1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 llard, les visages se cachent dans des fourrures, personne ne sait la richesse de ta vie…). J’écris ces choses. Puis, dans un an
2 le : ce sont les mêmes qui s’ignorent en tant que personnes . Comment se trouveraient-ils, n’existant pas ? (François Mauriac.) La
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
3 araître si perdu. Chaque fois qu’un paquet de dix personnes s’engouffrait dans la cage rouge et or et s’élevait, j’éprouvais un p
4 la vitre… Je montai. Il n’y avait que des dames. Personne ne parlait. La jeune femme qui s’était penchée vous ressemblait tant.
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
5 . Et nous calculons qu’il s’agit de déranger 5000 personnes en huit soirées, et de les occuper quatre heures durant… Mais la visi
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 r que mes rapports de politesse distante avec les personnes qui ont dit, ne fût-ce qu’une fois en leur vie : « J’ai horreur de la
5 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
7 le de tous les professeurs de philosophie, à quoi personne ne peut songer sérieusement. On trouva des solutions élégantes. D’une
6 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
8 humble vie. Il faut décrire ces éléments de sa «  personne  » en termes d’apparence paradoxale : le secret de son œuvre résidait