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mier livre paru à Paris en 1934, Politique de la
personne
, s’ouvrait par un chapitre sur « l’engagement » du clerc, sa nécessi
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entière non seulement publiée mais assumée d’une
personne
et de sa pensée en corps à corps avec l’époque. « Présence au monde e
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qui n’est qu’une illusion d’ipséité, d’identité.
Personne
ne répond plus. Comme dans le bouddhisme. Dans leur ensemble, nos lit
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nos écrits militer en faveur de la liberté de la
personne
et de la révolution socialiste. On a souvent prétendu qu’elles n’étai
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visible ou secrète, la dialectique joyeuse de la
personne
en acte. Que celui qui s’engage dans leur lecture éprouve de tout son
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rer ici que seule une conception de l’homme comme
personne
libre et responsable dotée d’une vocation unique, et de la communauté
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d’une mesure. C’est le rappel aux finalités de la
personne
, des groupes et de la cité, rappel au Sens. C’est la création de form
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, la cité et la Nature ; ou encore la liberté des
personnes
et des groupes, non la puissance horrible des États-nations. Et ce qu