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s impôts nécessaires. Par crainte de mourir, plus
personne
ne vivrait. ⁂ La situation présente, en vérité, est bien plus folle q
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lus sur la défense d’un mot, d’un terme vague que
personne
n’attaque, mais sur la définition d’une réalité que ce terme symbolis
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que tout le monde en avait une peur bleue, et que
personne
, même pas Hitler, n’a eu le courage de commencer. À plus forte raison
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ise, — comme on dit. Peu importent d’ailleurs les
personnes
: c’est la tendance qui est significative. g. « Les intellectuels so
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ui est grave en ce moment : on a l’impression que
personne
n’est décidé à arrêter la folle machine ou, plutôt, à la remettre sur
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nitiative politique, il faut ajouter aussitôt que
personne
ne l’a reprise à sa place. Cette initiative-là, on la perd dès qu’on
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, « d’inventer » la paix. Si elle ne le fait pas,
personne
ne le fera à sa place. Mais si elle l’inventait pour elle seule — ce
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ur l’illustration des droits et des devoirs de la
personne
humaine, dont, malgré toutes ses infidélités, l’Europe demeure aux ye
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ans les mettre en pratique, cela ne fait de mal à
personne
. Mais cela en fait aux principes. Or une Europe qui se moque des prin
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mera pas les peuples sans une propagande massive.
Personne
n’a les moyens de la financer. La seule solution concevable, c’est un
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ses, aucune armée du monde ne pourra la défendre.
Personne
ne veut mourir, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en est plus u