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autre part, on ne saurait admettre que seules les
personnes
fortunées aient quelque chose à dire dans le domaine de la culture, i
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u’elle était au siècle passé pour des millions de
personnes
de toutes conditions : une nourriture, un exercice de l’âme, de l’int
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du romantisme déborde les limites assignées à la
personne
humaine dans sa réalité. Il y fallait toutes les ressources d’un espr
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ts socialiste et communiste. Que s’est-il passé ?
Personne
ne pourrait le dire avec certitude, pas plus qu’on ne saurait prévoir
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fait pris au sérieux par les électeurs. Pourtant
personne
n’ignore que le sort du pays dépendra certainement — quoique d’une ma
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é, et parce que la démocratie avait tenu le coup,
personne
ne se sentait vraiment battu. On peut dire aujourd’hui sans exagérati
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est étonnant, c’est précisément que cela n’étonne
personne
ici. Je songe à la France laïque de naguère ! Je songe même à la Suis
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hui, sont confondues avec les chances de l’homme.
Personne
n’est assez grand pour répondre au défi d’un tel destin. Groupez-vous
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ifféremment, mais c’était il y a trois-cents ans.
Personne
ne sait très bien, en somme. On essaie de nous dire que l’opinion y t
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ans les mettre en pratique, cela ne fait de mal à
personne
. Mais cela en fait aux principes. Or une Europe qui se moque des prin
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mera pas les peuples sans une propagande massive.
Personne
n’a les moyens de la financer. La seule solution concevable, c’est un
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ses, aucune armée du monde ne pourra la défendre.
Personne
ne veut mourir, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en est plus u
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ignorait le mot, mais faisait un pays. Et certes
personne
ne l’aidait, mais il était fort riche et souvent généreux, pourvu d’u
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l’humilité, et même la « prédestination de notre
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morale » (avec une référence explicite à Calvin). Tout cela, sans auc
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ernard Béguin, intitulé « Le “tout ou rien” » : «
Personne
, au courant de la vie intellectuelle suisse des trente dernières anné
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toyen-soldat une garantie de légitime défense que
personne
ne peut contester, et qui rassure valablement des hommes qui accepten
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une direction où jamais je n’ai songé à entraîner
personne
. Non, je ne pense pas et je n’ai donc pas dit « qu’à défaut d’un stat
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a société n’est pas la société elle-même, mais la
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, c’est-à-dire l’homme, à la fois libre et responsable, traduction sim
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mystère religieux, philosophique et civique de la
personne
. L’Amour et l’Occident n’en est en somme qu’une illustration dans l
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u mariage accepté ? L’étrangeté essentielle de la
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aimée demeure à jamais fascinante, « passionnante ». La jeunesse dans
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r livre, publié à Paris en 1934, Politique de la
personne
et qui est exactement le contraire du sens actuel, qui est passif :
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manité dans son ensemble et en même temps vers la
personne
. » Y’a-t-il un rapport entre cette « révolution » et votre pamphlet d
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es par un cordon douanier qui ne sert à rien ni à
personne
, mais qui symbolise la « souveraineté » (d’ailleurs de plus en plus f