1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
1 petits chiens qu’on habite tout par dehors et que personne s’occupe ». Dès la seconde page, c’est à pousser des cris de joie. Le
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)
2 défaut de ce point de vue, c’est qu’il n’étonnera personne , alors qu’Alexandre est tout de même un phénomène assez bouleversant.
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
3 t-on parler réellement du mal, quand presque plus personne n’y croit avec sérieux, ni à l’enfer ? Quand personne ne déclare un B
4 onne n’y croit avec sérieux, ni à l’enfer ? Quand personne ne déclare un Bien si haut qu’on se fasse tuer pour ce Bien ? Ceci po
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
5 eux termes vrais, et assumés comme tels, c’est la personne . L’opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain économique, trad
6 s : elle n’est qu’une projection du conflit de la personne . Les marxistes nous accusent de mêler des notions « morales » — ainsi
7 ns « morales » — ainsi désignent-ils la notion de personne  ! — aux forces politiques et historiques qui selon eux déterminent en
8 que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne est un facteur « décisif », sinon suffisant, du processus révolutionn
9 aire, et que nier cette valeur « décisive » de la personne , c’est désarmer la révolution. Mais il y a plus. Si la personne est v
10 t désarmer la révolution. Mais il y a plus. Si la personne est véritablement l’élément décisif de la réalité humaine, toute révo
11 vaine qui se fonde sur des faits mortels pour la personne , même si « ces faits sont les faits » comme on voudrait nous le faire
12 aires profondes de la France. Cette révolte de la personne , c’est la révolte jacobine, c’est la révolte de 89, dans ce qu’elle g
13 ébat d’avoir un sens, un point d’application : la personne . Tel est en dernière analyse, le fondement, l’enjeu de la révolution
14 u’on manque de chefs. Parce qu’il n’y a plus de «  personnes  ». 23. Le succès du communisme serait-il « de nous rendre la vie de
5 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
15 n de leur absence insurmontable. Ramuz, mieux que personne , peut se passer d’avoir raison, puisqu’il a pour lui la Nature27. C’e
6 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
16 mais K… ne parvient à l’instance suprême ; jamais personne d’ailleurs n’a pu y parvenir. À la fin du cauchemar, on le tue dans d
7 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
17 s parfaitement vaine de problèmes qui n’empêchent personne de dormir, diminue nettement dans ce tome IV au profit de la recherch
18 s qu’Alexandre Marc consacre à la situation de la personne dans le temps paraîtront par endroits un peu sommaires, mais ce défau
19 -ce un reproche ? — de G. Marcel sur l’acte et la personne , mériteraient beaucoup plus qu’une simple mention. J’aurais aimé anal
8 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
20 mité contre le Christ, contre l’esprit incarné en Personne  ; 5° si le clerc qui s’en lave les mains ne risque pas de faire le je
9 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
21 ent leurs vocations, leurs libertés réelles, leur personne . Si la personne n’est pas déjà au début d’un calcul pratique, on ne l
22 ons, leurs libertés réelles, leur personne. Si la personne n’est pas déjà au début d’un calcul pratique, on ne la retrouvera jam
23 et discipline ; fédéralisme et étatisme ; enfin, personne et individu. Cette dernière « tension », à laquelle se ramènent toute
10 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
24 elle de ses œuvres qu’à leur contenu intrinsèque. Personne peut-être n’a si jalousement pris souci de dire au bon moment ses vér
25 ma part qu’un seul moyen de s’engager de toute sa personne à la suite de Kierkegaard… Tout le reste est littérature, « littératu
26 devons prendre au sérieux que le sérieux, que la personne , tout le reste peut devenir l’objet de notre jeu. » p. 26. z. « Kier
11 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
27 des rapprochements fort instructifs. Ce terme de personne , que nous jetions alors dans le débat politique et culturel, et qu’on
28 tinent à lui accoler un adjectif pléonastique : «  personne humaine ».) En 1932, les marxistes prononçaient ici même — contre les
29 les fascistes sont les pires adversaires « de la personne humaine, cette grande force spirituelle ». Et aussi « qu’au-dessus de
12 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
30 qu’il y a là quelque absurdité, et si énorme que personne ne pense à la dire… Peut-être, dans un siècle ou deux, se demandera-t
31 u bel hiver ! La colère y jaillit sans rencontrer personne . J’ai à craindre qu’elle ne m’attaque par désir famélique de créer du
32 n, non détachables. Un essai philosophique sur la personne  : destiné à une revue non payante. Autres ressources : néant. Reste :
