une société politique fondée
7
r une certaine idée de l’homme que j’appelle la «
personne
» : un individu chargé d’une vocation unique et qui prend conscience
8
ismes. Dès que vous cédez quoi que ce soit sur la
personne
, tout est perdu : l’homme, le couple, la cité, la société. Et vous ab
9
hérence qui me paraît exister entre le couple, la
personne
, le fédéralisme7. Dans L’Amour et l’Occident , ouvrage considéré auj
10
car il n’aime pas vraiment ce qu’elle est comme «
personne
». Or, c’est grave. Tristan vit en quelque sorte un amour totalitaire
11
, qui effrayait les chevaux, les enfants, et dont
personne
ne voulait, est à l’heure actuelle la première industrie mondiale. Av
12
roisement du pétrole arabe et de l’État d’Israël.
Personne
n’aurait pu le prévoir, les futurologues le reconnaissent eux-mêmes.
13
t le choix et la responsabilité de l’homme, de la
personne
? L’homme ne peut pas vivre sans prendre son destin en main. Et il a
14
ouvoir… Alors, que me reste-t-il ? L’individu, la
personne
… Qu’est-ce qui nous empêche de créer la société que nous voulons ? Ri
15
puissance. J’oppose à la puissance la liberté des
personnes
, l’épanouissement de l’individu. Je crois que nous devons, tout de su
16
crifices ? L’argument ne résiste pas à l’analyse.
Personne
n’a jamais rien demandé au tiers-monde, ce serait du reste parfaiteme
17
istes dont j’étais opposaient la conception de la
personne
. Je la définissais à peu près comme ceci dans l’un de mes premiers ar
18
cité, dans la communauté : on ne devient pas une
personne
tout seul mais on ne le devient pas non plus si l’on est totalement i
19
ys-Malville cet été, il y avait à peu près 80 000
personnes
pour protester contre Superphénix, parmi eux 70 000 « moins de 35 ans
20
ra le réserver strictement à certains usages. Ça,
personne
ne peut le nier. Or, je ne vois pas qu’on construise une voiture de m
21
qu’on ralentisse la construction des autoroutes.
Personne
ni au gouvernement, ni dans les partis politiques, ni dans les syndic
22
des raisons à la fois techniques et financières.
Personne
ne peut dire ce que cela va coûter ! Ce qui vaut pour Superphénix vau
23
es politiciens, les fonctionnaires… Je ne désigne
personne
nommément, je dénonce seulement la logique du système des États-natio
24
seulement de manière négative. Moi, je ne pousse
personne
à aller renverser Valéry Giscard d’Estaing ou Raymond Barre, pour met
25
u’une sécularisation de la conversion : seule une
personne
, à son plus intime, peut subir cette transformation totale. Or c’est
26
s voulions une évolution basée sur la liberté des
personnes
et non sur la puissance collective. Nous étions communalistes, partis
27
eprésentent doit être fondée sur le respect de la
personne
, la sécurité, la justice sociale, l’utilisation intégrale des ressour
28
ur l’illustration des droits et des devoirs de la
personne
humaine, dont malgré toutes ses infidélités, l’Europe demeure aux yeu
29
lesquelles seules le citoyen pourrait devenir une
personne
à la fois libre et responsable. Mouvement de base, spontané et pacifi
30
étranger, il m’a été répondu triomphalement que «
personne
ne le sait ! » C’était ce que j’attendais de ma question : l’aveu qu’
31
parlent les paysans vaudois. Je ne le crois pas.
Personne
ne peut écrire réellement comme on parle, à moins de recopier un roul
32
liste et communautaire ». Toute la doctrine de la
personne
est là, qui veut que l’individu qui assume sa vocation la manifeste —
33
er que la construction définitive sera parfaite ?
