1 qu’il y a là quelque absurdité, et si énorme que personne ne pense à la dire… Peut-être, dans un siècle ou deux, se demandera-t

2 qu’un — je ne veux pas le nommer, je n’attaquerai personne , moi ! — il y a, dis-je, quelqu’un qui a osé prétendre que je suis un

3 ctuels ne servent à rien. Enfin, les questions de personnes jouent un rôle : on aime avoir un député instruit. Mais ce n’est pas

4 amis, et les précisions que j’ai dû fournir à des personnes curieuses de mon état, m’ont amené à me poser un certain nombre de qu

5 , il joue le rôle d’un croquemitaine pour grandes personnes .) On discute avec passion des mesures à prendre pour occuper les sans

6 du bel hiver. La colère y jaillit sans rencontrer personne . J’ai à craindre qu’elle ne m’attaque par désir famélique de créer du

7 ucoup de choses pourraient être changées. Mais si personne ne fait rien par le moyen normal de l’éducation, il n’y a plus d’autr

8 . Quelques-uns le déplorent parmi les vieux. Mais personne n’a l’idée de rien entreprendre. Le village comptait autrefois, paraî

9 s applaudit : la fondation fait vivre beaucoup de personnes de l’île. La moitié des maisons sont vides, et quelques-unes déjà tom

10 entraîné hors de sa ligne dans des conflits où sa personne n’est pas totalement engagée, parce qu’elle ne les a pas créés. Le bu

11 tre fixé au plus juste qu’en fonction de chaque «  personne  ». C’est l’État qui devrait donner à chacun de ses membres le minimum

12 urs bénévoles, pasteurs, instituteurs ou autres «  personnes instruites » de la région. On m’avait prié de parler des révolutions

13 uvait. C’est pourquoi Descartes ne voyait rien ni personne quand il se promenait. « Je vais me promener tous les jours parmi la

14 n, non détachables. Un essai philosophique sur la personne  : destiné à une revue non payante. Autres ressources : néant. Reste :

15 geais plus ni pied ni patte, et n’écrivais plus à personne . Je crois à la valeur d’appel de l’absence, ou plutôt du retrait. (Il

16 tume, ici : ils n’aiment pas qu’il y ait d’autres personnes dans la salle quand ils payent ou quand ils touchent de l’argent. C’e

17 a prétention assez modeste de renseigner quelques personnes sur les moyens de vivre en liberté, à peu de frais. Je dis quelques p

18 vivre en liberté, à peu de frais. Je dis quelques personnes  : sont-elles si rares à désirer ce dont les romanciers ne parlent pas

19 d s’occupe à faire la statistique du village : 45 personnes sont âgées de 80 à 90 ans, sur une population de 450 âmes. 6. On voi

20 ? — Oh ! on le prend. Comme nous ne voyons jamais personne … (En France, cela étonne.) 16 octobre 1934 Complexité des « cl

21 0 : Vingt filatures, 7000 habitants. Quinze cents personnes au temple chaque dimanche. Je complète : Vers 1900, la soie artificie

22 roirait une ville bombardée. 2300 habitants. Cent personnes au culte. Dans la campagne environnante, une maison sur dix habitée.

23 arti communiste parce qu’il n’y a rien d’autre et personne d’autre… Ce seraient souvent les meilleures têtes du pays, et on les

24 ttre était recommandée. Alors il a été voir « une personne encore plus compétente » que lui, Simard, et cette personne lui a con

25 ncore plus compétente » que lui, Simard, et cette personne lui a conseillé d’écrire une nouvelle lettre recommandée « à la charg

26 jours ! ah, ils sont comme ça ! Mais voilà que la personne compétente lui dit : « Ce cochon-là t’a refait de 299 francs, consult

27 utre loterie ! Toute la grande presse en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 28 janvier 1935 Matinée

28 ises que la politique idéale devrait partir de la personne . Elle doit tenir compte de la personne, et finalement favoriser son d

29 rtir de la personne. Elle doit tenir compte de la personne , et finalement favoriser son développement, mais d’une manière négati

30 ssence de toute saine politique de s’opposer à la personne , de limiter son expansion, de combattre en définitive le réel que nou

31 Une politique saine ne saurait donc partir de la personne , mais au contraire de l’impersonnel, pour se diriger contre la person

32 raire de l’impersonnel, pour se diriger contre la personne . C’est à ce prix qu’elle assurera quelque équilibre et c’est tout ce

33 namisme propre. Si l’État ne freinait plus, si la personne ne cherchait plus à triompher de tout ce qui n’est pas elle, le simul

34 le désordre est toujours à sens unique : c’est la personne qui cesse de se défendre, c’est l’anarchie qui renonce à ses droits.

35 . Il doit en permanence se déplacer au profit des personnes . (Au profit des irréductibles, dans le sens du jeu le plus libre des

36 c’est la suppression de l’État, la libération des personnes au moment où leurs disciplines se seront enfin harmonisées. (Dans un

37 e au moment précis où l’agressivité normale de la personne se retourne contre elle, au profit des tyrannies impersonnelles. C’es

38 crifient davantage que leur vie : leur dignité de personnes , — et celle des autres… » 31 mars 1935 Relevé des « convocation

39 temps ». (Je dis bien groupe, car il y a peu de «  personnes  ».) 15 avril 1935 La sieste de la Marquise. — Nous espérions p

40 ’agit là de « préjugés », comme disent les jeunes personnes en mal d’émancipation. C’est bien plus grave. C’est aussi grave que l

41 t loger bien du monde. Des initiés naturellement. Personne ne monte jamais là-haut, ni maréchaussée ni gabelle. Nous aurions des

42 pires déchéances, on le dit… Des familles de huit personnes couchant dans une baraque à un seul lit. Tous ceux qui fuient la soci

43 peu d’ordre et restituer la bonne humeur à mille personnes de mon intolérante espèce. En attendant, toute cette cacophonie révèl

44 -ce donc qu’un impie ? Tout le monde l’est-il, ou personne  ? » Cet argument de Diderot contre la religion de son temps ne ferait

45 u’un mauvais citoyen ? Tout le monde l’est-il, ou personne  ? » — Mais je crains que mes contemporains, tout prêts qu’ils sont à