33 ugeais plus ni pied ni patte et n’écrivais plus à personne . Je crois à la valeur d’appel de l’absence, ou plutôt du retrait. (Il
34 outume, ici ils n’aiment pas qu’il y ait d’autres personnes dans la salle quand ils payent ou quand ils touchent de l’argent ! C’
13 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
35 se fait toute seule », que rien ne dépend plus de personnes responsables, mais que tout le monde se trouve secrètement impliqué d
14 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une révolution refoulée (juillet 1938)
36 n est capable de faire aboutir des réformes. Mais personne ne la prépare. M. Staline a d’autres plans, et Ce soir a d’autres ver
37 t — et le désire sans se l’avouer. Voilà pourquoi personne ne bouge. C’est effrayant, cette immobilité devant le péril. La dicta
15 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
38 une logique qui, n’étant plus le fait des grandes personnes — « ce qui va de soi » — apparaît tantôt ridicule, tantôt tyrannique
16 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
39 ux systèmes mais pour les appliquer avec rigueur. Personne ne sut opposer au Führer l’idéal qui avait fait jusqu’alors la force
17 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
40 e type de l’homme qui n’atteint pas au plan de la personne , où pourrait se manifester ce qu’il y a d’unique dans un être. Pourqu
41 pour peu qu’on ait l’envie de nier des règles que personne n’ose plus dire inviolables ! Qui donc se ferait tuer pour une vertu
42 Une aube vient. C’est encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est mort ! De chaque idée, de chaque croyance, de cha
18 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
43 ouvrir l’intime hiérarchie qui trahirait la vraie personne dans ce complexe individuel. D’autant plus que certains détails, cert
19 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
44  » les plus typiques de l’Occident (le concept de personne humaine et le développement de la technique, par exemple) une origine
45 ent les tient pour illusoires.) Ôtez l’idée de la personne , déduite des grandes définitions trinitaires et christologiques, vous
46 apitre. 2. Co-naissance de l’Histoire et de la Personne Un fait quelconque n’est historique au sens exact qu’en vertu de s
47 mais au Mythe. De même l’individu ne devient une personne que par l’unicité que lui confère sa vocation, autrement il est vu co
48 lié, chez ceux qui l’éprouveraient, au sens de la personne  ? Presque toutes les cultures et civilisations que nous avons exhumée
49 isse aucune place à l’Histoire, ni davantage à la personne . Seule la religion juive fait exception dans le monde antique. Ses pr
50 eux. Et, dans ce temps nouveau, le rôle de chaque personne devient unique et décisif, comme l’était sous l’Ancienne Alliance le
51 liance le rôle collectif d’Israël. Le dialogue de Personne à personne entre Dieu qui appelle et l’âme qui répond libère celle-ci
52 ôle collectif d’Israël. Le dialogue de Personne à personne entre Dieu qui appelle et l’âme qui répond libère celle-ci des décret
53 étoiles et sur la mort, qui libère et suscite la personne . Ce n’est pas un hasard si le premier auteur d’une philosophie de l’H
54 ut aussi le premier auteur d’une biographie de sa personne  : les Confessions. 3. Du Mythe à l’Histoire Mais il reste à mie
55 la présente. Que Dieu se soit manifesté comme une Personne  ; par un geste sans précédent ; au temps choisi par lui ; « une fois
56 ts de l’Histoire s’y trouvent tellement noyés que personne n’a le souci de les dater. C’est un mouvement exactement contraire qu
57 et proprement congénitale entre l’Histoire et la personne humaine. Ceci pose un problème encore neuf. 4. Être ou non dans l’
58 tes d’ensembles étendus, négligent l’action de la personne et nous inclinent à douter de sa réalité. Le « réel historique », ain
59 lle le coupe de l’esprit. Ce faisant, elle nie la personne , car la personne se fonde dans ce qui juge le temps, le détruit et le
60 ’esprit. Ce faisant, elle nie la personne, car la personne se fonde dans ce qui juge le temps, le détruit et le renouvelle. Et,
61 d’éliminer la croyance à l’action personnelle. La personne est agent de liberté. Cette Histoire nous conduit au fatalisme. Comme
62 us conduit au fatalisme. Comment l’Histoire et la personne ont-elles pu devenir exclusives l’une de l’autre, alors qu’elles sont
63 ins autant qu’un fléchissement réel du sens de la personne et de la liberté. Ce n’est pas qu’on n’aime plus être soi librement,
64 us être soi librement, ni vraiment qu’on renie la personne  : mais on ne croit plus, on n’ose plus croire qu’elle puisse répondre
65 atal, mais dans une seule et même démission de la personne , qui désespère de ses pouvoirs d’innovation et de toute espèce de rec
66 au nom d’un sens qui ne peut s’originer qu’en la personne . Bref, la question n’est pas de deviner l’Histoire, mais de la faire.