Personne
! Si l’usine explosait (« entrait en excursion », disent pudiquement
34
relation à autrui, expérience fondamentale de la
personne
, est réprimée dans l’État-nation. Pour changer le monde et, en premie
35
politiques et suppose l’engagement civique de la
personne
dans la communauté, je n’ai jamais adhéré à aucun parti. Cette simple
36
fin que de rendre chaque individu conscient de la
personne
qu’il peut devenir, à la fois libre d’accomplir sa vocation et respon
37
tional — ou au contraire, libre développement des
personnes
responsables dans la communauté. Qui décidera ? 3. Qui va faire
38
les responsabilités comme gages de liberté de la
personne
, et la volonté, je cite : « d’harmoniser la politique économique avec
39
opéenne de l’homme et du monde, en définissant la
personne
et le dogme de l’Incarnation. Le concept de personne, élaboré en vue
40
sonne et le dogme de l’Incarnation. Le concept de
personne
, élaboré en vue de rendre compte à la fois de l’unité et de la distin
41
ar son rôle, sa fonction sociale dans l’État). La
personne
, au sens chrétien, c’est donc l’homme à la fois distinct et relié, à
42
stes. Parce que là où l’homme est conçu comme une
personne
, non comme une simple cellule prise dans la masse, il tend à former d
43
comme des espaces de participation civique où la
personne
trouve la possibilité de s’épanouir dans ses dimensions de liberté et
44
a fin suprême de toute société est la liberté des
personnes
, non la puissance d’une collectivité, il devient clair que la région
45
n millénaire sur lequel se détachent l’idée de la
personne
, la lutte contre le destin, l’acceptation du temps l’affirmation de l
46
à la fois vérifiables et contradictoires selon la
personne
à qui l’on s’adresse, les réalités que l’on choisit d’observer, et la
47
amour est la fin suprême, l’accomplissement de la
personne
totale dans le don. Quand on loue notre époque d’avoir enfin « libéré
48
ium… Et surtout, pas assez de pétrole. Donc, plus
personne
ne devrait oser promettre un développement indéfini dans ce monde fin
49
la France mais ces hommes disent n’importe quoi.
Personne
de sensé ne peut imaginer l’hypothèse d’une guerre entre la France et
50
mbées les dernières barrières douanières. Presque
personne
n’y a fait attention. Or c’était précisément l’un des buts que s’étai
51
lée parlementaire des neuf pays de la Communauté,
personne
ne s’est encore soucié d’informer le peuple européen sur l’enjeu de c
52
u tiers-monde autant d’autos qu’il en demande, et
personne
n’aura plus de pétrole nulle part d’ici dix ans. Essayez d’installer
53
Cette question me paraît fondamentale, décisive.
Personne
encore ne s’est risqué à y faire face, du côté de nos gouvernants. C’
54
lée parlementaire des neuf pays de la Communauté,
personne
ne s’est encore soucié d’informer le peuple européen sur l’enjeu de c
55
uire lui-même autant d’autos qu’il en demande, et
personne
n’aura plus de pétrole nulle part cinq ans plus tard. Essayez d’insta
56
Cette question me paraît fondamentale, décisive.
Personne
encore ne s’est risqué à y faire face, du côté de nos gouvernants. C’
57
formation, de la libre circulation des idées, des
personnes
et des œuvres, et de la nécessité d’exercer « une action de vigilance
58
de culture créatrice sans le libre dialogue entre
personnes
et communautés, sans la libre circulation des hommes, des idées et de
59
ure dont la finalité dernière soit la liberté des
personnes
dans la communauté des responsables. Ces principes paraissent les plu
60
bitraires à la circulation normale des idées, des
personnes
, et des œuvres ; c’est d’autre part presque automatiquement, favorise
61
que automatiquement, favoriser ceux qui ne gênent
personne
, ceux qui sont les moins créateurs ou novateurs, ceux qui font le moi
62
mmédiate des obstacles à la libre circulation des
personnes
, des œuvres, et des instruments de travail dans toute l’étendue de l’
63
d’initiative personnelle, à sa liberté assumée de
personne
et de citoyen responsable, à la fois autonome et relié à la communaut
64
s’annoncerait incompatible avec la liberté de la
personne
; b) refuser toute innovation qui entraînerait nécessairement ou favo
65
Il a pour fin, tout au contraire, la liberté des
personnes
et la réalisation de leurs vocations singulières. De là procèdent les
66
nce que deux soient jamais identiques23) mais des
personnes
en tant que vocations uniques. Accepter l’altérité, c’est accepter no
67
t quatre membres, ce qui ne m’apprend rien sur sa
personne
— gît la similitude la plus profonde entre les hommes de toute l’Huma
68
statistiquement unique, au régime spirituel de la
personne
isolée par sa vocation, mais reliée à la communauté par les condition
69
reconnaissance du droit à la différence de chaque
personne
, c’est pratiquement exiger des Pouvoirs l’adaptation à chaque cas per
70
en société qui favorisent le mieux les fins de la
personne
sont les formes et les formules de communauté fédéraliste. Car ces fo
71
rnière de l’État séculier, qui est la liberté des
personnes
. 23. Une chance sur 250 milliards que les mêmes parents aient deux
72
la plus grande catastrophe énergétique du siècle.
