1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 Et toutes les joies qui n’ont pas de nom et dont personne ne songerait à parler, contemplation de la terre, ou d’une bestiole à
2 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
2 etite épargne, aux petits rentiers ! C’est ce que personne n’avait su deviner, avant Mme Malécot. « Mais vous ne les aurez pas,
3 insolent Helvète ! J’ai eu un autre vengeur en la personne de M. François Porché. Mais j’avoue que cet article de Parisien est m
3 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
4 gnait d’un doigt le ciel coupable : « Je n’accuse personne , mais c’est dégoûtant ! ») Nous voilà faits, refaits par l’événement,
4 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
5 siège de l’évêque anglican de New York. Dix mille personnes y chanteront des carols avant la procession du chœur et du clergé, pr
5 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
6 uvrant sur des couloirs hauts et profonds où deux personnes peuvent à peine se croiser. L’angoisse me prend chaque fois que j’y p
6 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
7 t, la promenade est déserte et mon cœur assoiffé. Personne ne passe jamais, voilà la vie ! Mais si ce soir une femme venait à mo