1
ine de la conception de l’État, du Droit et de la
personne
du citoyen ; et que, de la tradition juive, nous viennent les notions
2
es. Mais c’est elle aussi qui a créé la notion de
personne
et tout ce qui en dérive : les valeurs morales, le droit, les institu
3
On voit mal la commune mesure entre la notion de
personne
et la machine. Tout ce qu’on peut dire, c’est que ces deux choses vie
4
; que le temps a un sens ; et que l’homme est une
personne
. De ces trois grands choix initiaux découlent presque toutes les déco
5
nt le dogme de la Trinité, c’est-à-dire des Trois
Personnes
divines, distinguées par leurs fonctions mais d’essence unique, les c
6
nciles ont fourni le modèle du concept même de la
personne
, transposé par la suite au plan humain. La personne humaine — que tou
7
rsonne, transposé par la suite au plan humain. La
personne
humaine — que tous les théologiens et philosophes, depuis des siècles
8
depuis des siècles, n’ont cessé de redéfinir — la
personne
humaine c’est l’individu (n’importe quel individu humain de n’importe
9
ur de tous les hommes. Cet homme-là, j’entends la
personne
, se voit donc à la fois libre et responsable, à la fois distingué et
10
re à lui. Là encore, nous retrouvons la notion de
personne
à la fois libre et responsable — adjectifs inconnus de l’Orient tradi
11
siques et naturelles, la technique, mais aussi la
personne
humaine et toutes les institutions sociales qui en découlent, le sens
12
entier nous imite et nous n’imitons sérieusement
personne
. Nous n’imitons aucune autre culture qui puisse être considérée comme
13
uvelés les grands secrets humains et divins de la
personne
, de ses pouvoirs créateurs et de ses libertés. Rien n’est fatal. Les