20 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
67 La personne , l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)av
68 u’on nie de l’autre ? Est-ce bien le même ? La Personne Le christianisme a formé l’Occident, en formant, dès les premiers
69 , ses modèles de pensée en tension : Incarnation, personnes divines à la fois distinctes et reliées. D’où la définition de la per
70 s distinctes et reliées. D’où la définition de la personne humaine ou du vrai moi, reprise et précisée par toutes les grandes ép
71 peut suivre l’évolution du concept et du terme de personne , forgé par la doctrine trinitaire ; il s’appliquera de mieux en mieux
72 s’oppose au moi phénoménal, et reprend le nom de personne . Chez Renouvier, la personne apparaît comme « fonction à plusieurs va
73 et reprend le nom de personne. Chez Renouvier, la personne apparaît comme « fonction à plusieurs variables », par là douée d’une
74 age courant confond sans l’ombre d’un scrupule la personne et tout ce qu’elle n’est pas — l’individu, la persona, la « forte ind
75 istinct et le recours à la « valeur absolue de la personne  » sont à peu près universels en Occident. Comme l’attestent tant de n
76 us loin. L’ange Quelle est cette part de la personne dès maintenant libérée du monde, où elle vit encore en exil, mais « h
77 cette partie que nous appelons présentement notre personne , car cette totalité inclut également une autre personne, une contrepa
78 ne, car cette totalité inclut également une autre personne , une contrepartie transcendante qui nous demeure invisible, ce qu’Ibn
79 vénement majeur, la scène capitale du drame de la personne ainsi constituée se produit à l’aube de la troisième nuit qui suit la
80 s contrées ; c’est bien plutôt à notre idée de la personne qu’ils opposent leur idée du non-moi. Le vrai malentendu se serait-il
81 des premiers bouddhistes, ce n’est pas encore la personne , mais l’obstination de l’ego qui veut durer au-delà de la mort sans r
82 oute trois pages plus loin « Nous devenons vraies personnes dans la mesure où nous faisons face à l’Un tout-transcendant.71 » (Ce
83 hen-Chi qui cite ce koan : Parfois, j’arrache la personne mais sauve l’objet. Parfois j’arrache l’objet, mais sauve la personne
84 l’objet. Parfois j’arrache l’objet, mais sauve la personne . Parfois, j’arrache en même temps l’objet et la personne. Parfois, je
85 e. Parfois, j’arrache en même temps l’objet et la personne . Parfois, je n’arrache ni l’objet ni la personne. Le même commente :
86 personne. Parfois, je n’arrache ni l’objet ni la personne . Le même commente : « Supprimer la personne et sauver l’objet signif
87 i la personne. Le même commente : « Supprimer la personne et sauver l’objet signifie éliminer le questionneur, non sa question.
