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ntingences humaines, et qui interroge virilement.
Personne
n’est plus loin de « l’inquiétude » ou de l’emballement. Barth est l’
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t dressé dans une protestation retentissante, que
personne
n’a osé faire taire. Son manifeste n’est pas seulement un témoignage
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é qu’on lui a faite, et qui lui vaut l’estime des
personnes
de sens. Mais après tout, ne serait-il pas étrange d’apporter des pre
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otestantisme du début de ce siècle accordait à la
personne
de Jésus une place à juste titre centrale, mais exclusive de toute do
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pas un abus de langage que de prétendre voir une
personne
morale dont on récusait par avance les actes caractéristiques ? N’éta
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n se défendre ; mais comment le pourrait-il quand
personne
n’ose se plaindre comme il sied à un homme ? Parle, élève la voix, pa
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res du Mouvement : il y avait là une vingtaine de
personnes
, un pasteur, une bouchère, un banquier, une dactylo, un peintre juif
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de music-hall dont la présence discrète n’étonna
personne
. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de problèmes sociaux, ni
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oue devant ce paradoxe monstrueux. Il n’y a donc
personne
de la taille d’Abraham, personne qui puisse le comprendre ? Si, pour
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. Il n’y a donc personne de la taille d’Abraham,
personne
qui puisse le comprendre ? Si, pourtant. Les pasteurs ont coutume de
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ahir, la dialectique « abyssale » de cette œuvre.
Personne
n’a fait plus que Jean Wahl pour faire connaître à l’élite française
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n crucifié vaincu ». Par une espèce de paradoxe —
personne
n’a chéri davantage le paradoxe depuis Kierkegaard — M. Monod déduit
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qu’on ne l’a servie… L’intervention de Luther en
personne
va-t-elle changer une fois de plus la face des choses ? À tout le moi
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r le débat, et le faire puissamment rebondir. Car
personne
n’a mieux incarné la volonté de pensée militante que ce petit moine q
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r Luther, elle est au contraire la Providence, la
personne
même de Dieu, éternellement active, et qui nous aime. Il faut choisir
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ictions, pressenties au siècle dernier, mais dont
personne
n’a osé proposer une explication. J’ai beaucoup réfléchi avant d’arri
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il est surtout le philosophe de Politique de la
personne
. Pour quelques autres, il est l’écrivain qui a le mieux analysé la r
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e ». … illustrée par son livre : Politique de la
personne
. Politique de la personne était un manifeste qui déclencha une po
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e : Politique de la personne . Politique de la
personne
était un manifeste qui déclencha une polémique à laquelle prirent pa
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rdiaev, Mounier et Gabriel Marcel. Pour moi, la «
personne
» n’est ni un individu refermé sur lui-même ni la minuscule partie d’
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s libre et responsable. Il y a une vocation de la
personne
, vocation qui, à la fois, distingue l’homme et le relie à la communau
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ellement et sans rupture de ma définition de la «
personne
» à la théorie fédéraliste. L’homme, vous ai-je dit, doit être à la f
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e moins que pour ceux de l’OTAN, la dignité de la
personne
humaine et les fondements de tout progrès social ; et non pas le syst
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ui portait comme titre : « La femme est aussi une
personne
». Cela se passait en 1936 et Mounier s’était montré un précurseur. I
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pense qu’elle doit être réservée à de très rares
personnes
qui seront probablement le sel de la terre ou qui seront quelquefois
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c’est un certain laps de temps pendant lequel une
personne
peut se constituer pour essayer de découvrir sa vocation. Si elle déc
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n, l’unité culturelle de l’Europe est un fait que
personne
ne conteste. Enfin, il y a l’affaire des frontières naturelles, chère