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s’agit du Grand Dessein, toujours cité, mais que
personne
n’a pu lire, et pour cause4. Tous appellent à l’union contre la guerr
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e, antifasciste et anticommuniste. Elle oppose la
personne
à l’individu atomisé, la communauté au collectivisme forcé, et le féd
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sance collective, mais la plus grande liberté des
personnes
. Si vous ouvrez maintenant le dossier joint, une soixantaine de vues
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rtout, s’y soient efforcées depuis un siècle : or
personne
n’a jamais attendu rien de pareil d’un État fédéral européen.) Ainsi
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lan millénaire sur lequel se détache l’idée de la
personne
, d’une certaine dignité de l’homme. S’agissant d’observer une entité
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ience exacte débouche en pleine métaphysique. La
personne
. — La formulation du dogme de la Trinité fut l’une des tâches majeure
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ois hypostases, les conciles choisirent le mot de
Personne
, donnant un contenu chrétien à un mot latin interprété selon la pensé
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ois vrai Dieu et vrai homme » —, notre idée de la
personne
humaine : elle désigne l’individu naturel chargé d’une vocation qui e
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ysiques et naturelles ; technique ; respect de la
personne
humaine et toutes les institutions civiques, sociales, juridiques qui
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nce des contraires, l’impensable définition de la
Personne
de Jésus-Christ comme « vrai Dieu et vrai homme à la fois », selon le
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manent entre le moi et le destin social, entre la
personne
libre et la fatalité, ne serait pas concevable hors d’un monde qui da
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e y prenne un sens. 7. Une valeur absolue : la
personne
Comparée et contrastée avec les civilisations sacrées de l’Antiqui
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crasants ; contre la masse informe qui annule les
personnes
, mais aussi contre l’arbitraire et l’anarchie qui vident de sens l’ef
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inale, c’est la notion de la valeur absolue de la
personne
humaine — de chaque personne humaine. Pour beaucoup d’entre nous, l’e
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valeur absolue de la personne humaine — de chaque
personne
humaine. Pour beaucoup d’entre nous, l’expression est passée au rang
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faire voir comment l’idée du moi distinct, de la
personne
— à la fois mère et fille de l’Europe — forme nos vies, permet qu’ell
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ivités. Ôtez le moi distinct, le droit d’être une
personne
, et du même coup nos vies n’auraient plus sel ni sens : voilà bien da
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anisme a permis de concevoir, et qu’il a nommé la
personne
. Je dis que nos valeurs modernes, actuelles (le sens que nous donnons
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ent inconcevables sans la notion originelle de la
personne
. Mais plus inconcevable encore, ce qui les blesse. S’il se trouve que
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as d’autre aliénation que la naissance.) C’est la
personne
en moi, et c’est elle seule, qui est passible d’aliénation. Si vous n
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ui ont permis l’apparition du concept chrétien de
personne
. Les révolutionnaires ne peuvent se former que dans un monde qui tien
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r rire de soi-même, il s’agit d’exister comme une
personne
consciente et de prendre une certaine distance par rapport à ce que l
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e l’on se voit être. Dans l’humour, c’est donc la
personne
qui juge son propre individu… 10. Mesure du progrès par le risque
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et responsabilité ; – innovation et tradition ; –
personne
et communauté ; – autonomie et union ; – gauche et droite ; – midi et
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termittences du cœur, érotisme, dissolution de la
personne
) au xxe siècle. d) Les écoles. — Le terme de nation (natio) désignai
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plus bas commun dénominateur, et voici l’ironie :
personne
n’en tire bénéfice, même pas l’élève le plus ignare, car il voit son
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ormer. Respecter l’individu, c’est voir en lui la
personne
qu’il peut devenir s’il découvre sa vocation et reçoit les moyens de
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homme en équilibre dynamique qui mérite le nom de
personne
et qui reste le but de toute éducation, non seulement en Europe, mais
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e l’homme européen qui a conçu les machines et la
personne
. Un intellectuel indonésien me dit un jour : « Vous autres Européens,
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e moins que pour ceux de l’OTAN, la dignité de la
personne
humaine et les fondements de tout progrès social ; et non pas le syst
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le monde admet qu’il faut faire — et que pourtant
personne
ne fait ? Il y en a deux, en vérité. L’un tient au sens des mots, l’a
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et une du Dieu Père, Fils et Saint-Esprit, et la
personne
à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils écrivent : « Nous ens
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chaque nature, qui se rencontrent dans une seule
personne
… » Abstraction faite de la foi que l’on accorde ou non à la substance
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bipolaire posé par le concile de Chalcédoine. La
personne
humaine, notion déduite des dogmes relatifs aux trois Personnes divin
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ine, notion déduite des dogmes relatifs aux trois
Personnes
divines, et surtout à la deuxième, va nous servir de module. La perso
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rtout à la deuxième, va nous servir de module. La
personne
humaine, c’est l’homme considéré dans sa double réalité d’individu di
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s contradictoires de la vie, comme la liberté des
personnes
et la force de la communauté ? L’analyse fédéraliste d’une situation
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our but la puissance collective ou la liberté des
personnes
. Il nous faut le décider, en toute conscience, et vite, car le choix
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es plus grandes possibilités d’épanouissement des
personnes
, de participation des citoyens et d’autonomie des communautés (la pro
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aider : les échanges culturels, les mouvements de
personnes
, la concertation rationnelle des productions industrielles et agricol
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nos partis, nos confessions et nos régions ; nos
personnes
mêmes. Il y a dans chaque pays un nord et un midi ; dans chaque Églis
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évangélique et une aile ritualiste ; dans chaque
personne
qui réfléchit, une droite et une gauche, etc. Nos États-nations, obsé
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re en vertu de quelque « sens de l’histoire » que
personne
n’a jamais connu, ni ne connaît, ni ne pourra connaître en vérité ava
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nes, Européens, c’est vous qui ferez l’Europe, et
personne
d’autre, à la seule condition que vous le vouliez vraiment. Et non pa
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celle de la pluralité des allégeances, soit d’une
personne
, soit d’un groupe ou d’une région. L’État-nation voulait tout faire c
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assin, au gangster et au fou ! Voyez Hitler. Mais
personne
ne m’a démontré qu’entre les ambitions de Napoléon et celles d’un dic
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e s’emparer du pouvoir et de dominer des rivaux —
personnes
, pays, partis ou producteurs. Le but d’une société européenne fédéral
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manité dans son ensemble et en même temps vers la
personne
. Et par humanité dans son ensemble, j’entends la race humaine dans l’
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ncipe de cohérence s’appelle responsabilité de la
personne
humaine. C’est une politique dont chaque temps et chaque but se trouv
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subordonnés à la défense et à l’affirmation de la
personne
, module universel des institutions. Cette politique s’oppose au gigan
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eut être humanisé. Le but de la société, c’est la
personne
. On n’y atteindra jamais que par une politique établie dès le départ
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ce niveau et dans cette vue. » ( Politique de la
personne
.) ⁂ Dans l’espace sociopolitique homogène, dépourvu de structures,