Personne
n’en voit l’issue, ou n’oserait la dire. Nos journaux ne se sont pas
73
propos, évoquer un livre qui a pour titre : Les
Personnes
du drame . L’avez-vous écrit en Amérique ? Non, il a été publié à New
74
ecrètes. En fait, la valeur que j’attache à ces «
personnes
du drame » tient justement au fait que je décris là dans ce livre ce
75
les finalités de la société d’aujourd’hui, de la
personne
humaine dans la société d’aujourd’hui. L’acteur-auteur comique améric
76
on pas des collectivités ou des nations, mais des
personnes
, elle suppose, elle implique la responsabilité de l’homme et de la fe
77
ent. Si nous décidons en faveur de la liberté des
personnes
, et non des mythes nationaux ou de la volonté de puissance, (ou de sé
78
à cette fin, celui qui conduit à l’autonomie des
personnes
et des groupes. Que signifie autonomie ? Étymologiquement : auto-nomo
79
é, à nos moteurs, de 50 esclaves mécaniques « par
personne
». Question : sont-ils nos esclaves ou nos maîtres ? Nous les voulons
80
essent les libertés démocratiques et le droit des
personnes
à disposer d’elles-mêmes. » Tant la bourgeoisie industrielle que la t
81
rises, mais surtout des régions et finalement des
personnes
, sera le grand mot de la fin du siècle et du commencement du prochain
82
ous à la rencontre de l’énergie qui est en chaque
personne
et qui attend d’être réveillée. « Nos cieux sont gris, me direz-vous.
83
ination. Je me crois dédaigné de tout le monde et
personne
n’y pense. C’est moi qui ne prends pas ma place, et je crois qu’on me
84
s cette soirée où naît son « amour fou » pour une
personne
qu’il connaissait depuis près de vingt ans, et jusqu’à la fin des Cen
85
ses amours ; mais la liberté politique mieux que
personne
de son temps. D’où le malentendu profond entre lui et la classe polit
86
’âme collective, en vue d’une guerre générale que
personne
ne veut, paraît-il, que tout prépare et qui éclatera le 1er août 1914
87
commission est la moins nombreuse du congrès (150
personnes
au plus, contre 300 et 400 aux deux autres) et c’est normal. Mais ell
88
de Genève a désigné en 1978 une Commission de 64
personnes
pour étudier le projet d’une nouvelle constitution fédérale et donner
89
heure où elle se réveille et qui fait sentir à la
personne
humaine prosternée qu’une personne divine lui parle, la domine par so
90
it sentir à la personne humaine prosternée qu’une
personne
divine lui parle, la domine par son ascendant et l’étreint de son amo
91
tionné les moyens d’exterminer les hommes et plus
personne
ne peut dire si on en tuerait des millions ou des milliards. Kowarski
92
« Ça peut tuer tout le monde ou très peu de gens,
personne
ne peut rien dire, il n’y a pas de précédent. » Je crois que les homm
93
serait la dernière ; qu’après, il n’y aurait plus
personne
pour en faire d’autres. En 1979, les États ont dépensé plus de 500 mi
94
tre dignité personnelle. Nous serons au moins des
personnes
qui auront essayé de faire quelque chose. Et après tout, pour moi, le
95
e que de me battre pour la volonté de liberté des
personnes
, contre la volonté de puissance des États ? 67. Lew Kowarski, phys
96
ment des contraintes publiques et du contrôle des
personnes
. Et il est vrai, comme l’écrivait Lénine en 1917, que les révolutions
97
berté et la responsabilité — inséparables — de la
personne
? » 2. Et d’abord, d’où vient-elle ? Le premier ordinateur, l’
98
re, de liberté et de responsabilité accrues de la
personne
. 3. Ambivalence de la technologie Je ne suis pas et n’ai jamais
99
e du savoir (ou de la connaissance) que seule une
personne
peut intégrer. L’information ne nous dit pas ce qui est conforme ou n
100
s de l’esprit au service des fins dernières de la
personne
, donc de sa liberté d’obéir à sa vocation particulière. f. Il faudra
101
ugura en 1899 la première fabrique d’automobiles,
personne
n’eut l’idée de prévoir ce que serait l’avenir dans cette hypothèse —
102
eu probable — d’un succès total de cette machine.