88 eptionnellement doué, le maître ne touche ni à la personne , ni à l’objet. » Enfin ceci : « Ainsi que Bodhidharma (le fondateur d
89 l’intégrité du moi et qui nient ou détruisent la personne … Mais l’Oriental sourit et nous laisse « nos » problèmes. Trois éc
90 re les phénomènes et le noumène, l’individu et la personne , l’âme et l’ange, l’ego et le Soi. Observons que les trois partent d’
91 sa vocation singulière. Aimer le prochain dans sa personne , c’est discerner sa singularité, sa vocation, même virtuelle, la sout
92 intégrant l’animique au spirituel, va toujours de personne à personne. Mais alors, d’où vient la personne ? Quel que soit le nom
93 ’animique au spirituel, va toujours de personne à personne . Mais alors, d’où vient la personne ? Quel que soit le nom que lui on
94 de personne à personne. Mais alors, d’où vient la personne  ? Quel que soit le nom que lui ont donné les trois religions abrahami
95 unité, que l’amour spirituel crée dans l’homme la personne . Si la plus haute valeur de l’Occident chrétien n’est pas la connaiss
96 a nature de l’amour véritable l’explique seule. «  Personne n’a un plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’il aime. »
97 er qu’il s’arrête en chemin, que son élan vers la personne singulière retombe au plan de l’individuel, du générique. Capté par l
98 e et de glorification qui lui est propre. » Toute personne s’origine en Dieu, qui l’a créée afin d’être connu par elle et de « d
99 t donc en Dieu que tout amour peut reconnaître la personne de l’autre et l’aimer « comme soi-même », — comme étant née du même a
100 ter en lui la divinité. Un être n’aime en réalité personne d’autre que son créateur.76 » Ibn Arabi distingue trois amours : l’am
101 » en proie aux déchirements). » Telle est donc la personne unifiée et tel est son amour de soi-même. Quant à l’amour-passion (ic
102 manière que l’autre… ; il n’y a jamais chez deux personnes un bien absolument identique… C’est l’amour qui fait le prochain, et
103 des écoles bouddhistes, comme on l’a vu, nient la personne ou la survolent, ne connaissent que l’ego tout transitoire et le Soi
104 lent bien affirmer, par exemple, la réalité de la personne ou du prochain) on n’en saurait déduire qu’elles excluent leur contra
105 out s’arrangera.) Ils en ont fait autant pour les personnes , potentialisées dans une seule Personne-cosmique, Purusha (dont la co
106 s psychanalystes nous l’ont dit : l’erreur sur la personne de l’être aimé est la source des pires conflits, une violence faite à
107 ncarné — la vue juste imagine — au sens fort — la personne . Il ne faut pas jeter la vie avec l’erreur, mais aimer mieux. Non pas
108 ul, et qui est elle-même. Tu dis le Soi, ce n’est personne . — Il n’y a personne. Personne ne peut aimer, sauf l’égoïste. Il y a
109 ême. Tu dis le Soi, ce n’est personne. — Il n’y a personne . Personne ne peut aimer, sauf l’égoïste. Il y a l’amour, et nous pouv
110 s le Soi, ce n’est personne. — Il n’y a personne. Personne ne peut aimer, sauf l’égoïste. Il y a l’amour, et nous pouvons seulem
111 ui qu’il est amour. — Mais Dieu pour nous est une Personne , et nous crée comme personnes bien distinctes. Tu ne vois pas la femm
112 eu pour nous est une Personne, et nous crée comme personnes bien distinctes. Tu ne vois pas la femme que tu crois aimer. — Quand
113 atériel calculé par la science occidentale : mais personne ne sera là pour constater que leurs doctrines sur la Lumière finale e
114 t la vraie ? Si les sages de l’Orient ont raison, personne ne pourra le vérifier à la consommation des temps, pas même le Soi qu
115 de l’énergie universelle. Car c’est au secret des personnes que nous tentons d’écouter la Personne, mais c’est dans la matière qu
116 ecret des personnes que nous tentons d’écouter la Personne , mais c’est dans la matière que nous cherchons le Soi. La création to
117 our. 60. Cf. Charles Baudoin, Découverte de la Personne , 1940, p. 22. Cet ouvrage est le meilleur exposé du personnalisme mod
118 a David-Neel donne une Parabole tibétaine de la «  personne  » dans l’op. cit. « Une “personne” ressemble à une assemblée composée
119 bétaine de la « personne » dans l’op. cit. « Une “ personne ” ressemble à une assemblée composée d’une quantité de membres. La dis
120 éléments physiques et mentaux qui constituent la “ personne ” ; ce sont nos instincts, nos tendances, nos idées, nos croyances, no
121 éphane Lupasco y aura sans doute pensé. av. « La personne , l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient », La Nouvelle Re