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mbole du monde moderne, et le meilleur, parce que
personne
ne s’est approché plus que lui du type idéal de l’industriel et du ca
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autres œuvres destinées à charmer les loisirs de
personnes
oisives et raffinées, réunies pour admirer mutuellement leur culture
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principaux : J’avais vingt ans. Je ne laisserai
personne
dire que c’est le plus bel âge de la vie… — Où était placé notre mal
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M. Brunschvicg nous entretient n’est l’Esprit de
personne
. Je répondrai tout d’abord que c’est ou que cela veut être l’Esprit d
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n’est-il en aucune mesure le signe de la vérité.
Personne
, peut-être, n’a répété avec autant de force que Baring le fameux, l’i
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ude dans la contemplation de sommets assez rares.
Personne
, à notre connaissance, ne s’était risqué jusqu’ici dans pareille aven
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s’était risqué jusqu’ici dans pareille aventure.
Personne
même n’avait signalé cette curieuse lacune de notre histoire littérai
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eurs. Mais c’est là se contenter à bon marché, et
personne
ne croit plus à la vertu de simulacres à ce point galvaudés. (Un Mont
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de la campagne. Il serait auprès de sa sœur, que
personne
n’aimait. Il décida de retourner chez lui la nuit même, et après s’êt
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réactions. Une fois, désespéré, — « heureusement,
personne
ne regardait, il se jeta par terre sur la route, criant à son corps :
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s jugent C’est un fait digne d’intérêt, et que
personne
, croyons-nous, n’a relevé, que les grands « succès » littéraires de l
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n monde qui selon lui tend à la suppression de la
personne
humaine. Sa critique nous paraît pertinente, mais elle serait plus ef
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uel capable de rendre une force offensive à cette
personne
humaine. Le choix des sujets abordés dans son livre montre un esprit
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la notion bourgeoise de la vie, et payée — en la
personne
de ses grands maîtres — par l’État bourgeois. Les Chiens de garde 39,
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. Ce n’est que très accessoirement l’histoire des
personnes
, de quelques génies, par exemple. Quand nous disons destin du siècle,
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uvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni
personne
à servir. C’est l’état le plus dégradant qui soit. On vit alors, chez
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raison d’être personnelle ? Voulons-nous être des
personnes
? Voilà le mot lâché. Je connais la réaction qui l’accueille. Hé quoi
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ts, vous n’avez rien à proposer que votre chétive
personne
? Vous serez emportés comme les autres. Votre réaction est disproport
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nnée au danger. Et d’ailleurs qu’est-ce que cette
personne
, dont on nous parle tant depuis quelques années dans les jeunes group
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les cercles de L’Ordre nouveau. Qu’est-ce que la
personne
? Permettez-moi de renverser la question : Qu’est-ce que ces dieux et
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l’homme en fuite devant son destin. Eh bien ! la
personne
à son tour n’est rien d’autre que l’attitude créatrice de l’homme. To
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’homme, la masse n’a pas plus de puissance que la
personne
. Dans l’homme, le choix peut avoir lieu, effectivement. Et votre rôle
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ut s’attacher qu’aux seules tâches immédiates. La
personne
, au contraire, de l’individu perdu dans l’Histoire, vit d’instant en
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el est donc, nous dit-on, le fondement réel de la
personne
? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une attitude nietzschéenne ?
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nstances particulières, une vocation personnelle.
Personne
et vocation ne sont point séparables. Et toutes deux ne sont possible
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ence et engagement, ces trois mots définissent la
personne
, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le prochain. Lo
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el je vous laisse maintenant. Nous ne rencontrons
personne
au monde, avant d’avoir rencontré Dieu. 42. L’Histoire au sens hég
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s (mai 1934)r Combien existe-t-il en France de
personnes
intelligentes ? Pour le juger il ne faudrait sans doute pas se fier a
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rriéristes littéraires ». Ce n’est un secret pour
personne
qu’ils contribuent pour beaucoup à déterminer le succès ou l’échec d’
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élu dans le monde les petits et les méprisés”, et
personne
ne rit ! »56. C’est alors que paraît le rire de Kierkegaard. Ce n’es
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s qui se fuient, eux et leur vocation. Elle n’est
personne
, et tire de là son assurance dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé
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e femmes, dans l’illusion d’être une foule et que
personne
peut-être ne saurait dire qui l’avait fait ou qui avait commencé, cel
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re tous, chacun croit qu’il s’agit des autres, et
personne
ne se sent atteint, mais si l’on parle au solitaire de son angoisse,
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, et qu’à ma connaissance, tout au moins, presque
personne
encore n’en a parlé. Ce qui n’est pas très étonnant, d’ailleurs. Il s
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ie de l’œcuménisme implique une philosophie de la
personne
dont l’application est une politique du fédéralisme. 1. Théologie d
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le modèle même de l’union dans la distinction des
personnes
? Posons ces questions-là aux docteurs de l’Église. Mais voici ce que
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ner le plus tôt possible. 2. Philosophie de la
personne
Les positions œcuméniques que nous venons d’esquisser enveloppent
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er les notions d’individu, de collectivité, et de
personne
par des exemples historiques susceptibles de faire image. L’individu
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à la fois autonome et en relation. Ainsi, le mot
personne
avec son sens nouveau, et la réalité sociale qu’il désigne, sont bel
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re, des créations de l’Église chrétienne. Dans la
personne
ainsi définie se résout l’éternel conflit entre la liberté individuel
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sa chance. Mais la liberté et l’engagement de la
personne
chrétienne se définissent du même coup par la formule : à chacun sa v
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part la dissidence obstinée, la philosophie de la
personne
prévient d’une part le collectivisme oppressif, d’autre part l’indivi
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ant. Mais ici encore, insistons sur ce point : la
personne
n’est pas un moyen-terme entre l’individu trop flottant et le soldat
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aliste en politique. Quant à la philosophie de la
personne
, elle sera normalement celle du bon citoyen d’une fédération. La devi
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etc.). C’est en effet dans le groupe local que la
personne
peut se réaliser. Car les tâches civiques y sont à l’échelle de l’ind
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alitaire, le couple de frères amis que forment la
personne
et la communauté fédérale. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’œcu
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orité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pas,
personne
d’autre, je le crains, ne répondra. Avant même de se demander si les
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es termes, dans la diversité « des Églises et des
personnes
particulières ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisse
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héologie de l’œcuménisme, et la philosophie de la
personne
qu’elle implique, sont les seules bases actuellement concevables pour
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théologie de l’œcuménisme et la philosophie de la
personne
sont les seules bases actuellement existantes, et sur lesquelles on p
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de la communauté vivante, celle qui rassemble les
personnes
, et non pas celle qui fond, en une masse informe et grossièrement enc
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a théologie de l’œcuménisme, la philosophie de la
personne
et la politique du fédéralisme sont seules en mesure, aujourd’hui, de
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vrai dire, il y a toutes raisons de redouter que
personne
ne s’en charge en tant que représentant d’une nation, d’un parti, de
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ecréer ainsi des possibilités de communauté où la
personne
ait liberté de découvrir et d’exercer sa vocation ; du même coup, pré
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tible spirituel, comment fonder l’objection de la
personne
, au nom de quoi refuser le verdict de la Raison d’État, quand il tomb
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euves , Paris, n° 8, 1971. 76. Politique de la
personne
, Paris, 1934. y. « Pédagogie des catastrophes », Foi et Vie, Paris,