Personne
n’imagina nos villes éclatées, embouteillées, irrespirables, nos camp
103
t à rejeter le travail à la chaîne, qui réduit la
personne
à l’état d’instrument, contrairement au précepte fondamental de Kant,
104
oncerait comme incompatible avec la liberté de la
personne
. 3. L’idée de créer de très grandes unités de production est née du
105
cerveau humain. Mais cela n’est pas utile pour la
personne
qui interroge, car il lui faudra le même temps pour comprendre réelle
106
de sa solution. Mais dans tous les domaines où la
personne
humaine est impliquée, par sa biologie, sa psychologie ou son affecti
107
. Et non pas de ce qui révélerait l’unicité d’une
personne
, de ce qui serait donc le plus intéressant à connaître. En bref, la t
108
ur avec sa prétendue « mémoire » indépendante des
personnes
— et du passé ! Au projet Plato j’opposerai la formule de l’ashram hi
109
est incompatible avec la liberté (juridique) des
personnes
, et éviter ce qui conduit au gigantisme (quoique, là encore, les illu
110
gressions psychologiques et culturelles contre la
personne
; et surtout parce qu’elle rend notre société terriblement vulnérable
111
ment des contraintes publiques et du contrôle des
personnes
. Et il est vrai, comme l’écrivait Lénine en 1917, que les révolutions
112
berté et la responsabilité — inséparables — de la
personne
? » 2. Et d’abord, d’où vient l’informatique ? Le premier ordin
113
re, de liberté et de responsabilité accrues de la
personne
. De là notre problème et le sujet que je souhaite aborder. 3. Ambi
114
onyme de savoir ou de connaissance, que seule une
personne
peut intégrer. L’information ne nous dit pas ce qui est conforme ou n
115
s de l’esprit au service des fins dernières de la
personne
, donc de sa liberté d’obéir à sa vocation particulière : f) il faut s
116
ura, en 1899, la première fabrique d’automobiles,
personne
n’eut l’idée de prévoir ce que serait l’avenir dans l’hypothèse — alo
117
eu probable — d’un succès total de cette machine.
Personne
n’imagina nos villes éclatées, embouteillées, irrespirables, nos camp
118
t à rejeter le travail à la chaîne, qui réduit la
personne
à l’état d’instrument, contrairement au précepte fondamental de Kant,
119
oncerait comme incompatible avec la liberté de la
personne
. Or, l’idée de créer de très grandes unités de production est née du
120
cerveau humain. Mais cela n’est pas utile pour la
personne
qui interroge, car il lui faudra le même temps pour comprendre réelle
121
de sa solution. Mais dans tous les domaines où la
personne
humaine est impliquée, par sa biologie, sa psychologie ou son affecti
122
, et non pas de ce qui révélerait l’unicité d’une
personne
, de ce qui serait donc le plus intéressant à connaître. En bref, la t
123
nateur avec sa prétendue mémoire indépendante des
personnes
— et du passé ! Au projet Plato, j’opposerai la formule de l’ashram h
124
est incompatible avec la liberté (juridique) des
personnes
et éviter ce qui conduit au gigantisme (quoique là encore, les illusi
125
gressions psychologiques et culturelles contre la
personne
, et surtout parce qu’elle rend notre société terriblement vulnérable.
