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ente aucun parti, aucune firme. Je ne voyage pour
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. Je ne prétends pas même parler au nom de ma génération, ne m’étant p
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s régler le compte sommairement. Cela n’empêchera
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de me resservir ces arguments, bien que dûment prévus et réduits à né
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qui ressemble plus au souci quotidien des grandes
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? Mais l’enfance est ailleurs. Je revois ce fond de jardin où l’on tr
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x quatre, c’est stérile, mais ça ne fait de mal à
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, et de plus, toutes choses égales d’ailleurs, dans un certain domaine
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ue décrire l’école telle qu’on la voit. Après les
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, le décor. La laideur des « collèges » n’est pas accidentelle. C’est
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nte : cela tient pour une bonne part à ce que ces
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ont les yeux faibles. Il serait plus juste de dire que la passion n’a
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école. Je songe au maître antique, dont toute la
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était un enseignement, et qui n’avait pas des élèves, mais des discip
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est plus que plat : il est creux.) Si beaucoup de
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répondent oui, cela finira par créer un courant d’opinion. Et l’opini
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onnaire dans ses activités publiques sans que des
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bien intentionnées viennent vous dire : « Mais Monsieur, M. Machin qu
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de la communauté, mais aussi de la formation des
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, — dans la tension féconde, et qu’il faut assumer, entre ces deux fin