126
ts dans le temps et l’espace d’une famille, d’une
personne
et d’une œuvre sont en constant parallélisme et à peu de chose près s
127
ie de l’œcuménisme implique une philosophie de la
personne
dont l’application est une politique du fédéralisme. 1. Théologie d
128
le modèle même de l’union dans la distinction des
personnes
? La théologie de l’œcuménisme considère que la diversité des vocatio
129
ner le plus tôt possible. 2. Philosophie de la
personne
Les positions œcuméniques que nous venons d’esquisser enveloppent
130
er les notions d’individu, de collectivité, et de
personne
par des exemples historiques susceptibles de faire image. L’individu
131
à la fois autonome et en relation. Ainsi, le mot
personne
avec son sens nouveau, et la réalité sociale qu’il désigne, sont bel
132
re, des créations de l’Église chrétienne. Dans la
personne
ainsi définie se résout l’éternel conflit entre la liberté individuel
133
sa chance. Mais la liberté et l’engagement de la
personne
chrétienne se définissent du même coup par la formule : à chacun sa v
134
part la dissidence obstinée, la philosophie de la
personne
prévient d’une part le collectivisme oppressif, d’autre part l’indivi
135
nt. Mais ici encore, insistons sur ce point : la
personne
n’est pas un moyen-terme, entre l’individu trop flottant et le soldat
136
aliste en politique. Quant à la philosophie de la
personne
, elle sera normalement celle du bon citoyen d’une fédération. La devi
137
dres). C’est en effet dans le groupe local que la
personne
peut se réaliser. Car les tâches civiques y sont à l’échelle de l’ind
138
alitaire, le couple de frères amis que forment la
personne
et la communauté fédérale. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’œcu
139
orité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pas,
personne
d’autre, je le crains, ne répondra. Avant même de se demander si les
140
es termes, « dans la diversité des Églises et des
personnes
particulières ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisse
141
héologie de l’œcuménisme, et la philosophie de la
personne
qu’elle implique, sont les seules bases actuellement concevables pour
142
théologie de l’œcuménisme et la philosophie de la
personne
sont les seules bases actuellement existantes, et sur lesquelles on p
143
de la communauté vivante, celle qui rassemble les
personnes
, et non pas celle qui font, en une masse informe et grossièrement enc
144
a théologie de l’œcuménisme, la philosophie de la
personne
et la politique du fédéralisme sont seules en mesure aujourd’hui, de
145
ès, jusqu’au jour où il dit à l’un d’eux : « Mais
personne
n’est jamais entré ni sorti, depuis des mois que j’attends ici ! À qu
146
i-même »60 Église — fidèle Religion — Foi Cité —
personne
Orthodoxie désigne couramment en Occident « conformité aux dogmes re
147
e extraverti, on sera porté à privilégier soit la
personne
, soit la communauté. Il existe au surplus certaines correspondances e
148
, qui conduit l’homme à Dieu, part toujours d’une
personne
sans précédent. Post-scriptum 1980 Le texte qu’on vient de lire
149
roblèmes immenses qui s’ouvriront alors ? Presque
personne
n’en a conscience ; moins encore y ont réfléchi. À gauche comme à dro
150
lit de mort, en 1934. Que notre conception de la
personne
ait pu subsumer des définitions augustiniennes, thomistes, calviniste
151
tes et leurs religions synthétiques, alors que la
personne
appelle et crée la communauté véritable, seul antidote des totalitari
152
», comme dit saint Paul, mais dans la liberté des
personnes
responsables. De là sans doute la qualité singulière de notre engagem
153
ement exclus. Nous voulions tous la liberté de la
personne
, c’est-à-dire qu’elle fût responsable ; et nous tirions de cet axiome
154
re, à l’holocauste nucléaire. Mais revenons à la
personne
de notre ami. Un dernier trait de son caractère et de son œuvre d’his